Chapitre 54

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{point de vue  Raquel}

Le camion ne part pas, pourquoi? Ils devraient déjà m'emmener en prison, ou sous la tente ou même ailleurs mais ils ne partent pas.

Moi : « On attends quoi pour partir ?! »

Policier : « D'essayer de chopper ton fils de pute de compagnon et votre fils. »

Moi : « à l'heure qu'il est ils sont déjà bien loin croyez-moi! Vous ne leur mettrez jamais la main dessus! »

Policier : « Ferme la. »

Moi : « Jamais vous trouverez le professeur et notre fils. »

Policier : « Ferme la. »

Moi : « Jamais tu entends ? »

Policier : « Tu vas la fermer oui ta gueule? »

Moi : « Non. J'en ai pas l'intention. Tu sais pourquoi? Pour vous déstabiliser ! Vous n'aimez pas trop que les prisonniers vous fasse chier tu sais pourquoi ? Parce que évidemment ça vous déstabilise et vous êtes donc moins compétents pour continuer votre boulot. Et même quand on se concentre au maximum et qu'on ne cesse de se répéter qu'on se fera pas
Avoir, on se fait toujours avoir. »

Le policier s'approche de moi, il me donne un coup de poing dans le ventre. J'ai peur pour le bébé.

Policier : « Et moi je te dis que je ne me ferais pas avoir par une traitre enceinte d'un fils de pute ! Et je te dis aussi qu'on chopera  le professeur et le petit, quoi qu'il arrive ! »

Je décide de ne plus parler, au moins pour mon bébé.  J'espère que Sergio et Amaro ont réussit à se cacher et que Marseille va bientôt les récupérer.

{point de vue général}

Amaro recule et se cache derrière une botte de paille. Les policiers montent en haut du Grenier.

Policier 1  : « Petit petit petit.... viens ici. On ne te veux pas de mal... »

Policier 2 : « Où est-ce tu te caches? »

Amaro tremble de peur jusqu'à en faire tomber son doudou et sa sucette au sol.
Un des policier décide d'aller  voir et tombe nez à nez sur le petit.

Policier : « Mini Murillo Marquina. Viens ici. »
Dit-il en attrapant Amaro par le col.

Policier : « On dirait que tu as perdu à cache cache ?! »

Amaro pleure.

Amaro : « Papaaaaa! Mamaaan! Ils m'ont attrapés les policiers ! »

Policier : « Ferme la! »
Dit-il en donnant une claque au petit.

Amaro : « Je veux pas vous suivre! Papa et maman ils m'ont dit de pas vous suivre ! Vous êtes méchants ! »

Les policiers rigolent et font descendre le petit de la grange, ils récupèrent aussi son doudou et sa sucette ainsi que les jouets. Ils l'emmènent direction le camion.

{point de vue Sergio}

Nous marchons avec Marseille en direction de la maison, nous y arrivons enfin, je monte à l'échelle : Amaro n'est plus là. Ni même ses jouets.

Moi : « Amaro?! Amaro! »

Je fouille partout dans le grenier puis redescends. Je découvre un des ses petits personnages au sol, je l'attrape dans mes mains.

Moi : « Amaro... non... Marseille! Amaro a disparu! »

Nous partons à se recherche tout en essayant de ne pas se faire chopper par ces salopards de flics.

Moi : « Amaro...?! »
Dis-je en chuchotant assez fort .

Marseille fait de ne même. J'entends un cri, un cri d'enfant. Et je ne met pas longtemps à me rendre compte que c'est les cris de mon fils.

Moi : « Marseille! C'est mon fils qui crie ! Partons dans cette direction! »

Nous y partons et voyons au loin des policiers embarquaient Amaro qui celui-ci se débat tout en pleurant et hurlant.

Amaro : « JE VEUX MON PAPA!! ET MA MAMAN! JE VEUX PAS PARTIR AVEC VOUS! PAPA! MAMAN! »

Moi : « Amaro... AMARO! »
Dis-je en commençant à partir en courant.

Marseille me retient.

Moi : « Marseille il faut qu'on aille l'aider! AMARO! »

Marseille pose sa main sur ma bouche, je le mord mais il tient quand même. Il nous jette au sol dans les hautes herbes afin de nous cacher. Marseille relâche la pression contre moi, je me relève et commence à partir mais un énorme mal de tête vient en suivant et je me laisse retomber au sol.

{point de vue Marseille}

J'ai été obliger de frapper violemment le professeur à la tête avec mon pistolet. Maintenant il a perdu connaissance mais ce n'est rien de grave. Je le tire jusqu'à la voiture en faisant attention aux flics et l'y dépose. Je monte également et conduis direction un endroit sûr.
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~Tu es mon autre~ {Serquel-La Casa De Papel}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant