Chapitre 53

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Les ailes des anges sont souvent hallucinogènes. Rindo était dans le quartier de Roppongi. La volupté d'un velours dans lequel on s'enveloppe souvent pour aimer l'instant de l'amour. La palpitation violente qui aime. Doux, chaud et rouge. Comme si l'étreinte sensuelle donnait le besoin d'un tempérament pur appréciable dans les plaisirs physiques de la particularité des plaisirs sexuels. On se pose des questions. La passion ne serait qu'un nom donné au cœur, prouver à l'âme qui s'intensifie un peu dans l'espace. L'amour serait un toujours content qui prouve la volonté la plus dynamique qui soit. Être lascif, dans l'enclin pris des plaisirs de la chaire. Évoquer cette sensualité aimante qui glisse sur le corps en une belle ondulation choquante. La passion de l'intérêt. L'amour par convoitise légère qui adore les nuages dans le ciel. Comme si, un dieu les appellait.

Sanzu aimait bien les moments de détente. Posé dans les villes antiques et moyenâgeuse, le vent sifflotait, les oiseaux chantaient... quelques clochards jouait l'accordéon fort de l'après-midi. Tout ça ne former qu'une boucle et un cercle qui dansaient un peu dans la divinité d'un chant dansant. Comme un coït passionnant. Une envie désirante de son partenaire assez subitement. Le rosé aimait cette détente qui raisonnant sur ses tempes en un pistolet Las d'attendre. Il se se sentait devenir vivant. Un stress périodique se met dans l'intérêt frivole d'un sentiment prenant. Des petites musiques rythmiques ouvrent une valse pour les partenaires efficaces qui s'orchestrent. Des échos de voix qui se poussent vers l'autre, entraîne la chut inimaginable que l'on ne peut freiner aussi vite. Figer l'image, c'est vivre la réalité ailleurs. Le Bonten n'était qu'à quelques arrondissement. Dormir, mais ne pas oublier. Le quartier baroque montrait une place emplit de manège. La plage n'était pas loin et ils allaient vers l'appartement du violet qui guidait sa voiture vers son stationnement. Mettre une musique. Bercer les mœurs les plus durs.
Rindo leva la tête, pour voir son amant endormit dans le siège. Mais, celui-ci se réveilla au même moment ou le moteur se coupa. Sanzu lui leva ses paupières, il écarquilla les yeux, tournant sa tête vers son amant. Il lui envoya un sourire. Ainsi ils se sourirent assez prudemment pour rendre une expression rieuse inexpliquable. Comme un témoignage amical par l'expression que l'on offre. Être agréable, parler de chose cette idée en eux le firent déraper.

- « Tu te sens comment ? » le rosé tourna la tête, admirant le visage de son amant. Il voulait juste effleurer les lèvres presque moqueuses de Rindo qui était si prévenant.

- « Je ne sais pas... stressé, amoureux... en manque. Et toi ? »

- « Plein d'envie... amoureux, et inquiet... » dit-il en passant la tête sur le côté. L'expression rieuse marque par un mouvement l'ascendant des coins de la bouche qui plisse les yeux et rit d'un bon moment.

- « Rin... »

- « Mais ça va San. Ce n'est pas toi qui dois t'inquiéter. »

- « Et pourquoi ? »

- « C'est toi qui vas monter sur scène dans quelques jours. »

- « Ouais. Mais on part juste après... »

Ils exprimèrent un souffle. L'air s'agitait, en un mouvement expulsé des poumons un peu lourd. Chassé par l'expiration plus ou moins forte ; attisement des braises, qui s'exhalent en une respiration bruyante. On pourrait en manquer. Pourtant, on emmagasine l'air, pour marquer l'effort.

- « On ne quitte rien. »

- « Non, on ne se quitte pas. »

Le corps tombe amoureux. Tomber n'est qu'une chute immense. Passionnel, romantique ou physique ; l'amour est un résultat complexe mécanique. La pulsion est une envie de l'interdit. Faire une chute, sentir la hauteur qui s'abat et se croule dans la pudeur nuisible. L'attirance, l'envie qui provoque presque l'obsession qui amène au manque. Le cerveau n'est qu'une conduite neurotique qui décrypte tout. Parfois, on se sent amoureux, comme stressé. Le relatif de la passion. Dans les rues antiques, main dans la main ; Sanzu regardait le haut du ciel. Les gargouilles affreuses le regardaient avec colère, égarement, passion et dégout. Faire fuir les non-croyants. Il se pensait schizophrène. L'hallucination, des rues, et ce stresse de ce spectacle qui arrivait... brutalisé l'altération du contrôle de la réalité. Le délire allusif, une bouffée de quelque chose qui ne faisait que parler en lui. Il fumait. Les rues de pavées étaient animées, lui était dehors, mais la foule l'étouffait. Agité, une crise avait éclaté. Assis sur une marche sur le balcon, l'émoussement affectif semblait avoir du mal à s'exprimer. Peut-être devait-il boire, ou fumer l'une de ces drogues qu'il ne prenait plus aussi régulièrement que d'habitude. Enfermé face à lui, il se fixait étroitement. Un mensonge peut-être, une paranoïa se manifestait dans son esprit.

𝘕𝘰𝘵𝘦 𝘦𝘵 𝘔𝘦́𝘭𝘰𝘥𝘪𝘦  | ʳⁱⁿᶻᵘ | Note et MélodieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant