~Tu es mon autre~ {Serquel-La Casa De Papel}

Chapitre 68

[je préviens juste, il va y avoir un gif d'une scène de la saison 4 avec Sergio et Marseille. Bien que le gif ne spoile pas vraiment grand chose, car je ne l'utilise juste pour illustrer une scène et que ce n'est pas une scène importante de la série qu'on vois d'ailleurs dans la bande-annonce de la partie 4 et que de plus, je ne reprends pas le dialogue, je préviens tout de même.]

{point de vue Sergio}

Je reçois un appel de la banque me prévenant que Gandia s'est échappé et qu'il a blessé Palerme. Je tape contre la table, heureusement Palerme va bien et Gandia a été enchaîné. Demain c'est le grand jour, la bande sortira de la banque et nous partirons tous dans un pays froid, la Finlande. Là-bas, nous avons très peu de risques même aucun risques de se faire attraper. Nous irons dans un vieux village presque éteint où j'ai déjà envoyé des serbes pour rénover des maisons pour chacun de la bande, enfin ce sera surtout des collocations. Je serais évidemment dans une maison avec Raquel, les enfants et sa mère, et les autres choisiront avec qui ils voudront habiter.
Je repense au bébé que j'aurai dû avoir avec Raquel, la mort de mon père, de mon frère, d'Oslo, de Moscou, la blessure grave de Nairobi, la blessure de Martin, la torture de Rio, la torture de Raquel, Alicia Sierra et ses hommes tortionnaires, Tamayo, Prieto... tout se mélange, la pression monte. Je prends mes gants et commence à frapper fort le sac de frappe, je hurle de rage et de peine. Puis je frappe de plus en plus fort.

{point de vue Marseille}

Je sursaute aux cris que j'entends.

Raquel : « Sergio?! Marseille vas voir s'il te plaît ! »
Dit-elle inquiète.

Amaro : « Pourquoi il cri comme ça papa? »

Raquel : « Amaro restes ici! »
Dit-elle en le gardant contre elle.

Je pars voir Sergio en courant. Il frappe son sac de frappes.

Sergio : « VOUS AVEZ TUÉ MON PÈRE ! PUIS MES AMIS ! PUIS MON FRÈRE ! VOUS AVEZ BLESSÉ MES AMIS GRAVEMENT ! VOUS AVEZ TORTURÉ MA FEMME ET UN GAMIN! VOUS AVEZ TUÉ MON BÉBÉ! »
Dit-il en criant et pleurant.

J'attrape le sac de frappes.

Moi : « ARRÊTES ! SERGIO ARRÊTES! »

Il se calme enfin, il regarde dans le vide. Je m'approche de lui et pose mes mains sur son visage, je l'oblige à me regarder.

Moi : « Sergio. Sergio je t'en prie regardes moi. »

Sergio me regarde, le regard rempli de haine.

Moi : « Calmes toi... »

Sergio : « Je peux plus Marseille... il faut que je me venge... que je venge mon père... mon frère... Moscou, Oslo, Rio, Nairobi, Palerme... que je venge Raquel et notre bébé... »

Moi : « Tu as déjà vengé ton père en faisant le casse à la fabrique... tu as déjà vengé Berlin, Rio, Moscou et Oslo avec ce casse... oublie la vengeance pour Nairobi... Palerme et Raquel... ils sont tous vivants. Ils vont bien. Ou mieux du moins. »

Sergio : « Non. Je refuse. Je dois les venger. Les casses n'étaient qu'un avant-goût, ils n'ont pas souffert comme nous avons souffert! »

Moi : « Sergio! Tu es déjà bien recherché pour les casses, tu veux en plus être recherché comme tortionnaire ?

Sergio : « ET EUX ?! ET EUX MARSEILLE?! CE NE SONT PAS DES TORTIONNAIRES PEUT-ÊTRE ?!! »

Moi : « Sergio tu n'est pas mauvais comme eux. »

Sergio : « JE DOIS LES VENGER MARSEILLE! ET JE M'EN FOU DE CE QUE TU PENSES ! SORS DE MA VUE! »
Dit-il en me poussant.

Je l'attrape et le colle contre le mur.

Moi : « Erreur mon ami. »

La porte s'ouvre : Raquel.

Raquel : « Sergio! S'il te plaît... écoute Marseille... fais le pour moi... »

Sergio : « Tu t'es levé alors que tu es sous perfusion ? »

Raquel : « J'en ai plus besoin. Je me les suis enlevé. »

Sergio : « Raquel... »

Raquel : « Sergio... viens... »
Dit-elle en ouvrant ses bras.

Je relâche Sergio ce dernier part se blottir dans les bras de Raquel.

_________________________
Que pensez-vous de ce chapitre Sergio ? Raquel? Marseille ? La réaction de vengeance de Sergio?