Chapitre 9

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Thranduil soupirait, depuis cet accord passé avec cette gamine, elle le suivait partout et elle prenait mêm son sac dans laquelle devait être caché le sabre. Un sabre ? Qu'est ce que c'était ? Il n'avait pas eu le temps de regarder la lame.  Alors qu'il marchait dans le couloir, pour uen fois elle l'avait laché dans le couloir du lycé, ce qui le surprit mais tant pis passons. Il  se dirigea vers la classe et le cours commença, il rendit les rédactions en disant franchement et honnêtement ce qu'il pensait de ces brouillons ! Il donna un devoir plus ardu ! Ecrire un texte, décrivant une personne de votre choix ! Il la vit, l'observer avec un léger sourire aux lèvres ironique, elle mordillait son crayon, se spieds étaient posé sur une chaise voisine, ce qu'il ne supportai tpas. Combien de fois, il avait mis des tapes sur les jambes de son fils pour éviter qu'il pose ses jambes sur les accoudoirs d'un fauteuil ! Il donna des feuilles de cours et quand il arriva devant la table d'Anna, il donna une forte claque sur ses jambes et il poussa ses jambes vivement jusqu'à ce qu'elle se retrouve par terre, provoquant les rires de ses camarades. Elle se releva doucement, dans ses yeux brillaient une lueur de défi et un sourire forcé avant qu'elle lui glisse " Vous me le payerez...". Il lui fit un sourire ironique et continua de distribuer les feuilles avant de faire volte face faisant glousser et chuchoter les filles qui étaient a moitier entrain de craquer sur sa chevelure. Il ne remarqua pas qu'Anna jetais un regard meurtrier aux filles et leurs jetait un mot. Mais cela il le remarqua quand les filles lurent quelque chose entre leurs doigts. Il se dirigea vers elle et leurs arracha le boût de papier et s'en alla et le déposa sur son bureau. 
-" Si vous n'êtes pas interessée par mon cours vous pouvez sortir ! Mais il faudra avoir des lignes a copier et des exercices de vocabulaires et de grammaires !" dit-il froidement. Il remarqua qu'anna ricanait. Il se concentra sur le sujet du jour, c'est à dire révisions des temps de conjugaisons. Comme devoirs, il voulait que tout le monde apprenne les  conjugaisons d'un verbes de chaques temps ! Anna râlait mais se contenta de l'écrire dans son agenda. Puis alors que le cours sonna à la fin, il ouvrit le mot et le lût. C'était un message le concernant. " Cessez de le fixer, c'est MON prof !" était écrit. Elle avait oser. Il sentit la fureur monté en lui. Comme si il était sa chose !? La sonnerie retentit, blessant comme toujours les tympans du souverain. 
-" Anna Carillon tu reste ici !" dit-il alors qu'il la voyait s'en aller emportant son drôle de sac. Elle s'arrêta et lui jeta un regard appuyé, lui demandant silencieusement ce qu'il voulait mais il l'ignora et rangea ses affaires. Quand les élèves quittèrent la salle, il referma la porte. 
-" Tu te moque de moi Anna !? " explosa t-il en montrant le billet. Elle se contenta de sourire, mais ce sourire fût vite effacer par la gifle retentissante et violente qu'il lui mit. Elle écarquilla les yeux, sa tête avait tournée sur le côté, elle plaça sa main sur sa joue et il vit sa machoire se serrer. 
-" Merci... Sa fait du bien..." dit-il en se massant la main. Il la fixait froidement. Anna soudain en un éclair rapide sortit son sabre du sac et le dégaina. Elle se rua sur lui, il eut le temps d'esquiver, la lame trancha le pot de crayon. Il fronça les sourcils, quel différence entre une épée et un sabre ?   Et il remarqua soudain la différence, le côté supérieur de la lame n'était pas tranchant, il n'y avait qu'un côté qui était tranchant, comme un fil de rasoir.  Il décida d'arrêter ce moment, alors qu'elle fendait l'air et donc s'épuisait pour rien. 
-" Du calme Anna !" dit-il d'une voix douce, mais les yeux de la jeune fille brillait d'une colère noire. 

" je vais vous envoyer en enfer et on parlera après !" dit-elle entre ses dents. Il comprit qu'il ne pourrais pas l'arrêter a part se recevoir la lame dans la peau. Il décida de prendre le risque. Il s'arrêta, en le voyant s'arrêter, elle mit sa lame près de son visage dans le but de charger. Il planta fermement les pieds dans le sol et quand elle fonça, il s'écarta au dernier millimètre, laissant la lame lui faire une estafilade au bras. Puis il donna un coup du tranchant de sa main dans la première main d'Anna qui lacha le pommeau et il attrapa sa deuxième main et serra de façon à ce qu'elle lâche. Comprenant qu'elle ne tiendrais pas a sa poigne plus puissante et qui pouvait briser des os, elle lâcha faisant retentir le sabre sur le sol.  Etrangement, elle n'était pas autant épuisée qu'il aurait cru. Il l'attrapa et la força à s'asseoir sur sa chaise. 
-" Maintenant tu ne bouge pas ou j'utilise cette lame contre toi !" dit-il en saisissant rapidement la lame. il la pointa vers sa gorge. Elle fixait d'un air dur, il n'y avait pas de peur. 
-" Bah allez-y !" lança t-elle d'une voix provocatrice. Il avança la lame qui toucha sa gorge et sa peau.
-" Ne me tente pas !" lui dit-il en susurrant. Elle avait des éclairs dans les yeux. Et soudain, il attrapa le sabre et le contempla avant de remarquer sa particularité. La lame était fine mais lourde. Le pommeau était très peu visible, il était rond. Des morceaux de cuirs le couvrait. Il resta surprit quand il reconnnut qu'il y avait en effet de l'or sur la lame. Il attrapa le fourreau et découvrit que c'était du bois. 
-" Il est étrange ..." dit-il. Elle ricana. 
-" C'est un O Katana, une arme japonaise, cela permets aux guerriers Samouraï de l'utiliser, c'est léger mais très tranchant !" dit-elle comme mise en garde Il émit un léger sourire qui disparut, il le rangea dans le foureau et le tendit a la jeune fille. 
-" Etrange que tu ne sois pas épuisée ..." fit-il comme remarque en l'observant le ranger. Elle ricana. 
-" J'ai appris a le manier auprès d'un vrai Samouraï !".
-" Des guerriers donc... Je comprends mieux pourquoi tu veux me protéger..."
-" Et encore vous avez pas tout vu !" dit-elle fièrement. Elle prit son sac et le mit sur son épaule.
-" Faut que j'y aille mais vous inquiétez pas ce soir on s'amusera bien tous les deux !" dit-elle en lui lançant un sourire qui ne rassura guère le souverain.  Qu'allait-elle encore inventer ? 

Tu es liée à moiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant