Chapitre 44

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Le mot d'un rêve permet la signification d'une divagation qui radote un peu. Perdre le sens, le fil et le temps. S'abandonner un peu, et vivre à son rythme sous l'envie, et sur le désir des flots. Présents dans l'instant vagabond extravagant. Le sommeil ne pique pas. Il préfère l'envie. Le sentiment indigne, jugeant la personnalité indigne d'estime d'un intérêt. Oui l'estime indigne de l'attention et une considération qui ne dédaigne pas dans la crainte. Peut-on transcrire avec envie poignante le jugement fidèle de l'inconscient. Le vécu qui se caractérise par une suite. L'organisation ou non, de l'image que l'on représente dans la mentalité de l'esprits au cours du sommeil. Sanzu et Rindo ne rêvaient pas endormi mais debout. Tout est perceptible ; telle une manifestation physique externes d'une extériorité. Est-ce là l'hallucination de l'état... l'état d'éveille. Invariable, humain et universel ; la conception s'affranchit dans le temps et l'espace. Comme l'ordinaire, le songe poétique, antique et presque religieux tant on y porte une croyance aveugle. Raison, ou non, on s'intéresse aux rêves, pour parfois haïr comme envier cette méprise obscène. Philosophiquement, une douceur psychologie accorde l'importance cruciale. La belle et douce étude d'une théorie sans séquelle qui donne une douce et belle ivresse. La conduite condamne souvent et la méprise s'envole dans la redoute dangereuse de l'âme. L'erreur, l'envie ; non tout ça n'est qu'une douce confusion. L'océan diverge souvent, il est l'incarnation semblable aux émotions lentes et brutales. Le bruit de cheminée, même aux loin fumait dans l'air. Un nuage blanc et opaque décimait l'atmosphère friable du ciel. Un jugement indigne, l'attention traduite de la considération. Comme si, la condamnation de quelqu'un s'indigner aussi vite que rien. Moralement, on ne veut pas, mais on y croit, on se permet de mépriser un peu le monde dans lequel on vit. Lâche de cet acte... funèbre ou non, il demeurait là sur le bateau à la coque blanche et luisante. Derrière eux, une fumée d'eau en croissance, donnait lieu à un chemin, qui s'effaçait, rendant leur accessibilité amoindrit. La vaste brume blanche se reflétait entre le ciel et la mer, tandis que, tout était pris d'une danse majestueuse. Le petit drapeau rouge se froissait dans l'air, l'autopilote était mis, ils regardaient cette vaste étendue immense qui était la même partout. Sanzu c'était dirigé vers la glacière pour prendre une limonade et en verser dans deux verres distincts.

La méprise peut être une erreur, tout comme une fuite agréable dont on jubile lentement. Positive ou négative. Elle se laissait bercer par les innombrables flots légers qui divaguaient. Les vitres de ce bateau de plaisance réchauffaient l'air, et la brise elle donnait un peu de souffle frais et salé. Les antennes laissaient la radio chantait à tue-tête sur la mer, alors que Rindo ne pouvait défaire ce sourire. Au loin, une baleine avait jugé bon de sauter hors de l'eau. Chantant dans les fonds marins. L'animation de la chaleur est une fougue mise en action. Il serait là, question de l'expression comportementale d'une discute. Ce mouvement, est une grande activité, au sein d'un groupe, le lieu le plus serein n'est qu'un débat. Oui, il s'agit d'une émission serviable. Un spectacle animé, plein de vitalité, qui mène l'entrain de ce groupe de deux. La partie d'un processus graphique dans l'esprit, qui n'est qu'un dessin harmonieux d'une musique. L'action de...

Finalement, ils avaient envie de s'arrêter pour contempler l'espace. L'eau, la brise et la chaleur. Le bruit sourd des bateaux, ils ne les entendaient plus du tout. Leur paquebot tanguait lentement à bâbord comme à tribord, le calme les observait.

- « Rin, j'ai envie de me baigner. »

- « Bah vas-y ! »

- « Viens ! » dit-il en sautillant dans tous les sens, tout en se déshabillant pour se mettre en caleçon.

- « J'espère qu'on se f'ra manger par de requins ! » souffla le violet qui jetait l'ancre.

- « Rin, t'es bête ! » pouffa-t-il en riant. Alors que le nommé, lui défaisait sa ceinture, tandis que l'autre sauta du pont vers l'eau. « Tous à l'eau ! »

𝘕𝘰𝘵𝘦 𝘦𝘵 𝘔𝘦́𝘭𝘰𝘥𝘪𝘦  | ʳⁱⁿᶻᵘ | Note et MélodieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant