Juste nous

834 55 19
                                    

Rindô : Cally ? Oh bébé tu t'endors là, tu as des verres sous tes pieds. Dit t'il en murmurant.

J'ouvre avec difficulté mes yeux, je m'étire, je me frotte les yeux et baille.
Je cherche la voix de Rindô et je sens un liquide frais se verser sur mon pieds gauche, je soulève légèrement mon buste et je m'accoude sur le matelas.
Rindô est entrain de nettoyer les pieds, il y a une bassine sous mes pieds et il se tient face à moi sur une chaise.

Moi : Ne me dis pas que tu nettoies mes plaies pendant que je dors. Dis-je en baillant.

Rindô : Dors au lieu d'examiner chaque fait et geste que je fais. Dit t'il concentré.

Moi : Depuis quatre ans qu'est-ce qu'il s'est passé ?
Dis-je neutre.

Rindô : Rien, tu connais ma situation, je suis sorti il y a peu de temps et puis voilà.
Tu n'as pas mal ? Dit t'il d'une voix tendre.

Il continu ses soins, il est délicat, tendre, très doux, ses mains remontent lentement sur mon mollet et malgré moi je lâche un petit gémissement incontrôlé.

Rindô : Content que ça te plaises, profite en.
Dit t'il d'une voix suave.

Je déglutis, mon corps chauffe autant que mes joues, à ses yeux qui brillent je comprends qu'il vient de voir le changement de couleur de mon visage.

Petit à petit, il s'approche de moi tel un félin pendant une partie de chasse, il ne me quitte pas du regard, mon cœur bat plus rapidement, Rindô se lèche les lèvres, il glisse ses mains sous mon tee-shirt et les fait passer derrière mon dos, ses mains étant à mon dos il m'attire à lui et m'embrasse sauvagement.

Mon cœur palpite, une boule se forme au niveau de mon bas ventre, Rindô contre mes lèvres gémis bruyamment, il mord ma lèvre pour que je puisse lui laisser un total accès à ma bouche ainsi que ma langue, je passe mes bras derrière sa nuque, mes mains se perdent dans ses cheveux et ma boule au ventre descend lentement vers mon entre jambes.

Nous gémissons ensemble de plaisir, ses mains montent petit à petit derrière mon dos, moi je me perds totalement dans ce baiser si nouveau, je m'agrippe à ses cheveux, je tire dessus pour avoir un accès à sa cou que j'attaque de baisers immédiatement.

Rindô : Hmmm, Cally. Dit t'il en râlant de plaisir.

Moi : Oui Rindô. Dis-je en haletant.

Rindô : Je ne sais pas ce que tu cherches à faire, mais si tu n'es pas prête à aller plus loin on stop tout ici.
Dit t'il ayant toujours sa tête penchée en arrière.

Je continue mes bisous, je passe ma langue sur son cou et je la fait remonter jusqu'au lobe de son oreille gauche, je le mord et je le tire, suite à ce contact Rindô pousse un soupire.

Rindô : Cally, ne joue pas avec moi, pas ce soir s'il te plaît, tu sais je ne veux pas te brusquer mais là avec tes bisous j'ai une folle envie de toi. Dit t'il en murmurant.

Est-ce que je suis prête, je ne sais pas du tout, ce que je sais c'est que je n'ai pas envie d'arrêter et que mon corps me pousse à aller plus loin.

Je souris contre sa peau si parfaite, si délicate et parfumé.

Rindô : Rigole petite.
Dit t'il avec une voix suave.

Il s'écarte de moi, me plaque sur le canapé, avec sa main droite, il me prends mes poignets et fait en sorte que je ne puisse plus bouger et il fait basculer mes bras le haut de ma tête.

Rindô : Petite joueuse, je vais t'apprendre à me faire envie. Dit t'il en souriant.

Étant bloqué, Rindô profite de cette position, il retire la ceinture de son pantalon et vient me bloquer mes poignets avec, je garde la tête haute pour le défier, il arque un sourcil, il enlève son tee shirt, je déglutis immédiatement.

