La sensation d'une émotion forte. Quelque chose qui est agréable de satisfaction. Une jouissance sexuelle, et un divertissement que l'on aime. Le plaisir est une forme d'obstacle prenant, que l'on aime un peu trop. On se l'approprie, on le saisit... on l'envie. Un état émotionnel agréable né spontanément dans une situation donnée. La procuration satisfaisante du désir ou d'une perspective satisfaisante. L'expérience psychique t physique si bien qu'intellectuel qui s'exprime lentement dans le corps. Une aisance plaisante. Un sentiment éphémère, l'agrémentation de plaisirs nous conduisent sur la route du bonheur. L'état jovial un peu innocent. L'expérience nouvelle qui est goûteuse. Loin de cette douleur d'avant. Le rosé et le blond commencer lentement à se laisser aller oubliait un peu de ça. Quand on s'éloigne de ce qui ose nous faire mal... le monde nous paraît agréable, non ; il est juste bien. La sensorialité d'un instant aussi bien agréable que désagréable. Une lésion douteuse qui nous rend un peu bizarre. Une séduction de deux contraire, les deux amants avaient su en faire une nouvelle force.
Peut-être que tout ça était maintenant leur représentation mentale. L'hédonisme un peu épicurien, qu'en faire... la recherche de tout pour se satisfaire. Les deux amants n'en avaient que peu à faire. Une doctrine futile. Eux, ils s'écoutaient. Ils se suffisaient à eux seul. Le matériel, l'atomisme, la raison et une chose incroyable dont les deux amants aimait la sensation sur leur peau chaude. Leur corps semblait attaqué. Que visé ? L'ataraxie.
En fait, l'humeur sereine et calme, donné à ce concept l'envie d'une atmosphère légère dans l'air calme. Éloigner de toutes les perturbations pour l'atteinte du bonheur. Le calme complément avait finalement enivré de torpeur plaisante. L'inertie de l'envie, la mollesse lente qui s'encre lentement dans le sol ; trop bien. Fallait-il l'absence de trouble. Une quiétude inébranlable qui laissait l'aime tranquille et imperturbable. Une torpeur nouvelle, tout devenait apathique.Le caractère de ce qui est vrai. Tout proposition dont l'énoncé exprima la conformité d'une idée avec son objet. Tel que tout ça est. La conformité d'une relation établie sur des faits. Pas de mensonge, rien ne les importunait. Depuis plus de quelques mois, rien ne ressemblait à du faux. Et les gestes de Sanzu lors de ses entraînements étaient plus sûrs. Il détenait enfin la clé ; il avait juste le besoin de s'évader. Quels étaient ses discours peu glorieux auxquels on y pensait peu... ils ne savaient plus, non, mieux, il ne s'y intéressait plus. Pas l'ombre d'un doute, le rosé se sentait plus que bien.
Dans le Bonten, l'air enjoliveur d'un piano retentissait. Kakucho était assis sur le côté, il regardait ses danseurs. Dans quelques longues semaines, il y aurait une représentation. L'une de ces pièces jouait avec foi et désir. Dont le seul orchestre qu'il tolérait le rendait vivant. La vaste scène en bois, donnait au théâtre cet accents singulier et théâtral un peu trop cinématographique que tout le monde aimait. Au fond, dans une espèce de vestibule, Izana faisait accorder les basses et les violons, tandis que les vents ; trompette, fifres et haut bois soufflait lentement un air magnifique. Mais le sourire du philippin rendait l'ébène instable.
- « San, Chifuyu... on fait une pause, allez boire. » lança le balafré. Il se retourna aussi vite vers le garçon blanc au yeux violet. Cette légèreté que l'autre avait il l'aimait.
- « Embrasse-le, qu'on est une pause ludique ! » dit Sanzu en s'exprimant vraiment trop fort. Ce qui fit rire le blondinet à côté de lui. La musique venait d'être baissée, le rosé expira toute l'air en lui attachant ses cheveux par la même occasion. « Et Chi, avec Baji ça avance ? » ria-t-il en désignant son cou, l'autre rougit en un quart de tour.
- « Je... mais... »
- « Bah quoi ? »
- « Ouais, et toi ? »
- « On va partir quand tout ça sera finit. Lui et moi on partira. »
- « Cool... trop bien ! » dit-il tout jovial pour l'ami de son amant. « Mais où ? »
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𝘕𝘰𝘵𝘦 𝘦𝘵 𝘔𝘦́𝘭𝘰𝘥𝘪𝘦 | ʳⁱⁿᶻᵘ | Note et Mélodie
أدب الهواةLe Bonten, ce lieu un peu trop traître. L'opéra est un lieu de foutaise mélodieuse. Et cette rancœur sonore s'affiche en publique un peu trop voyante. Laissant les nerfs à vif et cette drogue se balader dans les veines endiablées. Goûtez au péché ép...