Chapitre 45

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Elle était à présent en face de moi et se mit à genoux afin d'être à ma hauteur. Je posais alors mes mains sur ses bras et attendis qu'elle prenne la parole.

- On va dans ma chambre bébé ? demanda-t-elle en le souriant

- Si tu veux.

Elle reboutonna son chemisier très discrètement et nous partîmes avec Emily qui avait tenue à nous accompagner pour une partie du trajet. Arrivée dans sa chambre je m'assis sur son lit et la regardais avec amour. Elle rangeait les papiers qu'elle avait emporté de la salle de conseil, elle était donc dos à moi et était penchée en avant. Je me levais doucement et me dirigeais vers elle ayant eus une idée en tête, je vis sa main droite aller en direction de son cou puis revenir sur les papiers un peu après et de mon côté je me plaçais derrière elle et lui caressais les fesses. Elle se laissa faire et continua sa tache en gloussant. Quand elle eut terminé ses papiers, elle se retourna en face de moi et me regarda en souriant ainsi qu'en posant ses mains sur ses hanches. Je compris ce qu'elle avait fait avant, elle avait ouvert son chemisier et laissait donc apparaître un début de poitrine.

- Je dois encore remplir des papiers bébé. Tu peux venir si tu veux je serais à mon bureau.

- Je viendrais sûrement dans quelques minutes. affirmais-je en sentant le rouge me monter aux joues à cause de mon action précédente

Elle partit donc à son bureau et de mon côté je mis ma cape ainsi que mon pull sur le bord du lit. Je déboutonnais ma chemise jusqu'à un peu avant ma poitrine puis enlevais mon soutien gorge. On ne voyait pas que je l'avais enlevé et elle ne savait pas qu'elle m'avait excité. Je sortis de sa chambre en sifflotant discrètement et me dirigeais à son bureau, elle était assise sur sa chaise et remplissais des papiers comme elle l'avait dit. Je me mis derrière elle et l'observais attentivement.

- Tu veux que je t'explique bébé ?

- Oui, je veux que tu m'expliques pourquoi tu n'ouvres pas plus ton chemisier. affirmais-je en lui avoyant un sourire ravageur

Elle râla alors en m'informant que ce n'était pas ainsi que je comprendrais ce qu'elle faisait et l'ouvrit encore plus ce qui m'excita énormément, je me plaquais contre elle et me penchais pour voir ce qu'elle faisait.

- Tu remplis quoi ?

- Les résultats des élèves, leurs difficultés, leurs aisances et les choix qui leur sont préférables même si c'est un peu tard. Donc si tu as bien compris je remplis les papiers des...

- Troisième année. devinais-je

- Tu comprends rapidement, voyons voir si tu réagis rapidement.

Elle prit ma main droite et la mit sur le haut de sa poitrine, je descendis ma main et la plaçais sous son soutien gorge puis malaxais son sein droit.

- C'est parfait... dit-elle en fermant les yeux

Notre relation allait un peu vite mais j'avais dix-huit ans et elle cent trente-six ans donc pour elle la précipitation pouvait se faire rapidement vu son âge, même si j'étais plus jeune l'envie que je ressentais suivrait son envie à elle. Ma petite amie continua ses papiers et moi je lui caressais sa poitrine, son soutien gorge m'énervait de plus en plus car il m'empêchait de la caresser correctement. Je râlais donc et elle tourna ses yeux vers moi, elle vit avec surprise que j'étais énervée.

- Qui a-t-il bébé ?

- Ton soutien gorge m'énerve...

Elle rigola et retourna à ses papiers, deux minutes plus tard elle enleva son soutien gorge et le mit sur ses jambes. Désormais mes caresses étaient plus sensuelles et plus envieuses, elle prit ma main et me fit attarder sur son téton droit. Je me penchais et lui embrassais son cou tout en lui caressant son sein droit, elle de son côté lâcha des gémissements et continua ses papiers. Je passais ma main gauche près de ses seins et déboutonnais encore un bouton de son chemisier, si quelqu'un entrait il aurait une vue prenable sur sa poitrine. Pendant qu'elle remplissait les papiers, je lui procurais du bien tout en l'embrassant dans le cou, elle écrivait de sa main droite. Sa main gauche descendit de la table et elle la mit à son entre-jambe, je la vis se caresser son sexe ce qui m'encourageais à amplifier mes caresses, elle ouvrit le bouton de son pantalon et mit sa main dans sa culotte pour mieux se caresser. Je la vis avoir plusieurs frissons, elle continuait ce qu'elle faisait avec sa main gauche et continua de remplir les papiers. De mon côté, j'ouvris son chemisier entièrement et la caressais de ses seins jusqu'au début de son pantalon, elle s'empêchait de gémir depuis trois minutes et elle avait toujours sa main gauche à son sexe alors elle effectuait toujours le même mouvement. Je caressais sa poitrine de ma main gauche et de ma main droite je descendais vers son entre-jambe, une fois près de celui-ci je portais mon regard sur elle. Je la vis devenir rouge et écrire un mot que je lus, elle avait marqué continue et ne t'arrête pas. Je descendis alors ma main jusqu'à son sexe, je mis ma main en-dessous de sa culotte et rejoignis sa main pour la caresser. Elle ne pouvait plus arrêter ses gémissements, elle me faisait bien comprendre que je l'excitais à fond ce qui m'incitais à lui caresser brutalement son sexe, je mis ma main sur la sienne et la guida pour les caresses. Je la vis se cambrer en arrière signe qu'elle allait jouir, elle lâcha plusieurs gémissements intenses et mit ma main à son clitoris, je lui fis quelques caresses et cela lui value une dizaine de gémissements. Pour terminer et la laisser remplir correctement ses papiers, je lui embrassais tendrement sa poitrine tout en la lui caressant et tout en lui titillant son clitoris, elle lâcha un dernier et long gémissement avant de jouir mon surnom qui était bébé aussi fort qu'elle le pouvait. J'arrêtais donc doucement ce que je faisais et elle reprit son souffle petit à petit. Je l'aidais à remettre son soutien gorge et son chemisier car elle tremblait des suites de mes caresses.

BardenOù les histoires vivent. Découvrez maintenant