{point de vue Raquel}
Sergio conduit, tandis que moi, je suis assise au côté passager. Amaro est endormit dans le lit.
Sergio : « Appelle Palerme s'il te plaît. »
Moi : « Oui. »
Je prend le micro et l'appelle.
Sergio : « Quelle est la situation ? »
Palerme : « On a dépassé les 10 tonnes. Soit 10 700 kilos de granulés. Un peu plus que prévu.»
Bogota : « On Bats records! »
Sergio : « Parfait! Et les protections ? »
Palerme : « On soude toujours. On en a deux pour l'instant. »
Sergio : « Et sinon quoi de neuf? »
Palerme : « Tout est sous contrôle. Et pour vous ? »
Sergio : « Rien a signalé. Terminé. »
Les informations à la radio tournent, afin que l'on soit informé.
Radio : « Nous interrompons ce programme. La plus grosse fuite de l'histoire du pays a eu lieu. Ce journal a eu accès à plus de 100 documents classés secrets. L'Espagne a vendu des roquettes à Saddam Hussein six mois avant l'invasion de l'Irak. Ces secrets font parties de la Banque d'Espagne qui ont été rendus publics. »
Sergio tape sur le volant, je regarde sur ma tablette.
Moi : « C'est en ligne sur tous les médias ! »
Sergio : « Ce sont des fausses informations ! »
Moi : « Ils nous privent de notre atout majeur pour négocier la liberté de Rio! »
Sergio : « Non c'est pas ça ! C'est une diversion pour entrer dans la banque! »
Moi : « Quoi?! »
Sergio : « Palerme tu me reçois ?! »
Palerme : « j'écoute professeur! »
Sergio : « Ils passent à l'attaque ! Il faut que tu réunisse tout le monde ! Je répète ils passent à l'attaque ! »
Palerme : « Quand ? Et quel genre d'attaque ? »
Sergio : « Je ne sais pas encore! On reste en contact ! Je te reprend plus tard! »
J'appelle Marseille.
Moi : « Marseille ? Ils vont intervenir ! Il faut qu'on saches par où ils vont rentrer ! Je veux que tu nous signales chacun de leurs déplacements ! »
Sergio : « Il faut qu'on quitte la route ! Regardes le plan! »
Moi : « à 300m sur la gauche y a un chemin agricole ! Et pourquoi tu ne veux pas rester sur la route ?! »
Sergio : « on a doublé cette voiture hier à 90 kilomètre d'ici! »
Sergio donne un grand coup de volant pour tourner, je me retourne vite pour aller voir Amaro.
Moi : « Sergio! Putain doucement! Amaro est derrière ! Et t'es sûr que c'est la même voiture ?»
Dis-je en récupérant Amaro dans mes bras, celui-ci ne comprends pas ce qu'il se passe.Sergio : « M5354XX! C'est la même putain! »
Dit-il en me criant dessus.Moi : « Hé oh! T'es pas obligé de me parler comme ça ! »
Sergio : « Pas maintenant Raquel ! Pas maintenant! »
Moi : « Ni maintenant ni jamais ! »
Un gros bruit se fait entendre.
Moi : « oh putain l'antenne ! »
Sergio : « Palerme tu me reçois ?! »
Moi : « Aucun signal! Putain »
Sergio sort de la voiture.
Amaro : « Maman! Qu'est-ce qu'il y'a ? »
{point de vue Sergio}
Je récupère l'antenne et découvre que nous sommes embourbé dans la terre.
Moi : « Faut qu'on sorte de là ! Conduis je vais pousser! »
Je pousse de toutes mes forces.
...: « Oh! Papa! Papa! C'est le professeur ! »
Je me retourne, nous voila attraper. Putain.
Des gens arrivent et me regardent. Raquel arrive, avec Amaro.
Mec : « Et l'inspectrice ! Et... et un enfant ! »
Moi : « effectivement je suis... je suis le professeur, mon fils et... l'inspec.... »
Raquel : « Lisbonne. »
Mec 2 : « On a pas vu passer votre ballon par ici! »
Mec 1 : « Non! »
Mec 3 : « vous voulez un coup de main ? »
Moi : « Si ça ne vous dérange pas... »
Mec 3 : « aller ! On pousse! »
Moi : « Raquel, vas conduire. Amaro tu vas avec maman ! »
Je pousse à l'aide des autres. Une sirène de police retentit, je tourne la tête.
Moi : « Des flics! »
Mec 3 : « Montez dans le camping car! Vite ! »
Je monte vite, je rejoins Raquel dans le camping car.
Moi : « Raquel vite dans les toilettes! »
Nous nous cachons dedans. Je l'attrape contre moi, Amaro dans mes bras également.
{point de vue Raquel}
Je serre la chemise de Sergio et plonge ma tête dans le dos de notre fils quand le policier monte dans le camping-car.
Amaro : « J'ai peur... »
Sergio : « Chut... Amaro. »
Dit-il en posant sa main contre la bouche de notre fils.
Le policier ressort assez vite. Je soupire. Le policier aide les paysans à nous sortir de là. Une fois celui-ci partit, Sergio et moi descendons. Nous donnons de l'argent aux gens afin de les remercier. Une dame nous donne à manger et à boire puis donne des bonbons à Amaro. Nous repartons ensuite sur la route. Marseille nous appelle.Moi : « Oui Marseille ? »
Marseille : « Ils ont un camion de citerne. Ils placent des tubes dans les ventilations. »
Moi : « Autre chose? »
Marseille : « Non c'est tout. »
Moi : « D'accord merci. »
Je raccroche et annonce la nouvelle à Sergio.
Moi : « Du gaz anesthésiant. Sûrement de l'halothane. Connaissant Sierra elle va faire comme Poutine au théâtre de Moscou. »
Sergio : « On est à combien du lieu d'échange ? »
Moi : « 12 kilomètres. »
Nous arrivons sur le lieu où nous planquons une ambulance. Je branche tout.
Moi : « On est connecté ! »
Sergio : « Palerme ?! Palerme tu me reçois?! »
Aucun signal. Putain.
Sergio : « Palerme ?! »
Tokyo : « Professeur ?! C'est Tokyo! »
Sergio : « Du gaz anesthésiant ! Ils nous attaquent comme ça ! Ils vont passer par les toilettes ! Prévient les autres! Aller ! »
Tokyo : « Entendu! »
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~Tu es mon autre~ {Serquel-La Casa De Papel}
FanfictionTrois ans que le braquage à la fabrique de la monnaie a eu lieu. Trois ans que Sergio Marquina et sa bande de braqueurs sont recherchés par la police. Trois ans que Raquel Murillo ne travaille plus. Trois ans qu'elle est seule avec sa mère, sa fille...