Le regard plein d'espoir ; la rue sombre somnolait encore, lentement le soleil se levait dans le ciel hivernal de ce mois raccourcit. Le Café des Neuf Essences se réveillait lui aussi dans un rythme lent et matinale. Le son lent d'un RnB mouvementé d'un amour frivole. Comme si les têtes se libéraient et que cette chose absurde de longue date leur parlait enfin. Le bruit de la porcelaine claquetait alors que les couverts résonnaient dans les cuisines pratiquement animées par le petit éveil du matin des employés qui s'activaient. Les lumières jaunes illuminaient la grande pièce, les chaises retournées sur les tables progressivement retournaient sur les quatre pieds. Les premiers clients arrivé, ou venait de se réveiller ; ils venaient petit déjeuner. Quelques serveurs nettoyaient le sol déjà brillant. D'autres nettoyaient les nombreuses vitres et les fidèles clients matinaux entrée dans cette ambiance chaleur aromatisée d'une note faible, mais d'un goût exceptionnel qui laissait danser leur cœur. Les tables s'emplissaient petit à petit. Le carillon du matin n'allait pas tarder.
Cependant, il y avait comme une forte présence de floraison naissant d'un espoir nouveau qui attendait de faire confiance. L'arrivée d'un sentiment conduisant à l'espérance. L'objet de l'espoir en un jour bien étrange. La disposition de l'esprit humaine reposant dans l'attente, l'objet de l'existence d'un sentiment lumineux qui éclaire un peu plus cette grotte sombre creusée avec passion. Ce fait d'espérer, ils l'avaient tous dans le café du Bonten. Et cependant, personne ne s'était prononcée. Par peur ? Par lâcheté ? Le petit jour arrivait, les yeux s'emplissaient de larmes joyeuses, le cœur se gonflait de joie et le ventre lui papillonnait brutalement. Quel jours sommes-nous ? Le stresse de l'amour parvenait à se manifester étroitement dans les murs luxueux des Neuf Essences. Quelle idée de faire une journée entière sur un sujet tel que ça. Le sentiment fort de tendresse et d'affection entre deux personnes pratiquement divines qui n'avaient que d'yeux pour l'autre, laissant l'idéal découler d'eux tant elles nous sont chères. Certains parlerons de passion et d'intérêt. D'autre d'actes sexuels ou de coïts incroyables comme de mauvaises expériences à oublier.
Vous le sentez ?
Goûter prudemment à l'utilité d'un carburant neuf. Riche comme pauvre en avait peu à faire ; ce jour était à tout le monde. Est-ce de trop ? L'intensité d'attachement envers cette personne. Cette proximité physique, intellectuelle un peu imaginaire qui poussent l'inconscient à tomber dans ce charme... ce vif goût de satisfaction de contemplation d'une œuvre d'art divine. Le plaisir de beauté et de perte soudaine du sentiment d'une citation célèbre. Finalement... être bête, rimait à quoi.
L'élan du cœur qui vous porte vers un être. Une philosophie de l'amour, l'existence extérieur de cette unique personne qui pousse la joie dans l'idée folle d'un sentiment improbable. Et à ça, le désir s'invite, il initie la douce mélodie médisante mais si tentatrice. Le tentation si forte soit-elle, paraît malsaine. Presque illusoire, laissant une idée de souffrance... le détournement de tout ce que sommes pour cet ailleurs.
Peut-être qu'une fête commerciale devait définir ce terme d'amour. Sanzu marchait dans la rue de l'opéra avec Rindo, il gambadait d'une promenade mi-matinale, mi-nocturne. L'échange mutuel de leurs mains entremêlées les faisait sourire comme deux enfants. En fait, ils aimaient bien se balader à travers les boulevards tôt le matin.
Koko était là, contre le comptoir à regarder Inui se recoiffer. Il le trouvait vraiment beau. Il avait un cadeau pour lui, mais il hésitait à lui donner. Le noiraud souffla, il se faisait des idées, pourtant ils s'aimaient. Ou ce n'était qu'un leurre. Le blond tournesol le regardait avec un sourire nié au visage. Ces moments comme ça, ils les gardaient pour eux quand personne ne venait déranger la quiétude entre leurs corps et leurs âmes. Amoureux, ils n'en avaient que à faire des autres.
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𝘕𝘰𝘵𝘦 𝘦𝘵 𝘔𝘦́𝘭𝘰𝘥𝘪𝘦 | ʳⁱⁿᶻᵘ | Note et Mélodie
FanfictionLe Bonten, ce lieu un peu trop traître. L'opéra est un lieu de foutaise mélodieuse. Et cette rancœur sonore s'affiche en publique un peu trop voyante. Laissant les nerfs à vif et cette drogue se balader dans les veines endiablées. Goûtez au péché ép...