Chapitre 37

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L'envie est un transitif d'un besoin de désir plus ou moins violent. La frustration de l'image fondatrice de l'appréhension première. Il y avait comme l'odeur de quelque chose de niais et nouveau dans leur esprit. Le sentiment de convoitise à l'égard de la possession. Jouir encore plus de ce qu'on veut. Le désir frêle et soudain que l'on souhaite posséder. Sanzu aimait les longues douches, Rindo les promenades incessantes. Faire cette chose, est une prime idyllique. Connaître la chaude sensation de la peau qui se brûle seul, dans l'unique envie de dire oui dans le besoin que l'on ressent ; le satisfaire. L'objet des sens qui s'éveille. Créer le désir, susciter le bonheur avantageux, oui, en voilà un... le mélange de la passion. L'envie est la plus importante cause morale... malheur, bonheur... non. Rien de tout ça, il ne faut la confondre à la jalousie. L'envie n'est pas comme ça, elle ressemble à cette chose ; bonbons, vêtements, personnalité, idole que le l'on veut être. Devenir et être. Partager son bien, l'isoler. Ce n'est pas en étant loin de tout que l'on commence à aimer celle-ci, non il fait d'abord être perdu dans ce bruit. Ce confondre dans le précipice sans fin, pour goûter ne serait-ce qu'un peu de cette vive émotion. Pour finir isoler avec lui. Il s'agissait d'une étreinte lente et amoureuse. Tout comme la vivacité jeune qui se dégage d'un corps aimer, trop chaud et bouillonnant. Le cœur se contracte, les organes se broient... le cerveau parle. Ne pas connaître l'origine de ce que l'on désir. Oui, l'envie est un réflexe inné. Un ensemble d'acquis, difficile à établir. Le propre de l'homme, qui amène à la réflexion douteuse. Bien entendue, parfois, souvent ; elle peut être douteuse. Il faut la remettre en question. Si l'on aime, est-ce par choix ou envie ? En fin de compte, le moteur de l'évolution serait le départ de l'acceptation d'un terme nouveau. Être envier. Mais envier. Selon la psychologie, nous nous basons tant dessus que nous oublions la base même de nos pensées régissantes. Serait-ce alors ça ; la révolution de posséder à la volonté ce qu'on aime par nécessité ? Dans ce cas-là, Sanzu était la raison nécessaire de Rindo. Et de ce fait, Rindo était ce besoin à Sanzu. L'opposition de besoin et envie... obtenir délibérément ce qu'on veut. Mais le doute arrive. Désigné comme cela, la fonction de l'idée n'acquis dans l'esprit, et telle une graine, la germe pousse en une plantule verte et délicate. Prouvant ainsi l'observation de laisser sa volonté s'exprimer. Car oui tout est là.

L'émulation qui a du mieux. La réussite et le bonheur. À quoi penser quand on se sent tout bonnement bien et à l'aise dans cet apaisement de la nature. Le son délicat. D'une belle chanson sans once de bruit. Pure et classique... Silence et pudique. Donner un sens à qui nous sommes. Rindo regardait le paysage pittoresque de la forêt. Comme un appel sauvage, il se sentait bien. Comme si l'appel de la nature l'appeler... non, le convoiter. Sanzu l'avait peut-être compris? puisqu'il venait vers lui. La direction d'un pas est toujours hésitante. pas sûr et peu flancher à tout moment. Mais ce paysage envoyait du cachet,. Il avait du cran de se confronter, de se montrer tel qu'il est. Trois fonctions : écologique, économique et sociale. Oui, tout y est beau et verdoyant. On entendait l'écoulement de la rivière, et des cascades qui se suicidaient sur les roches grises pleine de mousse. Une vaste étendue de terre peuplée d'un nouveau monde emplit d'arbres. La sève dans les pins qui monte, les chênes qui s'enchevêtre. Les bois humides, qui s'intensifient d'une mousse. Un goût étrange dans le bouche, une autre saveur que l'on prend par unique choix. La proximité enivrante de l'odeur des feuilles qui même au printemps craquèlent tout restant humides. Tout païen aime la nature. Le blond en était un. Il mirait l'air en un talent insaisissable. Un nouvel horizon dans son propre itinéraire. Les talus de terres et de feuilles qui se mélangent. Quelque chose d'mer qui se réveil, et qui reste agréable en bouche. Les fougèrent qui se battent. Rindo regardait avec convoitise les arbres en hauteurs laissaient le vent se permettre d'une caresse lente et passionné. Il y trouvait un air féerique. Peut-être, semblait-il possible de voir des fées et lilliputiens sortir des arbres, butiner les fleurs, jouant dans les feuilles... ou de voir des lutins tracassins un fauche à la main profitait de ce faux airs... Rindo se sentait bien loin de tout. Comme si tout était un peu trop silvestre et boisé. Un appel dans la forêt de ses pensées. Sanzu sortait de la douche, une serviette autour de la taille. Une fâcheuse habitude qu'il aimait prendre. Provoquer un peu... la lisière de la forêt, les hêtres virevoltants. Tout y était bon à prendre la chaleur du nord réchauffait le corps. Le soleil chauffait la baie vitrée et la peau opaline de Rindo, alors que la peau légèrement matte de Sanzu avançait laissant quelques gouttelettes retomber sur ce parquet. Il se mit systématiquement à regarder ce que son amant prenait la peine d'observer. Le jeune homme voulait percevoir, ne serait-ce qu'un peu, la vision de son amoureux ; se mettre à sa place.

𝘕𝘰𝘵𝘦 𝘦𝘵 𝘔𝘦́𝘭𝘰𝘥𝘪𝘦  | ʳⁱⁿᶻᵘ | Note et MélodieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant