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Imagine Lucien Castle (The Originals) • Request

Hey guys ! 💗

J'espère que vous allez bien ! ☺️

Cet imagine est assez long donc soyez bien installés ! J'espère qu'il vous plaira et n'hésitez pas à me dire ce que vous en avez pensé dans les commentaires ☺️

Toute critique constructive sera prise en compte tant qu'elle sera respectueuse ! ☺️

Bonne lecture ! 

Lots of love 💗

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- Je ne suis pas sûre d'avoir très bien compris. Tu veux que je fasse quoi ?

- On veut avoir un enfant.

- Tu sais quoi ? J'aurais presque préféré que tu me demandes de tuer quelqu'un. Je peux savoir ce qui vous fait dire que j'y arriverais ?

- Tu es une puissante sorcière fit remarquer Kol

- La plus puissante renchérit Davina avec un sourire qui se voulait innocent

- Je n'ai jamais fait ça. Je ne sais pas si ça fonctionnera et, pour être honnête, je n'ai jamais entendu qui que ce soit ayant eu recours à un sortilège pareil.

- Écoute, je peux parfaitement comprendre ta réticence mais on ne t'aurait jamais demandé ça si ce n'était pas important. Avoir un enfant serait la plus chose que l'on puisse avoir. Je veux pouvoir fonder une famille, pouvoir tenir mon propre bébé et le voir grandir auprès de nous. Je sais à quel point c'est niais mais je veux pouvoir aimer mon enfant inconditionnellement et connaître cette magnifique expérience qu'est la grossesse. Enfin, si on laisse tomber ses côtés négatifs. Je veux juste pouvoir el sentir grandir en moi et le sentir donner des coups dans mon ventre. Je veux pouvoir m'émerveiller à chaque gazouillement, à chaque bruit qu'il pourrait faire. Je veux lui offrir pleins de cadeaux, lui faire croire au Père Noël et à la petite souris. Je veux lui chanter des berceuses pour qu'il s'endorme et lui lire des contes. Je veux pouvoir le faire rire et vivre au côté de mon enfant et de l'homme que j'aime.

Un silence prit place dans la cuisine où se trouvait Freya, Kol et Davina. La plus âgée des Mikaelson afficha un sourire triste mais à la fois compréhensif. Freya savait à quel point il pouvait être important pour la jeune sorcière de vouloir un enfant de l'homme dont elle était tombée amoureuse. Il lui aussi était arrivé de penser à ce qu'aurait été sa vie si sa tante Dahlia n'était pas la femme horrible qu'elle était. Freya s'était déjà imaginé vivre au côté d'un homme qui l'aimerait elle et leur enfant et cela aurait pu être possible si la sœur d'Esther n'avait ni chercher à la priver de sa liberté ni à la contrôler comme bon lui semblait.

- Je comprends parfaitement, Davina... mais c'est impossible. La seule personne qui a utilisé un sort de fertilité a eu recours à la magie noir et je refuse d'avoir à le faire.

- Je ne t'aurai jamais demandé ça si ça n'avait pas de valeur pour nous, Freya. Tu es la plus puissante sorcière que je connaisse. Tu n'as aucun mal à briser des sorts pourtant connus pour être difficile à contrer.

- Tu es notre seul espoir continua Kol

Freya n'avait certes pas passé autant de temps avec ses frères et sœurs que l'avait fait Rebekah, Elijah ou même Klaus mais elle avait appris à les connaître et jamais elle n'avait eu à voir le regard de Kol qu'en cet instant précis. Après tout, il était vrai qu'ils avaient rencontré de nombreuses difficultés et avaient vécus des situations plus terribles les unes que les autres avant de pouvoir faire face à la dure réalité qui se présentait face à eux. Kol était un vampire et Davina une sorcière. Alors, même si au début leurs natures respectives n'était pas un problème, il se trouvait que leur vision du futur avait été amené à changer. Ils ne pouvaient plus continuer à vivre de la sorte et en étant entourés de conflits, de morts et de trahisons. Ils voulaient trouver une certaine forme de stabilité et ne plus avoir à payer pour les erreurs des autres. Ils voulaient vivre leur vie et, ça, Freya ne pouvait que le comprendre. Cependant, il était inenvisageable pour elle de se réduire à l'utilisation de la magie noire. Et puis, elle ne saurait pas où commencer. Elle n'avait jamais utilisé ses pouvoirs pour lancer des sorts d'infertilité et les conséquences de ce-dernier n'était pas encore défini. Tout pouvait arriver. Pire encore, cela pouvait empirer la situation d'une façon ou d'une autre.