Le vrai Amour : Je t'ai rencontré, je t'attendrais ( Finition ) .

Chapitre 30

Pdv de Ulron

Elle s'arrête et je ne dis rien car je vois bien ses larmes coulent, il le faut;

-Il est mort sans que nous puissions tout avouer au bon moment c'est lorsqu'il est mort que ZACOL et les policiers ont approfondis des recherches sur cette femme.
Et un dossier complet est sortie c'est ce même dossier que ZACOL t'a fait lire car j'avais demandé à ce que l'on ne te dise rien sur toute cette histoire car cela t'aurait anéanti et ce pour de bon. Finit-elle par dire alors que des larmes redoublent sur ses joues.

Je suis un moment décontenancé de la réalité et je vois ma tante de rapprocher d'elle et lui réconforter mais une chose n'est pas explicite est-ce que tante le savait aussi ?

-Réancia m'avait tout raconté lors de son enterrement et m'a fait promettre de ne rien te dire ne m'en veux pas, ne les en veux pas surtout pas à ton père car il est déjà mort de surcroît n'a jamais rien caché à ta mère, il a commis une erreur qui aujourd'hui t'a tant brisé mon neveu.

Une larme perle sur ma joue et je les regarde toutes les deux, ça ne sert plus de le répéter c'est vrai je suis anéanti sans chance de bonheur mais mon cœur se serre une fois de plus en voyant mère si désolée, si triste pourquoi a-t-il fallu à père de commettre cette erreur ?
Au-moins on aurait été bien sans séquence de mort et douleur dans nos vies de riche voilà pourquoi n'envions jamais les hommes remplis de tunes car on ne saura jamais ce qu'ils sont en réalité parfois ils sont des grands malades et parfois des vrais détruit et malchanceux sur terre mon cas est les deux derniers.

C'est fini plus rien à dire, il est mort je ne m'en veux pas car mon père a toujours été un bon homme mais il faut que le genre humain n'est quasiment jamais parfait c'est pourquoi d'ailleurs il a commis une telle connerie

-Mon fils m'appelle mère alors que je sors de mes pensées, tristement je la regarde

-Pardonne nous s'il te plaît

-Il n'y a rien à pardonner c'est le passé alors je comprends cela peut arriver.
Et oui ça l'est et ma vie d'espoir aussi est maintenant passé tout ce qui importe maintenant c'est ma famille et le bébé qui pourrait me faire devenir ma plus meilleure version.

-Mon fils cela ne doit pas t'empêcher d'être heureux tu sais comme tu l'as dis c'est le passé, laissons le passé au passé et continuons la marche finit-elle par rajouter en essayant ses larmes.

Je ne réponds rien et me lève aussitôt, je dois vite m'éloigner d'elle.
Je suis un homme et de préférence ne voudrait pleurer devant elles.

Debout sans un regard en arrière dans leur direction je prends la direction de la sortie avant de m'arrêter au seuil de la porte

-Mère c'est le passé, ce même qui a tout détruit croit le où pas je suis le plus grand malchanceux et rien ni personne ne pourrait le changer. Plus d'espoir dans mon cœur concernant quelconque bonheur mais je préfère maintenant faire le minimum d'effort pour mon enfant et seul mon enfant je te laisse passe une bonne nuit.

Après mes mots je monte dans mon bureau confidentiel et bloqe l'accès à quiconque même mes amis.

Je veux simplement être seul, seul dans le noir à pleurer mon sort comme il se doit.

Pdv de Marie ARDIE

J'ai passé une salle nuit inondée des pensées exotiques sur mon patron et moi, je n'arrive toujours pas à inculquer à mon cœur que mon amour pour lui est illicite, ne peut être espérer.

Je ne sais pas comment faire, je l'aime et je ne peux le nier, ça saute aux yeux de tous mais comment le lui dire et pourquoi le lui dire ?

Il ne me doit rien.

Ah quelle migraine, je n'ai quasiment pas dormi de toutes les façons c'est ce qu'il m'arrive depuis que je les rencontré.
Je réalise enfin que rien ne serait plus comme avant car je suis seule à présent, je devrais me faire des courses, faire le nettoyage et ranger la maison sans aide puisque Daniella m'a dit au-revoir !
Elle doit sûrement être dans la lune à l'heure qu'il est, ouf !

Je me dirige enfin lourdement toujours dans les vapes dans ma salle de bain pour commencer ma journée, j'ai opté la passée dans la maison car avoir une semaine de repos ne se donne pas du jour au lendemain tant mieux en profiter alors.

Après avoir pris mon bain matinal je me suis dirigée dans la cuisine et il est à peine 10 h du matin, je cuisine par la suite des spaghettis à la bolognaise, je ne mets pas du temps pour me placer devant ma télévision avec mon plateau sur la table basse, je dois avouer aimer cette température, de silence et solitude mêlées avant que ma sonnette émettre un bip...

Non !

Ce n'est pas gagné, je ne pourrais définitivement être tranquille car il y a toujours des gens autour de moi pour me pourrir la vie.

-Georges quelle surprise pourquoi ne pas m'avoir prévenue ? Le questionnai-je au seuil de la porte

-Il faut que l'on parle Marie Riposte-t-il d'un air serein.