Chapitre 49

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Et si le hasard n'était pas un problème. Le fait que tout ne soit pas prévu. Comme si le fruit d'un mystère venait d'être réduit à cendre. Montrant l'avenue circonstancielle de tout ce qui a pu être dans un autre évènement. Beaucoup de chose échappe à la raison humaine qui ne comprend pas souvent ce à quoi elle se confronte. Tous les jours, Sanzu se disait que tout ça il ne le méritait pas. Et pourtant lorsqu'il croisait Rindo dans sa chambre, allongé dans le lit, endormit après avoir passé une nuit remplie d'ébat et de douceur ; il laissait apparaître sur son visage un magnifique sourire indomptable qui illuminait son cœur. Les risque pris. Le destin un peu déambulatoire qui devient facilement aléatoire dans l'ordre qu'il donne. Rindo se parlait souvent devant le miroir tout les matins. Son reflet lui rappeler son côté psychopathe. S'il devait être euthanasié, il voudrait que ce soit cet ange dans cette chambre emmitouflé dans tous ses draps blanc qui le fasse. Parfois le Bonten les regardait avec poigne. Assez sévèrement pour qu'il tienne longtemps se lien pour lequel les deux amants s'étaient réunit tard un soir dans l'ivresse d'un baiser presque oublié. Mais ils en rêvaient encore... un rêve se poursuit dans la réalité. Ils ne l'ont jamais vraiment arrêté. En état de poussière effective qui gravité dans l'atmosphère. Le rêve réel se confronte à des équivalence. Des quiproquos insensés qui échappe encore à la conscience. Combien de chose encore s'adapteraient à eux ? Qui se sentirait dans la plausible chance d'être dans la convenance plus ou moins chaotique ? Pour eux, rien ne pouvait les troubler. Ils feraient en sorte de tout régler ; que ce soit légale ou non. Ils le feraient. Rindo devenait le seul qui qui puisse faire sonne r en un bel instant dévastateur l'écho d'une cloche qui joue un peu de harpe. Sanzu était l'unique chenapan qui puisse loué avec pudeur illogique cette sensibilité miséricordieuse. Peut-être que les dieux étaient là . Athéna devenait leur force de raison. Zeus la puissance inquiétante. Poséidon le rotateur de leur voyage. Et Hadès, restait le seul être qui puisse les séparer aléatoirement. Le hasard d'une chose en entraîne un autre. Avec nous. Avec eux. En effet, pour avancer en une marche étrange qui flotte dans les lymphes cinétiques au milieu de créatures magiques... vers les autres leur route se traçait et ils ne la suivaient que de temps en temps, préférant leur chemin abandonné. Est-ce ça la monde de dehors ? Suivre une destiné volontaire sans écouter ce qu'on en pense... et si l'évolution éventuelle des relations se définissait par l'entaille causée par un remue-ménage étrange qui sonne en écho ardue. Sanzu souriant, Rindo était apaisé. 

Peut-être est-ce ça le jeu. Des éventualités que l'on doit suivre. Comme un poker où l'on mise tout, espérant avoir une bonne main. Tout était un jeu. Un vulgaire jeu qui lançait des dès et tirait des ficelles que l'on pouvait couper. Une ecchymose qui place tout son pouvoir en un toujours favorable qui espère. Eux, ils ne le faisaient plus. L'hémorragie interne, qui se provoque dans l'écoulement de petite quantité de sang dans les tissus de corps qui deviennent mou. L'imprévisible, l'imprédictible... la fortune d'un mystérieux lien de providence que l'on porte en soit sans comprendre. Rindo avait la main dans sa tignasse violette, le livre qu'il lisait parler d'un voyage en lune de mielle précoce qui se dévoué dans l'amour et un mariage caduc entre deux amants qui avait tout fuis pour être ensemble. Sanzu lui, regardait son téléphone, touillant son café avec cette cuillère métallisée qui avait de belle moulure. Un cadre de vie qu'ils appréciaient dans leur coin, mais à deux en même temps.

- « Des fois, je me demande pourquoi ils nous font venir ici... » marmonna le violet qui dépose son livre sur le comptoir admirant la beauté subjective de son amant qui lui souriant encore une fois.

- « Bof... on est trop indispensable à leur vie. Mais j'avoue qu'on était bien dans ma chambre. » susurra le rosé qui se mit bêtement à rire, avant de déposer sa main sur celle de son amant.

- « Au pire, on a qu'à s'en aller discrètement... »

- « Au pire, on s'enferme dans les toilettes... »

𝘕𝘰𝘵𝘦 𝘦𝘵 𝘔𝘦́𝘭𝘰𝘥𝘪𝘦  | ʳⁱⁿᶻᵘ | Note et MélodieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant