Je venais d'arriver dans la chambre de ma petite amie et elle fermait la porte à clef pour qu'on soit tranquille. Je m'asseyais alors sur la chaise en face de son bureau mais elle mit ses mains sur mes épaules pour capter mon attention et ainsi me parler jovialement.
- Installe toi sur ma chaise bébé, je vais mettre une tenue plus confortable et le temps tu fais tes devoirs.
- Si tu insistes... démissionnais-je en m'asseyant sur sa chaise
Elle se mit donc en face de moi à la suite et soupira de mécontentement.
- Je vais te donner l'habitude de m'appeler mon coeur tu vas voir. affirma-t-elle en partant dans le couloir
Elle partit se changer et de mon côté je faisais mes devoirs en toute tranquillité. Elle revint dix minutes plus tard alors que je faisais toujours mes devoirs malgré qu'ils avaient déjà avancés. Elle se mit près de moi et m'enleva ma cravate ainsi que mon pull le plus doucement possible. Je pensais que c'était afin que je sois un peu plus confortablement installé même si je l'étais déjà.
- Tu te souviens de ce que tu m'avais fait ? demanda-t-elle en me mordillant l'oreille
- Tu parles d'avant ou de vendredi ?
- Vendredi bébé, je vais te faire souffrir...
- Juste deux minutes j'ai des devoirs... demandais-je en les continuant
Elle ricana en me les enlevant des mains et elle défit ma chemise jusqu'à la naissance de ma poitrine. Je compris alors qu'elle allait me rendre la pareille et c'est pour cela qu'elle voulait que j'aille sur sa chaise. Je sentis des lèvres se poser dans mon cou et des mains descendre à ma poitrine.
- Je n'ai pas fais comme ça. déclarais-je le souffle coupé ainsi qu'en essayant de me concentrer dans mon objectif qui était de refaire mes devoirs
- Respire bébé je n'ai même pas débuté. Sinon pour te répondre, je fais comme je le désire.
Elle mit ses mains sur mes seins et les malaxa doucement, elle me fit des baisers dans mon cou et le mordilla afin d'y laisser une trace. Je tournais ma tête vers elle et la regardais tendrement, je lui pris sa nuque et l'approchais de moi afin de l'embrasser. Nous nous embrassâmes donc par la suite et je voulus prendre le dessus en lui touchant son entre-jambe mais elle fut plus rapide et mit mes mains sur sa poitrine. Elle ne portait pas de soutien gorge ce qui m'amena dans un autre monde et ce qui m'excita aussi par la même occasion.
- Tu te venges ? demandais-je
Elle ne me répondit pas mais m'ouvrit encore plus ma chemise, elle mit ses doigts sur mon soutien gorge puis l'enleva d'une main experte. Je gémissais discrètement car j'avais ma chemise entièrement ouverte et des baisers dans mon cou ainsi que sur ma mâchoire. Elle me malaxait mes seins puis tourna la chaise pour ensuite de ses mains, elle me titilla mes tétons durcis par l'excitation. Elle s'attarda sur mon téton droit et me le léchait, ensuite après deux minutes à me le lécher elle le titilla à nouveau et me le mordilla doucement afin de ne pas me faire mal. Je lâchais des gémissements ce qui l'incita à continuer à mordiller mon téton mais elle s'arrêta et vint m'embrasser langoureusement. Elle demanda ensuite l'accès dans ma bouche avec sa langue et je le lui accordais d'office. Ensuite elle descendit dans mon cou et me fit plusieurs baisers tout en titillant mes tétons de ses doigts, quand elle estima avoir assez fait de bisous dans mon cou elle me fit un suçon de cinq minutes afin d'y laisser une vrai trace. Je lâchais des gémissements de plus en plus fort, c'est ainsi qu'elle ouvrit le bouton de mon pantalon et qu'elle mit sa main droite sur ma culotte. Je me crispais de peur qu'elle aille plus loin, et elle le sentit ce qui me fit avoir un gémissement quand elle revint lécher mes seins. Je sortis plusieurs gémissements et elle commença de douces caresses sur mon sexe, j'étais beaucoup plus détendue à présent. Elle le sentit et mit sa main sous ma culotte, elle débuta de brutale caresses sur mon clitoris ce qui me fit me cambrer en arrière. Prise d'un élan elle enleva mon pantalon et le jeta sur le bureau, ensuite elle enleva sa main de mon sexe et la déposa sur mon sein gauche afin de le titiller brutalement. Je lâchais pleins de gémissements et sans retenue, elle m'embrassa mon sexe sur ma culotte. Je regardais ce qu'elle faisait puis fermais les yeux, je me cambrais en arrière ce qui l'incita à m'embrasser fougueusement mon sexe. Je gémissais de plus en plus fort et elle accentuait ses mouvements, elle titilla mon clitoris de sa langue ce qui me fit jouir le plus fort possible son surnom qui était mon coeur.
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Barden
FantasyAtlanta, 8 septembre 1975. Au sein de l'établissement Barden, une boucle créée il y a 30 ans abrite une école de sorciers particuliers. Ombrine, la première des ombrunes, se trouve être la directrice de ce fameux établissement. Huit ombrunes y sont...