Chapitre 47

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Pdv de Meuro SPARID

J'ai été conduit par ses hommes de main jusqu'à un manoir dispendieux, je dois reconnaître  que cet homme est puissant et plus que moi en réalité elle avait raison.

Alicia avait raison sur un point et je me ressasse cette phrase depuis que j'ai quitté mon toit conjugal

"Tant que nous te procurons de la joie alors voilà ce que constitue ta fortune"
La fortune ce n'est donc pas autant le matériel car avoir le matériel sans amour véritable n'est pas du tout signifiant c'est pourquoi je baisse les armes. Je mérite le mieux et Alicia est tout mon bonheur, mes enfants encore plus.
Je l'ai choisi plutôt au tumulte diabolique que mon père m'a enseigné et ce pour de bon.

Je dois et j'ai le devoir de la rendre heureuse car elle m'a énormément supportée.

-Merci de nous recevoir dans ta si humble demeure dis-je en me levant dès son entrée dans le vaste salon

-Bonjour à vous, que puis-je offrir de bon ?

-De l'eau ça fera l'affaire répondis je en arborant un mini sourire satisfait

Accompagné par Meraul je me sens beaucoup mieux léger aux confessions, je ne sais pas comment j'ai fais pour changer aussi facilement pourtant rien avant ne pouvait m'arrêter dans ma quête à la vengeance vengeance  mais je n'ai plus aucun choix à celui-ci. Faire la paix

-Ça t'étonne de me voir ici je le sais Ulron mais c'est en paix que je viens je n'ai pas d'armes déclarais je en levant mes deux mains

-Ok alors vas-y droit au but réplique t-il durement

-C'est moi qui ait engagé Anasthasia our te faire perdre équilibre sans savoir qu'elle était ta sœur dis-je du but en blanc

Il esquisse alors un léger sourire et se lève aussitôt alors je l'imite

-Je le savais putain!

-C'est moi qui ait engagé Lucia pour t'anéantir oui c'est bien moi et je suis venue te dire que je ne veux plus te faire de coups bats je préfère la paix et l'amour d'une famille ceux-ci comptent sur moi

-Qu'adviendra t-il de Lucia ? Demande-t-il

-Sors là de ta vie avant qu'elle t'anéantisse, elle n'est plus de mon camp.


Pdv de Lucia CARDO

J'ai fais comme il me l'avait dis je suis restée aujourd'hui pour veiller sur eux et j'ai un mauvais pressentiment est-ce que Meuro à parler ?

A-t-il rencontré mon époux ?

J'espère bien que non et que c'est une mauvaise blague car en dépit du fait que je veux de son argent je l'aime aussi et je ne vais pas permettre à Meuro de gâcher cela, je dois l'appeler;

Après deux sonneries il décroche

-Que veux-tu de moi Lucia ?

-Je veux ces documents donne les moi je vais les soumettre chez mon avocat je suis proche du but je ne vais pas te permettre de me ralentir

-Tu devrais plutôt commencer tes prières il sera là dans pas longtemps

-Je te dis ...

Et bipp il raccroche à mon appel. Mais que lui arrive-t-il n'était-il pas sensé être mon patron, quel est ce patron qui trahit son employeur de cette façon. Ouf!

Qu'est-ce que je dois faire putain!!

J'ai peur mais une rage énorme englobe tous mes sens et j'ai de grosses gouttes de sueur, que puis-je faire maintenant ?

Je ferais mieux daller les remettre chez leur grand-mère afin de me laisse du temps à réfléchir et à me sortir de ce pétrin.

Je les enveloppe dans leur couverture et je me rends dans les quartiers de leur grand-mère.

Je dois avouer que cette dame n'est pas comme son fils malgré le fait qu'elle est vue mon vrai visage elle me supporte encore et me laisse même toucher à ses petits enfants.

Même si je n'ai pas réussi à gagner le cœur du chef mais j'ai quand-même pu berner sa mère pour vivre dans ce palais c'est pourquoi je vais aller jusqu'au de cette bataille.

Je n'ai pas combattu pour ne rien gagner je dois trouver quelque chose dans son bureau et tant mieux qu'il n'y est personne pour l'heure.

-Venez venez mes bébés dit-elle en me lorgnant

-Chère belle-mère ce sont aussi mes enfants je vous rappelle haussais-je la voix. D'ailleurs pour qui vous me prenez au juste

-Pour une salopette tu devrais avoir honte de toi Lucia comment ai-je fait pour ne pas remarqué cette méchanceté qui sommeille en toi ?

-Parce que vous être vieille et tellement moins intelligente chère belle-mère

Je me mets à rire avant de me retourner et dire

-Bon pour le moment j'ai mieux à faire, vous pouvez les garder jusqu'à quand vous voulez

-Attend Lucia me stoppe-t-elle alors que je suis proche de la sortie

Je me retourne exaspérée

-Que me veux-tu vieille femme ?

-Tu vas le regretté amèrement Lucia

-Eh bainh on le verra !

Le vrai Amour : Je t'ai rencontré, je t'attendrais ( Finition ) .Où les histoires vivent. Découvrez maintenant