Chapitre 41

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Le défaut d'appétit. L'envie morbide et obscène qui découle lentement dans les veines en une sources de stress. La répugnance d'un instant, comme un manque de goût assez fort, l'estime se confronte à un dégoût. Ôter toute envie, ou même tout désir fantôme qui hante l'esprit. Confondue dans l'apparition surnaturelle d'un défunt. L'imagination existante qui se remplace comme l'absence de tout. Est-ce là, l'illusion d'une funeste illusion en une ombre interprétée qui déambule seule dans l'atmosphère surhumaine. Un instant magique, peut-être prodigieux et ensorcelant. Cette douce spiritualité qui confronte au vide gigantesque en soi. Le néant lent qui tombe en une chute infernale dans un cauchemar de l'ailleurs.
Le défaut de gout. Rien ne relève d'une loi logique, un système explicatif, qui pourrait s'expliquer. Pourtant, on ne peut pas le décrire, le nommé ou même le caractériser. Comme si l'aversion en soit, sonnait en un écho, désintéressant. L'occultation naturel, n'appartient plus à autre chose. En fin de compte cette lassitude. En fait, tout est contre nature. Le manque peut-être, cette sensation virulente dans la sagesse. Le vomi se refoule dans l'indissociabilité sensationnel, selon le stress secret à l'œuvre refoulé dans les corps, et les esprits. Peut-être est-ce là l'écœurement soudain, ce qui dégoute pourrait être l'aversion de révulsion qui répulse. Si on pleure, si on s'éloigne... l'impression s'inonde. L'éponge se gorge d'eau, la pression monte et on veut pleurer. Pourtant, on ne veut pas. On n'ose pas. Car, on trouve ça faible. Cette confrontation en face de l'autre, les larmes fracassantes. Le manque d'intérêt, de goût. Parfois cette chose n'est qu'un prétexte personnifiant.
Être dégouté. Être absent.

Sanzu regardait son reflet dans le miroir. Il jouait avec un masque noir en tissus. Les mains posées autour du lavabo. L'eau coulait du robinet, elle sifflait dans la vasque blanche marbré. L'aversion sous l'averse de dehors le rendait malade. Comme une nausée immonde en lui revenait en haut de cœur. Le déplaisir... un chagrin, du mécontentement ? Non. Sous l'impression causé, le dégoût ou la douleur, s'orientait sur son être. L'aspiration du goût des autres. Ses mains tremblaient, son cœur palpitait. Il avait envie de pleurer, son œsophage se nouait toutes sa gorge lui faisait du mal. Un manque de tension qui chute. Ses yeux verts viraient aux rouges, ils étaient en train de gonfler. Ils commençaient à gonfler, il suffoquait... quelques sanglots lui faisaient mal. Ses poumons lui paraissaient si lourds. Tout pesait en lui, il n'avait plus de force, ses jambes le tiraient... pourquoi sa tête tournait ? Peut-être ressentait-il un manque ? la drogue devait sans doute manquer à son cerveau. Ses veines profondes tiraillaient ses muscles, son abdomen lui faisait mal. Celles qui étaient superficielles couchaient avec la peau de courage en lui. Il ressentait un brûlure dans son ventre. Une vaste connexion se dirigeait en lui. Sentir l'odeur caramélisée et sucrée de son amant lui donnait le vaste de désir de ne pas sombrer ou, même de s'écrouler.
La panique avait une odeur vanillée. Rindo venait d'arriver... et comme si la connexion le désoxygénait, le violet sentait bon, oui, mais son cœur dans ses veines transportait avec périphérie l'air de ses poumons. Les artères se dilataient en même temps qu'elles se serraient. Le ciel gris de dehors s'assombrissait dans toute la pièce. Devant la lumière de la pièce, la salle de bain éclairait la chambre, et le son de l'eau et de sanglot régnait. Avec une lourdeur en lui. Le violet au mulet lâcha ses affaires ; pistolet, sacs... il se mit à courir. Une folie insupportable en lui.

- « Bébé... » dit en avançant Rindo. Ses yeux violets traduisaient une tristesse compatissante. Ses bras enroulèrent la taille du rosé, tandis que les tremblements incessants se calmaient un peu. « Je suis... je... suis là... » murmura-t-il en posant son menton dans le creux du coup de son amant.

Des larmes coulèrent enfin sur les joues de Sanzu, son corps voulait tant tomber. Il voulait tant se laisser aller. Mais, il avait mal, un manque ; une obsession lui brûlait l'intérieur. Il restait sans réponse. Que voulait-il réclamer ? Il se retourna en face de son amant. Le regardant droit dans les yeux. Ses orbes verts, fixaient avec passion les pupilles noires et profondes de cette âme en face de lui.

𝘕𝘰𝘵𝘦 𝘦𝘵 𝘔𝘦́𝘭𝘰𝘥𝘪𝘦  | ʳⁱⁿᶻᵘ | Note et MélodieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant