Chapitre 46

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Dans l'ensemble le plus douloureux, la tristesse est un poids émotionnel qui s'associe par le désavantage. La perte, le désespoir, le chagrin... face à cette sensation, nous faisons place à l'état d'une léthargie qui se replie face aux autres. Le pleur, fait mal. Ils le retenaient depuis si longtemps. Incapable de laisser ces vulgaires gouttes salées transperçaient leurs rétines, pour divaguer sur leur joues chaudes et humides. Sept émotions, milles sensations ; la joie, la colère, la surprise, la peur, le mépris et le dégout. Y aurait-il plus de négatif que de positif ? L'expression faciale s'expose par de petites pupilles intenses. Elles diminuent de plus en plus. On manque l'avantage. Il y a des causes, courantes ou non. L'isolement de soi et la bonne option mentale. Alors on fuit, sans pour autant interroger sin subconscient. Finalement, la déception, serait le fruit de l'événement difficiles. Une blessure émotionnelle, qui se chagrine dans la perte. Parfois, elle se lie à une maladie étroite. Un état qui indique l'inclusion spécial. Des troubles se forme. La santé mentale s'entraîne sous l'épisode de symptôme psychologique. Moins d'énergie se diffuse dans le corps, on se sent déprimé, dépité sous les jours qui se succèdent. La perte de concentration, qui ne fait que concentrer une boule de pue, qui enfle, rien ne parait intéressant. On se sent bizarre tout simplement.
Une traduction de perte, ou de manque. Comme si, en effet, la façon incontrôlée s'exprime un peu moins vivement en fonction de ce qui est concerné. Plus aucune remarque nous atteint. Oui, le monde parait maussade, alors que dehors, le ciel azur brille avec le soleil, sur les diverses fleurs en bourgeons sur les arbres et l'apparition des belle jonquilles dans les vastes parterres habillées de pollen et de pistils frivoles en cette période. Une pastille de menthe à la bouche, la cigarette écraser dans le petit récipient en verres crasseux. Les cendres noires écrasées, les mégots entassés... les rayons de soleil printanier réchauffaient leur peau opaline. Assis sur le balcon, à regarder l'horizon. Rindo expira lentement l'air de ses poumons. Il commençait à fixer l'étroite architecture de la ville qui en temps ordinaire le rendait admiratif. Les arbres bourgeonnant de blanc, de rose et de vert semblait chanter avec les moineaux et les autres oiseaux afin de taire le brouhaha des rues en ce début d'après-midi. L'atmosphère calfeutré qui ondulait sous l'odeur de la pollution et de fleurs odorantes près de lui. Replié sur lui, Rindo semblait être atteint d'une mélancolie qui se déclenche comme une alarme frivole en début de mois pour annoncer une alerte qui ne se produit pas.

Le rayon et l'ombre qui semblent naïves, ou sublimes dans la représentation magique dont on témoigne pour se dire que se veut comme ça, peu importe. L'utopie paraissait loin. Sanzu s'approchait des meubles pour apaiser sa faim. Son ventre gargouillait depuis un long moment, et il se sentait un peu étrange. Comme si une lourdeur en lui se manifestait par le manque de cette automédication utiles à son esprit. La discussion de l'évènement, qui cause la naissance de cette tristesse enchevêtrée sous une couche de tissus propre qu'on le ne veut pas replier. Des voyages, ils en avaient fait tant... mais ils voulaient tout simplement s'en aller. L'hydratation, ils y pensaient, mais l'alcool tard les soirs devenait une succession de bêtise... ils mangeaient, bien sûre, mais ils n'avaient pas tout le temps faims. Quand avaient-ils perçut cette sensation en eux... depuis peu. Sanzu regardait son amant avec précaution. Il ne devait pas le laissait aller dans cette pulsion. Tout était naturelle. Il n'y avait pas de risque à avoir. Rien ne devait tout simplement s'aggraver. Le rosé s'avança vers la terrasse. Il souffla légèrement, saisissant le paquet de cigarette. Prenant une chaise, qui traîna sur le sol en bois, il finit par s'assoir afin d'imiter son amant qui regarder loin devant lui. Il finit par lui prendre la main, soufflant le peu d'air passager dans ses poumons.

- « Rin ? »

Il eut un silence, une brise souleva leurs mèches, fermant légèrement les paupières, Sanzu sourit faiblement, prenant la main pleine de chevalières de son amant. Il vint lui caresser son annulaire. Rindo finit par expirer à son tour, baissant légèrement la tête. Il regarda son verre de limonade. Puis ses orbes violettes vinrent rencontrer celles de son amant, qui le fixait avec bienveillance.

𝘕𝘰𝘵𝘦 𝘦𝘵 𝘔𝘦́𝘭𝘰𝘥𝘪𝘦  | ʳⁱⁿᶻᵘ | Note et MélodieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant