Chapitre 8

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L'ambiance d'une boîte de nuit, les vigiles dehors qui attendent dans le froid que les voitures une fois passées le portail se dirige vers eux. Plaçant les véhicules vers les places de stationnement disponibles. L'entrée chaude après une courte file d'attente laissant le portique ne pas sonner, pour finalement placer ses affaires dans un vestiaire. Le bruit sourd de la musique tambourinait fortement leurs tympans. L'air chaud et l'odeur de l'alcool fusaitment, une douce note fruitée éclatait dans leurs narines, alors que les plus courageux, eux, dansaient déjà sur la vaste piste de danse. Les multiples mini-bars étaient pris d'assaut. Bière, martini ou bouteille d'alcool chère dans un seau de glace, laissant cette bougie d'artifice scintiller pour rendre l'effet de fête un peu plus palpable.

Les néons colorés qui changeaient de couleurs à chaque fois, alors que le Disc-jockey mettait à fond des remix tous un peu plus bruyants mais aussi bien rythmé. Leurs cœurs tambourinaient aux pulsions palpitantes des BAM et des BOUM. Les lumières des projecteurs, décomposaient les mouvements des pas de danses allant de plus simple ou plus compliqués des danseurs fervents de cette piste, comme les non-habitués qui se laissaient aller au rythme endiablé de ce soir. On aurait cru que ce monde jouait à ce jeu d'enfant ou faire tout mouvement quand l'autre se retourne renvoi au pont de départ.

La température des corps brûlaient les corps, alors que certains se bécotaient. D'autres aux tables semblaient juste enchaîner les verres alors que des groupes d'amis passant draguaient filles comme garçons, en hurlant des mots pour se faire entendre. Les rires, la musiques, et les bruits sourds des verres qui s'entrechoquent pendant que les barmans s'activaient du mieux qu'ils pouvaient face à l'affut des commandes ; donnaient une ambiance que les boîtes de nuit possédaient avec hargne et conviction.

Le Brahman est un ensemble de musiques techno-rock qui remixe avec poigne les meilleurs clips de toutes les années. Vous y entendrez, que vous le vouliez ou non, les tubes incontournables que tout le monde connait. Quand votre table ne vous sert plus à rien quoi de mieux que de s'accouder à l'une de ces tables en hauteur goûtant aux goûts sucrés d'une bière dans une bouteille bien fraîche. Étant près des enceintes, les os tremblaient, la vibration de la musique perçait de vibration l'ensemble de ce corps. Le bruit n'était pas de pudeur normal. Non. Tandis que d'autre presque triste, noyait un chagrin comme une mauvaise journée... ou un état mental... buvaient en flot incroyable des litres et litres d'alcool. Certains préféraient l'utilisation de drogue.

La ventilation semblait ne pas fonctionner, et l'envie de boire augmenter. L'haleine sèche, le regard dilaté, et l'envie prenante poussant à donner son argent sans considération pour s'hydrater aussi bien avec un simple jus d'orange ou cocktail. Des immenses écrans diffusaient des images de brasseries ou de flux lumineux qui clignotaient. Pendant que du haut de son podium Takeomi regardait l'ensemble de la discothèque qui ne cessait de s'emplir au fur et à mesure que els heures défilaient, laissant les videurs mettre à la porte des troubles-fêtes qui commençaient à jouer au plus fort, se déshabillant par la chaleur qui augmentaient ; l'animalisé de ceux-ci fut stabilisé. Il remarqua son frère dans la foule. Il souriait lentement cherchant du regard ses amis derrière lui qui... s'embrassaient.

L'oreille bourdonnat, les cris emplissaient l'immense pièce. L'unique espace fumeur donnait à ce lieu un peu plus de folie. Et ce fut dans cette ambiance que Sanzu et Rindo arrivèrent en tenue de soirée dans la discothèque. L'odeur boisée apportait une touche fruitée non négligeable.

- « Tu veux une boire quelque chose ? » hurla le rosé, alors que l'autre hocha la tête. Leur corps se frolèrent.

Il devait être minuit, grand maximum. Et les heures s'enchaînaient sans que l'on ne puisse se rendre compte, alors que les seconde endiablées passaient à une vitesse folle. Après avoir bu et dansé, ils durent partir s'installer dans un petit salon. Ce fut à ce moment-là que Takeomi débarqua avec ces deux amis. Shinichiro avait un regard noir fatigué, tout comme ses cheveux qui étaient coiffés en une vieille banane des années soixante-dix. Grand et mince, il affichait un air sévère qui dissimulait une folie complétement à l'ouest. Son air de bad boy due à la cigarette entre ses lèvres lui donnait un air de délinquant. Seulement habillé d'un large tee-shirt blanc parait d'un pantalon noir et d'une veste en cuir dans ses santiags elles aussi noire, rendaient son aura prenante. L'autre jeune homme paraissait encore plus fatigué, mais contrairement aux deux autres, il ne fumait pas. Il avait des mèches jaunes et violettes, et ses longs cils dissimulés un regard fatigué, alors que son sourire presque effrayant semblait être destiné à l'un des noirauds dans ce drôle de trio. Lui était habillé de diverses couleurs ; il portait une chemise bleu turquoise décorée de broderies en forme de papillons violets, en guise de pantalon il s'agissait d'un pantalon blanc et toile et pour chaussure des basquettes de skateurs enfilable orange. Enfin, Takeomi, lui, était habillé simplement, tee-shirt noir, pantalon bleu et chaussure de ville.

𝘕𝘰𝘵𝘦 𝘦𝘵 𝘔𝘦́𝘭𝘰𝘥𝘪𝘦  | ʳⁱⁿᶻᵘ | Note et MélodieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant