Le fantasme... n'est qu'une production de l'imagination que se projette dans la pensée et la conscience en une image réelle que l'on souhaite. Une correspondance à un désir, souvent inconscient que l'on manifeste avec bonne foi tout de même. Faire face à l'hallucination subjective qui divague un peu. Tout tourne à l'obsession utopique que l'on désir. L'érotisme pertinent qui se déclenche en une boucle chaude et imminente. L'exaltation sensuelle de la sexualité. L'évocation de l'amour, qui se donne, se prescrit et se pense. Cette belle recherche d'attraction. L'excitation éveillée qui se manifeste en de milliard de petites choses toutes aussi prenantes. Un caractère que l'on attribue à une personne ou une chose. Mais une tendance pathologique au gout de cette volupté charnelle, lorsque les corps se mélange.
La relation de deux être qui aboutit à l'échange de corps nus qui se veulent plus que tout au monde. Pertinent, ou non, ce consentement transforme le métabolisme. Il devient chaud ; la température augmente, on respire lourdement. Le souffle bien que court et tout aussi bouillant que le reste ; on oublierait comment faire pour respirer correctement. Le ventre devient le lieu des émotions ; on sent que quelque chose se tord. Une espèce de ballonnement qui tire, qui se rend pratiquement plaisant, et bouillonne lentement alors que le reste se tend. Puis, naît une palpitation violente mais douce à la fois. Elle irrigue les vaisseaux sanguins, pour donner l'envie. Tout augmente ; le corps se dirige vers toutes sorte de lieux et de pensées. On se dit que cette réaction chimique part de tout, mais parle des limites. La libido, manifeste son plaisir. L'instinct sexuel parlerait presque trop. Dans un sens large on convoite cette sexualité avec son partenaire tout un coup, parce qu'on le désir plus que tout. En fin de compte, l'énergie psychique vitale, inclut l'amour. Sauvage, abrupte et forte. Présente qui fuit un peu, reste partout avec nous.Sanzu aimait se dire, que parfois, dans l'expérimentation de leurs désirs, Rindo était aussi fou que lui. Réaliser un fantasme sexuel avec ce garçon aux cheveux violets, son mulet parfaitement coiffé, cette chemise déboutonnée, dès lors qu'il était en repos. La position que le jeune Haitani avait dans n'importe quels canapés ; les jambes écartées, un bras dessus, alors qu'une main se posait sur sa cuisse, pour se poser sur celle du rosé. Il aimait bien cette vue ; le tatouage qui occupé la moitié de son torse et qui descendait sur ses hanches. Ce pantalon large mais si serré des fois. Mais aussi cette cuisse mise sur l'autre qui marquait un trait viril qui le rendait chaud. Une puissance émanait de cet homme, et Sanzu ne savait pas comment y faire face. Tout ce qu'il voulait lui faire, n'était pas assez. C'est-ce qu'il pensait. Et quand il l'attendait dans le lit, le torse complètement nu, un caleçon en unique vêtement, il sentait son corps se durcir en un coup. Comme s'il recevait une fellation à distance. Une main sur son membre inconscient se déplaçait sans qu'il ne le sache. Le violet le rendait fou, il voulait tant faire de chose avec lui... cette envie si réciproque ; se partager.
Rindo lui se disait souvent que ce désir en lui était trop fort. Il adorait voir le jeune Haruchiyo dans n'importe quelles circonstances. Que ce soit dans le canapé avec les deux cuisses écartées, les bras posés en amont dans le divan pour que admirer les jolis yeux rivés sur les futilités de la télévision. Ou, en sortant de la douche. Le violet aimait plus que tout voir ce torse nu devant lui, coupé par une serviette qui ne tenait à rien. Voir les quelques gouttes d'eau déjà refroidie perler sur ce mulet humide. Sentir un souffle froid s'écraser dans la pièce et ce sourire charmeur qui l'incitait à l'embrasser. Les pectoraux durs et musclés, avec cette teinte rose qui ne demandait qu'à être admiré. Rindo aimant bien cette sensation chaude et réciproque lorsque Sanzu marchait vers sa commode ; il laissait ses hanches onduler comme s'il faisait l'amour à l'atmosphère de la pièce. Et lorsqu'il le voyait nu... il ne savait que penser.La chambre avait une odeur particulière. Il faisait chaud, et leur odeur traversait leurs pores. Rindo laissait son parfum aux notes fortes et brutales émaner de lui en une douce et violente brutalité. Il transpirait presque de luxure... Sanzu, lui, à peine sortit de la salle de bain, la douche qui se reposait derrière lui, n'avait presque servit à rien. Il sentait bon, une odeur sucrée et amère à la fois. Un gout particulier auquel on accroche par ce bonheur procuré.
Le floue de ce sentiment... cette tension abordée. Il l'aimait. Un sentiment sexuel part toujours de quelque part. Deux personnes se sentent attirées par l'autre ; elles sont comme intéressées par la sensation donnée par l'autre quand elles sont proches, et parfois seules. Ce tout reste. Ils se regardaient sans rien dire. Le contact de leurs yeux luisait. Non, il suintait même. Ils se voulaient, à aucun moment, ils ne détournèrent le regard l'un de l'autre. Et ce fut Rindo qui sourit le premier. Regardant loin la seconde d'après, comme si, la peinture derrière le rosé était d'un coup plus intéressant.
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𝘕𝘰𝘵𝘦 𝘦𝘵 𝘔𝘦́𝘭𝘰𝘥𝘪𝘦 | ʳⁱⁿᶻᵘ | Note et Mélodie
Fiksi PenggemarLe Bonten, ce lieu un peu trop traître. L'opéra est un lieu de foutaise mélodieuse. Et cette rancœur sonore s'affiche en publique un peu trop voyante. Laissant les nerfs à vif et cette drogue se balader dans les veines endiablées. Goûtez au péché ép...