Si le cœur est le symbole de l'amour, rien ne se place au hasard. Il est le lieux de pulsions. En un instant, tout peut se stopper. Il ne tient qu'à lui de tout arrêter pour se laisser aller. S'arrêter. Ne plus battre. Un coup, est tout peut lui être fatale. La faiblesse adjacente... une force surnaturelle qui détermine le cours des évènements. Le chute relatif à la mort. Mais aussi la nécessite déterminante d'une parole, ou d'un acte puissant qui occulte des doctrines irrévocable. La pensée est d'une faiblesse. Être dans la main des dieux ; la tragédie grecques par excellence. Inévitable, la fatalité qui échappe à la volonté propre. Oui, tout paraît toujours un peu plus intense. Sanzu sortait de sa douche. Il avait des tas d'idées en tête. Il finit par souffler, s'asseyant dans son lit, une serviette autour de la taille. Pourquoi se sentait-il seul... il ne comprenait pas. Il fixait sa chambre. Le parquet de bois brute assombrissant quelques endroits dans la pièce. Le rosé voulait ne plus penser, ils voulait qu'on lui retire tout ce à quoi il avait admettre des idées. Tout début de réflexion, il voulait les faire taire. Il ne savait pas pourquoi, mais Rindo transformait quelque chose en lui.
C'était comme, un coup de foudre brutal. Le phénomène de coup de foudre ce qu'il ressentait en lui, pour ce beau blond aux mèches bleues, laissant ses lunettes sur sa tête. Son regard si las, mais si émotif. Cet air de psychopathe sadique... le démon de minuit qui était venu voir ce qu'il faisait dans sa chambre. Cette rencontre subite, un peu trop folle, sous l'effet de stupéfiants... il n'arrivait pas à lutter. Cet amour soudain, il essayait de le comprendre en vain. Cupidon avait-il lançait sa flèches dans le Bonten sur eux sans prévenir. Le mythe d'un angelot potelé et malicieux, décrochant sa flèches magiques dans les cœur, laissant naître cette passion. Sanzu l'avait-il trop vite accepté ?
L'antique émotion, foudroyé avec charme cette envie ravagée, comme une merveille radieuse. L'amour violent... voilà le coup de foudre platonique. Une douce brûlure qui naquit dans les membres, les tremblements dans les organes et la paralysie qui bloque le corps. Tout ça en un seul coup. Sanzu se sentait attiré par Rindo, comme l'effet d'un médicament.
Le calme frappa son esprit, son âme sa faisait bercer. Mais des pas dans le couloir s'arrêtèrent devant sa porte, puis un bruit résonna. On frappa sur ce bout de bois, il se précipita pour saisir un tee-shirt et un pantalon tous les deux simples, pour se diriger vers la porte. Il l'ouvrit. En face de lui, un noiraud aux yeux noisettes, un faible sourire vampirique sur le visage. À côté de lui, un petit blond joyeusement blasé une sucette dans la bouche.
- « Yo ! » annonça le plus petit, qui avança sans être invité dans l'appartement du rosé qui le regarda de haut en bas.
- « Comment ça va San ? Bien ou bien ? » annonça la plus grand toujours en souriant. Sanzu le laissa entrer en soufflant légèrement. Il esquissa un faible sourire.
Sur la table basse, il y avait le colis de Mucho, mais aussi des vestiges de drogues ; des pilules, des seringues... des mélanges et des bouteilles. Il n'était pas beaucoup dans son appartement ces dernière semaines. Le ménage s'imposait.
- « Désolé du bordel... je suis pas souvent chez moi... » s'excusa-t-il. Il se gratta l'arrière de la tête, pour finalement sourire. Le vent frais de dehors s'invita dans le salon, ses deux amis s'assirent dans le canapé.
- « T'inquiète, chez Mikey c'est pas mieux, et lui il baise avec Draken, donc c'est pire... » fit avec nonchalance le noiraud qui se mit à rire.
- « Mais... tais-toi, toi. On en parle avec Chifuyu ? Monsieur on vit dans le même immeuble mais je squatte son appart ? »
- « Hein ? Moi au moins je suis pure ! » hurla Baji.
- « Pure ? Pure ! Mec, il a des suçons dans son cou... et tu vas me dire, que c'est ton meilleur ami. » s'esclaffa l'autre qui était pris de rire. Sanzu débarrassa quant à lui sa table passa jetant tout à la poubelle.
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𝘕𝘰𝘵𝘦 𝘦𝘵 𝘔𝘦́𝘭𝘰𝘥𝘪𝘦 | ʳⁱⁿᶻᵘ | Note et Mélodie
FanfictionLe Bonten, ce lieu un peu trop traître. L'opéra est un lieu de foutaise mélodieuse. Et cette rancœur sonore s'affiche en publique un peu trop voyante. Laissant les nerfs à vif et cette drogue se balader dans les veines endiablées. Goûtez au péché ép...