Chapitre 43

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Le sentiment de bonheur, l'émotion agréable et profonde. Tout ça, et crée par un lien de cause, il se manifeste ouvertement. La cause d'une joie est parfois l'émotion vive. Rien n'est plus qu'agréable, la limitation dans le temps de la plénitude qui affecte les aspirations. Les ambitions des désirs, ou ses rêves viennent dans la satisfaction d'une manière effective ou imaginaire. On ressent beaucoup, aussi vif soit tout ça. Ce plaisir ne se regarde pas. Il se vit. Vivre dans la joie, absorbée dans une forte tendresse violente. Non fondée, tout se révèle dans l'attente. L'amour est une fierté, comme un torticolis qui s'invente. L'émotion profonde liée à l'idée parfois imparfaite d'un moment qui est tout simplement agréable.

Il devait être cinq heures du matin tout au plus. Le soleil dormait encore, la nuit restait le maîtresse de cérémonie en son tapis noir nocturne qui arborait de jolies strasses qui illuminaient le ciel du jour. Une satisfaction de vivre. L'intensité d'un moment palpitant, la venue d'un plaisir agissant sur soi telle une drogue liquéfiante qui rend l'odeur des veines un peu incolore. Comme si, on avait accompli une tâche. À force de répétition, celle-ci avait pu aboutir en quelque chose de logique, contribuant à l'envie de ce sentiment éperdue qui sifflote dans l'air. Une exploration matinale, pour se promener dans les docks. La charge des navires arrivait de bons matins. Le ciel s'illuminait lentement d'un bleu azur qui peignait son ouverture. L'air marins accueillait cette brise salée, dans un vent frais appréciable sur la peau qui rougissait lentement. Les roches brisé, posé en un amont dans la vaste étendue : montrait le semblant d'une île de bienvenue à la chaleur magique. Le calcaire des roches abimées par le sel donnait une jolie couleur de rouille à certains endroits. Le ponteaux en bois au rambarde métallisée. Des paquebots de plaisance y étaient présents. Attachés à une corde en bois entourée à la bite grisâtre, laissait le flot des vagues bercer quelque chose de nouveau. Quelques marins venaient d'arriver, les voiles se gonflées sous cette courte brise, alors que, les immenses chalutiers, eux, semblaient être escorté par un amont de mouettes affamées de poissons. Le soleil se levait, il faisait rougir les poutres en bois. Une vague orangée vint cependant troubler l'harmonie du moment. Des feux illuminaient la mer, tandis que le soleil déranger la couleur bleu nuit du ciel. L'immense phare blanc et rouge, qui régnait sur un tas de cailloux pas très d'une falaise guider les derniers bateaux de croisière, réveillant sûrement le monde aquatique par leur passage. Une belle cascade se mêlait dans l'atmosphère. Des ombres noirs dans l'horizon chantait le requiem de début de la journée, marquant la rupture avec la nuit. Les nuages semblaient devenir un passage futile d'un tracement quelconque, alors que le firmament, lui se teintait d'un violet pâle légèrement rosé qui leur plaisait.

Sanzu avançait avec Rindo, main dans la main, alors que l'autre se reposer dans cette poche de jogging enfilé à la va vite sous un coup de tête. La rupture temporelle entre les bonnes et mauvaises idées. Ils souriant, laissant quelques mouettes affamées crier dans le réveil marin, alors qu'au loin on pouvait voir des dauphins brassaient sur l'océan, sautant hors de celui-ci pour reprendre un peu d'air. L'océan est un mystère, tout le monde le veut. On le convoite tous sans le vouloir. La simple envie de voyage nous le fait désirer, et pourtant on dit que non. Trésors, traverser, périple... la destination importe peu, lorsqu'on s'y trouve face ou sur lui. Peut-être y avait-il des sirène importune en manque de fortune qui de leur chant attiré les marins les plus faibles pour les manger sous la mer. Oui, se frotter au mythe de cette femme mi humaine, mi poisson. Convoiter son charme dangereux et obscures, alors que son chant enivre l'esprit. Sanzu ne croyait pas au mythe, pourtant, Rindo lui en racontait souvent. Celui-là, il le trouvait passionnant. Le folklore médiéval, d'une créature légendaire. Tomber dans l'amour et la convoitise pour cette bête... vous y voilà, nous y sommes, le démon marin à la voix envoutante. Son chant est une expression faussement divine tant il trop beau. Évidemment, il n'est que très peu pure. Mais attendait-le, il vous ravivera. L'offre séduisante, il courbe la trajectoire et vous noie avec elle... une sirène est un diable marin au service du roi des Enfers.

𝘕𝘰𝘵𝘦 𝘦𝘵 𝘔𝘦́𝘭𝘰𝘥𝘪𝘦  | ʳⁱⁿᶻᵘ | Note et MélodieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant