Chapitre 67

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{point de vue Martin}

La tension est redescendue, tout le monde est retourné à son poste. Je demande à Stockholm de surveiller les otages pendant que j'aille aider les autres avec l'or. Nous devrons pas tarder à sortir de la banque d'après Sergio. 

...: « ON A UN PROBLÈME ! »

Je me retourne : Stockholm.

Moi : « Qu'est-ce qu'il y'a ? ! »

Stockholm : « Un des otages s'est échappé! »

Moi : « Pardon?! »

Stockholm : « C'est Gandia ! Gandia s'est détaché ! Je ne sais pas où il est passé ! »

Moi : « Et tu étais où hein quand ça s'est produit ? Tu m'expliques  ? »

Stockholm : « J'emmenais Arturo Roman aux toilettes! »

Moi : « Est-ce une coïncidence que Arturo soit aller aux toilettes pendant qu'il s'est détaché l'autre abruti de Gandia?! Ils étaient côte à côte ! Bordel! Dépêchez vous! »

Tous remontons en haut, nous allons voir Nairobi et Tokyo.

Tokyo : « Il se passe quoi là ?! »

Nairobi : « Vous faites de ces têtes ! »

Moi : « Gandia s'est échappé ! Il traine dans la banque ! Tokyo, Rio , Denver, Stockholm emmenez Nairobi à la forge. Elle sera en sécurité là-bas ! Après, vous remonterez sauf Tokyo et Stockholm? Vous resterez en bas. »

Tokyo : « Allons-y ! »

Moi : « Helsinki, Bogota avec moi! »

{point de vue Raquel}

La nuit commence à tomber, Sergio est partit jouer avec notre fils dans la pièce à côté. J'ai repris des forces, je me sens mieux. Mais j'ai toujours cette annonce des médecins serbes en tête : « vous avez perdu le bébé. »
Marseille est entrain de faire  à manger, un vrai petit chef faut l'avouer.

Marseille : « Ça va mieux ? »

Moi : « Oui... un peu mieux.... »

Marseille : « Sergio m'a tout dit pour ce qui est arrivé au... au... bébé... je... je suis désolé ... »

Moi : « Ça va Marseille... ça va... ne le soit pas. »

Marseille : « Tu sais... j'ai une sœur... qui... qui a fait plusieurs fausses couches et... et à chaque fois ... c'était... c'était parce qu'elle se trouvait dans une mauvaise situation... d'abord la guerre... puis... elle a été à la rue puis... elle n'avait pas plus d'argent... ou son compagnon l'a frappé... tu as perdu le bébé... dans cette situation... c'est simplement peut-être car ce n'était pas le moment... »

Je soupire.

Moi : « Qu'est-ce que tu dis Marseille ?! Si j'ai perdu le bébé... c'est à cause de moi et de la police ! Je suis désolée pour ta sœur ... mais... ce bébé il est mort parce que... »

Marseille : « Je ne voulais pas te faire mal en te disant ça... je voulais juste essayé de te dire que... un enfant... ça vient quand c'est le bon moment... »

Moi : « Tu as des enfants ? »

Marseille : « J'ai eu un enfant... une petite fille... mais ... mais la guerre me l'a enlevée. »

~Tu es mon autre~ {Serquel-La Casa De Papel}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant