Chapitre 15

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Chapitre 15



Sortis de la chambre, une vague de soulagement m'envahît, je venait d'échapper au pire, si aaron n'avait pas été la je ne suis pas sûr d'avoir pu éviter ce qu'il comptais faire..
Il me portait toujours dans ces bras tatoués dévalant le couloirs, le sentiment de securiter qui avait pris le dessus sur le reste m'avait permis de me relâcher mais le choc etat toujours bien présent au vu des larmes silencieuses qui coulais sur mon visage.

je lève la tête et voit le visage de aaron complètement fermé. Mâchoire serrée, regard dans le vide, sourcil froncé, si je ne serais pas la personne Qu'il est venue aider je pourrais parier qui s'apprête à tuer quelqu'un.

Il ouvrit une porte.

- aaron..

Il me pose doucement sur le lit présent dans la pièce toujours avec la meme expression sur le visage.

- bouge pas.

Le ton sec qu'il avait employé me créa un frisson de peur, je sais ce qu'il comptait faire quand je le vis avancer vers la porte en chêne qui menait au couloir.

- arrête !

Il ne m'écoute pas, perdu dans ces pensées.

- Aaron !

Je saute presque du lit arrive à sa hauteur, il a la main sur la poignée mais il s'immobilise au contact de ma main qui tire légèrement dans le dos de son t-shirt.

- n'y retourne pas.

Aucune réponse, il abaissa la poignée mais je t'irais maintenant plus fort pour qu'il m'écoute.

- reste avec moi..

Mon ton maintenant suppliant le fit tourner la tête.









Pdv aaron



Je croise son regard, boulversé.
Et quand mes yeux s'attarde sur ses larmes qui coulent sans bruits un pincement au cœur rend ma colère en hystérie meurtrière.
Tout ce que je voit c'est mes mains frappant encore et encore cet enfoirer, je veut qu'il paye.
Je me tourne face à elle.

- je vais le tuer putain.

La seconde d'après elle se jette dans mes bras, m'enlaçant comme si elle s'apprêtait à tomber, je place mes mains sur son dos la caressant légèrement pour la consoler, je ne sais jamais quoi faire dans ce genre de situation. J'entend des reniflements, ce chien a vraiment réussi à la faire pleurer.

- viens.

Je pris sa mains tremblante et la sortis de la chambre, on traverse ce labyrinthe qui sert de maison à l'hôte, passant à travers la foule, des personne bourrée ou des couples qui s'embrasse, puis on arrive au parking.

- on va où ? Demande t-Elle.

- je te ramène chez toi.

- non je peut pas partir sans Spencer !

- june fait pas la gamine monte dans cette voiture.

Son visage se crispa.

- sinon quoi ? Toi aussi tu va essayer de me violer ?! Peut être que c'est un délire entre coloc !

Les mots qui sortait de sa bouche ravivait ma colère, je m'approche dangereusement d'elle.

- ne me compare plus jamais à ce fils de pute c'est clair ?

Je n'haussais pas ma voix, mais on peut ressentir largement mon humeur à travers mon regard, et je le sais au vu de son pas de recul.

- envoie un message à ta pote et laisse moi te ramener chez toi.

The shadows of my lifeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant