~Tu es mon autre~ {Serquel-La Casa De Papel}

Chapitre 65

{point de vue Marseille}

Rodrigo s'approche de moi.

Rodrigo : « poses cette arme de suite ou j'appelle Alicia ! »

Moi : « Fais le. »

Rodrigo attrape son téléphone et commence à faire le numéro, je lui tire une balle, dans la tête.
Raquel hurle de peur. Je me jette sur le téléphone : il n'a pas eu le temps. Je prends le téléphone et l'explose au sol. Je détache Raquel.

Moi : « Tu peux te lever ? »

Raquel se lève, mais se tient à moi.

Raquel : « J'arrive pas... les douleurs dans le bas de mon ventre sont trop fortes... je ne peux pas désoler... »

Moi : « Assieds-toi. Je vais chercher Amaro, et apprends on monte directement dans la voiture direction le QG de Sergio! »

Je l'aide à se rassoir, je pars vite chercher Amaro, je lui bande les yeux avec un torchon qui traîne afin qu'il ne voit pas le corps de Rodrigo.

Moi : « Je vais te porter sur mes épaules tu fais bien attention? Et tu ne parles surtout pas! Je vais en même temps aider ta maman! »

Amaro : « D'accord! »

Je le fais monter sur mes épaules puis pars vite récupérer Raquel, je la porte dans mes bras et l'emmène dans la voiture, je la couche à l'arrière, Amaro lui, je le cache dans le coffre.

Amaro : « Il fait noir ! J'ai peur! »

Moi : « On va retrouver ton papa! »

Amaro : « Maman elle est où?! »

Raquel : « Je suis là mon bébé... je suis là... »
Dit-elle faiblement.

Je conduis vite, vitesse maximale. J'arrive au QG de Sergio, je sors d'abord Amaro.

Moi : « Je reviens Raquel, ne bouges pas. »

Raquel : « Je ne peux pas Marseille... je peux pas bouger... j'ai trop mal...»

J'entre dans le QG.

{point de vue Sergio}

Je parle avec Palerme et les autres. Nairobi va beaucoup mieux, elle s'est même réveillée. Je leur ai expliqué la situation, Ángel et Suarez.

...: « PAPA! »

Je me retourne : Amaro dans les bras de Marseille.

Moi : « Amaro! »

Marseille pose mon fils parterre, ce dernier court vers moi. Je l'attrape dans mes bras et le serre fort contre moi.

Moi : « Mon fils! Mon p'tit garçon! »
Dis-je en lui embrassant la joue.

Amaro : « Tu m'as manqué papa! J'ai eu peur moi! Mais j'ai rien dis aux policiers ! J'ai fais comme tu m'as dis ! »

Moi : « Je te crois mon fils ! T'es le plus fort ! T'es un guerrier ! »

Après une grosse embrassade, je le pose au sol.

Moi : « Vas jouer là bas. Y a tes jouets qui t'attendent. »

J'avais demandé à Marseille d'acheter d'autres jouets pour son retour. Amaro part directement jouer avec.

Moi : « Et Raquel? »

Marseille : « Il faut que tu m'aides à la sortir de la voiture... elle est dans un très mauvais état... il lui faut un médecin, voir même l'hôpital... »

Moi : « Qu'est-ce qu'ils lui ont fait ?! »
Dis-je en me précipitant dehors suivi de Marseille.

J'arrive à la voiture, Raquel gémit de douleur.

Moi: « Raquel! »
Dis-je en la sortant de la voiture, je la porte dans mes bras à l'aide de Marseille, nous l'emmenons dedans et la posons dans le lit.

Moi : « Raquel? Mon amour... je suis là! C'est finit! Il ne te toucheront plus! »

Raquel : « Sergio... Sergio je t'en supplie... il faut que tu fasses venir un médecin... le bébé est en danger... »

Moi : « Marseille? Appelles les médecins serbes ! Ils sont dans le coin ! »

Marseille s'exécute, je réconforte au mieux Raquel.

Moi : « Ça va aller mon amour... »

Elle saigne de la figure, ils l'ont bien fait souffrir ces salopards. Je lui tient la main, elle la serre fort.

Raquel : « Je.. je peux plus Sergio... »

Ses yeux se ferment, j'hurle son prénom. Marseille arrive.

Marseille : « Ils arrivent! Tient ils sont encore au téléphone, ils vont te dire ce qu'il faut faire en les attendant. Je vais m'occuper du petit. »

Marseille pose le téléphone et part s'occuper d'Amaro, tandis que je suis les consignes des serbes. Raquel rouvrent ses yeux.

Moi : « Mon amour... tiens bon mon amour... »

Je pleure à moitié.

Serbe : « Professeur? Il faut que vous vérifiez si elle ne fait pas une fausse couche... »

Moi : « une quoi? »

Serbe: « Elle perd peut-être le bébé ! Vérifiez ! »

Moi : « Et comment je dois faire ? »

Serbe : « Déshabillez là, enfin le bas, vérifiez si elle perd du sang. »

Je panique, je fais ce que me dit de faire le médecin serbe. L'inimaginable devient réel.

Moi : « Elle saigne... beaucoup même... »
Dis-je avant de reculer et de baisser la tête.

Raquel : « Sergio... Sergio qu'est-ce qu'il y'a ..? Je veux pas perdre notre bébé... il va bien... qu'est-ce qu'il se passe? »

Serbe : « On est là ! »
Dit-il en raccrochant.

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Que pensez-vous de ce chapitre ? Marseille? Rodrigo? Amaro? Raquel? Sergio? Le bébé va-t-il être sauvé ?