Taisez-vous. Gardez tout ça pour vous. Plus rien, on se promet. Finalement on taire de le secret en une belle confiance que l'on ne romp jamais. Une aude qu'ils avaient accompli. Pour eux. Le secret n'est qu'un somme. On le tasse dans le présent, qui somnole assez pâle, en une lenteur étrangère dans le ciel bleu et chaud du printemps, qui proposait à l'été de s'installait petit à petit dans la ville. Rien ne doit être dit. La limite de parler, tout ce qui concerne le pouvoir de la parole, permet aux plus amoureux des délires de s'argumenter en des crimes délires délirants. La belle douceur est une lente danse amoureuse. Tout ce qui a été dit, ne peut pas être fait, on ne doit pas être connu par les autres, mais seulement par ce petit comité de gens qui soutiennent sans recul ce qui est à entreprendre. Faites en sorte que tout soit caché. Que tout demeure invisible... tels des escaliers secrets qui s'aventurent dans des pièces inconnues. Ce sous-sol se manifeste étrangement en un symbole nouveau, on y plonge puis on regarde. Passer le renforcement d'une porte, s'aventurer dans une pièce, découvrir un lieu presque perdu que l'on n'a jamais vu. Se voir dans l'imaginaire, s'enfuir assez loin, en une utopie de rêve. Dans un autre monde. Peut-être que... comme si tout ça était en fin de compte inconnu. Ce qui n'est pas connu, ne possédant pas de renom. Faisant passer le ressentiment qui n'est pas encore éprouvé. En fait, on ne connait pas cette personne, ni cette chose... tout est mystérieux. On ignore, on ne sait pas, alors on se laisse guider aveuglément. Ne pas se livrer facilement, en parlant de ce qu'on prévoit. Le secret et un damne étrange que l'on ne livre pas. En ce qui concerne la cachette, les recoins paraissait étrange. Un ressort abstrait se niche dans de multiples lieux. Trouver la discrétion autour d'un évènement ; parcourir le mystère. Les cœurs ont des secrets, les âmes des pensées, tandis que l'esprit convoite sans arrêt. L'information est un savoir délibéré. Oui, tout paraît inaccessible. Deux notions se confondent à l'usage d'une possibilité équivoque. Marquer la différence d'une formule. La figure ouvrageant les portes de l'ésotérisme qui propose l'érotisme insondable. Sanzu aimait bien la sensation du vent sur sa peau blanche. Les soleils l'éclairaient deux façons, l'un dans le ciel faisait bronzer un tant soit peu sa peau opaline. L'autre, le comblait de désir et d'envie. Ils se proposaient à diverses admirations passionnées. Il y a des raisons a des secrets. Cependant, ils peuvent tout de même être révélés. Rindo aimait bien l'odeur des pâquerettes et des fraises qu'il dégustait. Tout lui rappelait le goût de la peau de son amant. Il aimait les après-midis posés dans un parc bercé par les gazouillements des petits oiseaux. Une chanson de ritournelle jovial après l'hiver.
Prévenir le jour qui vient après le midi et avant le soir. La transition entre les heures du soir et du jours précédant la nuit. La fin de l'après-midi est marquée pat le soleil qui se couche et marque le début de la soirée. Le milieu du jour, après la douzième heure, me milieu d'une vie, en un point cardinal dans le sud. L'assaillissent du doute. Ma locution nuancée d'une esquisse suggère l'idée d'une durée en une peinture magnifique. Le mécontentement onomatopéique qui exprime la douleur. La belle surprise suggestive qui perçoit le son. L'aération de ses poumons la douce entente des tympans bercés par l'afflux d'une mélodie frivole. Aussi, on perçoit les odeurs, on s'enivre d'envie et s'amourache de sensations. L'olfaction procure aux narines choisit la purification d'essence neuf, à l'odeur nase de citronnelle et de pollen pratiquement brûlée. Cependant, la saveur résulte de discerner l'esthétique par la perception brûlante dans le corps qui s'échauffe. La manière de touchée, souvent personnelle donne aux artistes un peu plus de charme solennel. Allure fière de quelqu'un et leur peau chaude qui s'impactaient sous cette chaleur appelante. Vulgairement en musique, on dira que cet organe est un instrument, une machine dans le cœur qui s'entraîne dans la pression agitée par le doigt. Et le frisson se frictionne en quelques secondes. Puis, la fonction avec laquelle on voit permet aux yeux la perception perspicace d'une idée sur une question qui trotte dans la tête. Action de voir, de regarder... non de mirer la belle pudeur de la vie autour de soi.
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𝘕𝘰𝘵𝘦 𝘦𝘵 𝘔𝘦́𝘭𝘰𝘥𝘪𝘦 | ʳⁱⁿᶻᵘ | Note et Mélodie
FanfictionLe Bonten, ce lieu un peu trop traître. L'opéra est un lieu de foutaise mélodieuse. Et cette rancœur sonore s'affiche en publique un peu trop voyante. Laissant les nerfs à vif et cette drogue se balader dans les veines endiablées. Goûtez au péché ép...