Rindô : On fait moins la femme.
Dit t'il avec un rictus mauvais sur ses lèvres.

Il est musclé, élancé et ses muscles sont tracés à la perfection, d'un mouvement rapide, il plaque ses lèvres contre mon cou, ses mains repartent sous mon tee-shirt, elles viennent se poser sur mon soutien-gorge, il les fait glisser à l'intérieur et titille un bout de peau de ma poitrine.

Je gémis, je frotte mes jambes l'une contre l'autre, ses mains passent derrière mon dos, il retire le soutien-gorge et me regarde intensément.

Rindô : Tu es sur d'aller plus loin ? Ne te forces pas parce que c'est moi, surtout pas, je ne t'oblige en rien. Dit t'il inquiet.

Moi : Oui j'en suis sûr. Je t'aime Rindô Haitani.
Dis-je rouge comme une écrevisse.

Rindô : Comme je t'aime.
Dit t'il les yeux pleins d'amour.

Il hésite un instant, puis il s'en prend violemment à ma bouche, il s'éloigne de moi, tire mes jambes, je glisse sur le canapé, il me prend par les hanches et me dépose sur son épaule droite puis me claque les fesses.

Nous nous dirigeons dans sa chambre, délicatement il me pose sur son lit, il se tourne vers moi et ses yeux exprime tout le désir qu'il a pour moi à ce moment.

Rindo : C'est dommage que tu ne puisses pas bouger, je vais devoir retirer tes vêtements.
Dit t'il avant de se mordre sa lèvre inférieure.

Il vient vers moi, il me regarde, je hoche la tête pour lui dire qu'il peut retirer mon pantalon, il ne se fait pas attendre, il retire mon bas et ma culotte très rapidement, il s'arrête, m'examine et râle de plaisir.
Il s'occupe très vite de mon haut ainsi que de mon soutien-gorge qui était déjà défait.

Rindô : Cally, toujours d'accord ?
Dit t'il avant de me tourner le dos.

Moi : Hum ! Dis-je très timidement.

Il se retourne, il part chercher quelque chose dans son tiroir, il se tourne vers moi, entre ses dents il tient un bout de plastique gris.

Rindô : Bien, Cally prépare toi à devenir une femme, sache que je t'aime vraiment et que je suis sincère avec toi. Dit t'il avant de s'approcher de moi.

Moi : Je t'aime et je ne voulais personne d'autre que toi pour ça. Dis-je en essayant de cacher mon visage.

Rindô : Ne te caches pas Cally, tu es magnifique ainsi.
Dit t'il en retirant son pantalon.

Je suis mal à l'aise, gêné, j'ai envie de me cacher, c'est la première fois que je vois un homme nue, hors manuels scolaires lors de mes révisons que j'ai avec Chiara bien sûr.
Il enlève son pantalon ainsi que son boxer, il vient vers moi, son corps nus se pose délicatement sur le mien, il fait glisser sa main lentement sur mon corps, il ne me quitte pas des yeux et il glisse un peu plus loin sa main sur mon entre jambe.

Rindô : Respire, doucement d'accord, ne te crispes pas. Dit t'il gentiment.

Je fais ce qu'il me dit, il glisse ce qui me semble deux de ses doigts en moi, à cause de se contact je fais une grimace, Rindô pose immédiatement ses lèvres sur ma bouche, pour qu'il puisse atténuer un petit bruit venant de ma part, ce n'est pas très agréable mais après quelques minutes je m'habitues à ses mouvements délicats.

Rindô : Oui Cally, comme ça, je t'aime.
Dit t'il en grognant.

Moi : Je t'aime. Dis-je en grognant également.

Nous sommes fous amoureux, je l'aime beaucoup et je voulais lui faire comprendre.
Grâce à lui et cette fameuse nuit, j'ai appris ce que c'était que le plaisir charnel.

Cette nuit fut grandiose, je m'en rappellerais toujours.

Premier et dernier amour Où les histoires vivent. Découvrez maintenant