Le soleil brillait faiblement. Dans le ciel, le soleil était organisé en une boule rougeâtre. Il s'adossait entre l'horizon et la terre, une fumée de pollution se dessinait dans l'air. Les buildings se construisaient dans l'atmosphère de la ville. Le centre-ville était plein de pavé, les boutiques prises d'assauts, les terrasses prisent avec poigne. La nuit allait bientôt arriver, malgré tout une douce chaleur berçait la brise du printemps jovial qui refroidissant en un joli frisson la peau. Sanzu aimait bien les balade dans la rue. Les dernières balades dans les parcs verts qui s'habillaient de douceurs sculptées par des statuts en tout genre ; la plus belle ; était une Vénus nue qui regardait de haut les passant en une beauté rayonnante. La belle fontaine en cascade ruisselet, on avait l'impression d'être en pleine nature dans le brouhaha de la vie urbaine. Rindo sentait le frisson le prendre de court. Il resserrait la manche de son sweat à capuche assez large, plongeant ses mains dans ses poches de son pantalon trop grand. Le contraste de la pierre blanchâtre légèrement calcareuse donnait une tournure magnifique en un équilibre vert, bleu et blanc sous le couché de soleil. Les quelques stands de ventes, laissait une odeur de gaufres et de crêpes embaumait l'air lorsqu'on y passé. Amant ou non, l'extase de l'instant, posé sur l'herbe ou en marche sur le petit sentier assez large était plus que plaisant. Dans les rues, les boutiques semblaient s'affoler des derniers achats ; vêtements, souvenirs... enfin, bref, l'univers semblait se calmer dans la douce atmosphère lugubre et lumineuse de leurs corps. Il fallait que tout se passe pour qu'ils puissent encore partir. Il ne restait qu'une étape à franchir. Et elle allait vite arriver.
- « Des fois je me demande où on vit... » soupira le rosé, qui se stoppa net devant la vision de la douce et belle fontaine qui laissait l'eau dansait claquer avec les milliards de gouttes dans cette espèce de cuve qui en un semblant brouillait la vue.
- « On a vraiment besoin d'un chez soi, hum... quand on est à deux ? » questionna-t-il en une accolade amoureuse.
- « Je ne sais pas... je ne pense pas. » assura l'autre en une étreinte lente et passionnée.
- « J'en suis sûre ! » conclue Rindo qui saisit la main de son rosé. Ils entremêlèrent ses doigts avec ceux de son amant. Il avait envie de dépendance.
- « Vient on fait un vœu !» susurra Sanzu avec un sérieux un peu enfant.
Une promesse faite, est une confidence produite à la divinité pour s'amouracher d'une faveur obtenue par la faveur remarquable qui peut être remercié par une douce prière exaucée dans l'évènement propice qui pourrais se produire. Le violet le regarda, il posa son regard avec amabilité et passion sur le visage souriant du rosé qui fixait avec une réelle admiration l'amour qui semblait se trémousser devant lui. Un vif souhait, un vif désir de voir ce caprice un peu soudain se réaliser. Quelque chose peut se produire. Lancer une pièce dans cette cuve un peu profonde. Et pensée énormément à cette coïncidence frivole qui danse dans l'esprit et qui chantonne en tintamarre enivrant. Je veux... le précepte s'engage à l'œuvre dans laquelle on s'accroche. Serait-ce ça, la croyance agréable qui donne au précepte l'envie de croire et de formuler cette phrase. Sûrement que peut-être un dieu s'amuser à trouver plaisant la règle vive qui exige parfois l'impossible.
La profondeur d'un scandale, suffit d'interdire certaines choses. Particulier, il fait place à certaines occasion liée traditionnellement à la croyance d'une coutume superstitieuse. Même voir une étoile filante serait un prétexte. Mais, eux, ils étaient devant cette fontaine une pièce dans la main, les rêves en chansons frêles.
- Un vœu... mais quoi comme vœux ? » déclara Rindo qui semblait pensif.
- « N'importe lequel... » soupira le rosé, qui posa son regard vert sur celui de son amant. « Tant que t'y croit. Formule la première chose qui te vient à l'esprit. » dit-il en souriant.
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𝘕𝘰𝘵𝘦 𝘦𝘵 𝘔𝘦́𝘭𝘰𝘥𝘪𝘦 | ʳⁱⁿᶻᵘ | Note et Mélodie
FanfictionLe Bonten, ce lieu un peu trop traître. L'opéra est un lieu de foutaise mélodieuse. Et cette rancœur sonore s'affiche en publique un peu trop voyante. Laissant les nerfs à vif et cette drogue se balader dans les veines endiablées. Goûtez au péché ép...