Chapitre 35

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L'odeur du sang. L'insecte annélide qui vogue dans les eaux stagne, qui se fixe sur la peau par une ventouse buccale, suçant le le jus rouge, emplit de fer. Les globules ennuyées ne se défaisaient pas de cela. Et ce soutirement insolent qui les brûlait depuis longtemps ils en avaient marre d'attendre. L'espoir, l'espérance... un fait énervant. Que se passe-t-il réellement dans la prévoyance clairvoyante qui arrive. Demeurer en un lieu jusqu'à ce que quelqu'un arrive. L'écart temporelle qui sépare un lieu d'un autre. Comme une prévision, le phénomène intellectuel détermine l'adaptation de l'organisme rapide. Pendant que l'on précise et complète, l'évènement vient et se précède. Le temps est connu. Mis en relation, le comportement domine. L'accent était mis. 

La sensation de vide dans le ventre. Le gargouillement douloureux qui témoigne la faim et la soif. Quand le matin se lève l'estomac se contracte, il fait presque mal. Tandis que l'intestin lui se comprime en de petit gaz. Le réveil des sens s'outre seul dans l'insomnie bienveillante. La veille lourde d'une expédition, et la soif décuplée qui vous donne envie de tout arrêter. Tandis que l'unique bruit fort retentit dans les tympans, pendant que les tempes douloureuses ne veulent rien d'autre que le silence. Entendre dans ce bruit étrange, l'apaisement moindre de son corps. Quelques pensées se réveillent. Elles brutalisent une sensation vive et craintive. L'âme ne se perd pas, non, elle retrouve vite son chemin. Elle veut et espère. L'utilité de gérer ses envies de vengeance. L'émotion plutôt négative, le sentiment offensé qui souhaite voir l'auteur des préjudices souffrir autant qu'on le veut. L'agissement d'un mécanisme d'une défense primitif et naturel qui régit souvent d'une pulsion. Tout ça parait non pas réfléchit. Cependant la pensé avec rage déterminée. Il n'y a pas de différence entre le bien et le mal. Non, il n'en avait plus. Mais cette envie de vengeance, une réclame de la justice. Logique ou non, dire que oui, le droit que l'on possède et bon. L'acte de nuire envers une personne a toujours un but, obtenir réparation. Douce au cœur, elle remue les tripes. Voilà le mécanisme distinctif des notions de ce vouloir. Comme si on se voilait la face. Un ensemble de comportements qui vise à nuire à cette personne. Perçut comme coupable et responsable, les dommages sont fréquemment des préjudices physiques et morales.

L'action d'une personne offensée, un outrage lésait infligé en retour par un ressentiment par le mal offensé. La punition d'un résultat par une action. Se venger, c'est-à-dire réparer le mal par le mal. L'injure même dont on est victime. Une revanche qui riposte violement. Le châtiment du mal, qui violente les tempes. Nuire à une personne, le but de se dire que frapper, tuer, injurier... permet d'avoir la réparation offensante. Le début de la trahison considéré comme satisfaisante. La vengeance n'est pas une exclusivité humaine. Elle rapporte des épisodes domptés qui inflige ma maltraitance. Dans la tragédie de la vengeance, les anges viennent avec des coups donner des coups violents. Alors que d'une épée, la course effrénée talonne avec poigne la lame assertée qui grince sur la porte en bois déchirant le papier peint des murs. Tout ça dans le but de trouver une fin clémente. Faire à l'autre ce qu'on a eu en pire. Le désire de souffrance, c'est comme la riposte d'une offense. La seule possibilité à postériori lorsqu'on veut montrer sa supériorité. La société fait violence elle-même. Tout crime a une punition. Sanzu avait en lui se désir, Rindo voulait achever celui-ci. Juger. Entraîner ce sentiment. Le disproportionnément ; rien n'est juste. Rien n'est bien, rien n'est mauvais. Oui, mérité la punition, ils étaient pour. Le châtiment d'un acte hostile est une réponse. Se venger, et appliquer sa loi. Vous connaissez ce talion d'œil pour œil. L'accomplissement de la violence qui détient l'autorité. L'usage même spécifique d'un acte morose.

Ils étaient devant le bâtiment. Le même. Un immeuble poisseux, dans les ruelles sombres et sales, où des sans-abris s'empiffraient d'alcool, alors qu'au loin des prostituées droguées attiraient des hommes riches, pervers et écœurants vers eux. Le blond souriait, il avait une cigarette entre les lèvres. Puis, le vent entre ses mèches dévoilé une odeur de luxe qui dégagé de cachet. Le rosé riait, les mains dans son pantalon de costume violet, un couteau de boucher était bloqué dans sa ceinture, l'étrange sentiment heureux émanait de son essence venteuse. Un chien vint aboyer, ce qui les tira de leur transe. 

𝘕𝘰𝘵𝘦 𝘦𝘵 𝘔𝘦́𝘭𝘰𝘥𝘪𝘦  | ʳⁱⁿᶻᵘ | Note et MélodieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant