Chapitre 42

8 1 0
                                    

Pdv de Ulron

Après avoir sortie cette phrase à Lucia, je m'attends à la voir triste du fait que je ne l'aime toujours pas comme elle s'en était persuadée depuis le début de notre mariage qu'un jour je finirai par l'aimer  néanmoins elle ne l'est pas alors que devrais-je en pensé ?
Par son attitude je m'égare un instant dans mon clos mutisme en tranchant que cette femme ne m'aime pas réellement mais elle m'aime pour le fric je suis sûr, jusqu'à ce stade c'est toujours ce qu'elles ont voulues tous : mon argent, juste mon argent le prestige, juste ce prestige je dois admettre que ma mère m'a plongé dans un trou incontrôlable, proche de cette demoiselle aux formes rebondies au visage innocent qui se renferme sous une beauté indéchiffrable dois-je donné des enfants à cette femme qui ne me garantit aucune sûreté à l'avenir ?
Ou rompre ma promesse ?
Je suis dans un pétrin que dois-je faire ?
Je regarde Lucia pendant des secondes en espérant voir une quelconque tristesse apparaître sur son beau visage mais rien n'est née ainsi je reste là bouche serrée à me poser une simple question.
Dois-je laisser mon corps parler avant mon cœur ?
Parce que là une chose est clair dans ma tête elle m'attire.
Avec cette tenue qui laisse tout son corps à ma merci, j'ai affreusement envie d'en goûter chaque centimètre, est-ce ma faute ?
Non elle est proche de moi dans une nuisette décontractée alors comment doit réagir mon corps ?
Néanmoins je dois le faire peu importe ma philosophie revoir le sourire scotché à son visage me rendrait heureux, ma mère : la lumière de ma vie, la seule lumière qui me reste dans ce cœur brisé alors jamais je ne peux la laisser me quitter en étant triste.

-Ulron tu m'as promit dernièrement que tu prendrais toujours soin de nos enfants et que tu les donnerais tout ton affection comme il se doit n'est-ce pas ? Est-ce que ta parole tient toujours ? Me questionne-t-elle d'un timbre serein.

-Oui dis-je tout court ne voulant plus aller loin, bien sûr que je l'avais dis sérieusement, au grand jamais mes enfants seraient malheureux, je les aimerais de tout mon cœur même si je sais à quoi m'attendre lorsqu'ils s'enflammeront à m'interroger

-Merci Ulron c'est tout ce qui me rendrait heureuse je ne veux pas plus car je sais non seulement que ton cœur est irréparable mais aussi qu'il est disparu de ton corps clame-t-elle en souriant.

Alors là je comprends mieux pourquoi mère l'aime tant, elle est bien différente cependant il n'y a aucune différence pour moi elle cache quelque chose de lourd et je dois en découvrir avant qu'elle lâche mes mains.

-Je t'aime Ulron, sort-elle en venant se blottir à mon corps

-Si c'est ce que tu ressens vraiment, je t'en remercie fut sortie de ma bouche avant de capturer ses lèvres bien décorées.

  Elle se retrouve en dessous de moi prêt à lui parsemer des baisers, je me redresse en capturant une fois de plus ses lèvres et plaquant un bras sur le lit afin de garder équilibre.

Elle est tellement belle, existe-t-il une telle beauté pareille dans le monde ?
En tout cas elle l'est vraiment belle;

Une fois de plus mes lèvres quittent les tiennes je pose mes genoux sur le lit et la dévisage étrangement, je calcule la situation dons mon méninge, que c'est fou dans quelques semaines je la verrais se trimballée avec mon enfant dans son ventre rien que d'y penser mes veines hargne de mépris néanmoins je dois continuer avant que ma réflexion me fasse stopper dans cet élan de souffrance.

-Ulron ne t'arrête pas s'il te plait, ne...

-Chut, fut le seul mot sortie de ma bouche, je parcours ma main sur tout son corps n'oubliant aucun centimètre, je la débarrasse de tous vêtements alors je la vois intimement à ma merci je me stoppe en ouvrant grand mes yeux sous une telle beauté, inexplicable dois-je enregistré ce que je vois ou ne pas trop en déblatérer ?

-Tu es si belle Lucia... Pour une fois je dois bien me montré gentil alors je capture un de ses seins à l'aide de ma bouche ce qui la fait gronder de plaisir.


-Ulron crit-elle lorsque j'éternise notre intimité après avoir tant bien que mal caresser tout jardin de son corps;

Je pense que c'est suffisant pour elle après tout c'était notre première fois alors mon corps est volontier à continuer la danse sous ses gémissements enflammés devrais-je rectifié ? Sous nos gémissements ténébreux.

Ce fut une nuit longue pour nous, ayant juste profité de trois heures de sommeil avant que mon horloge pointe son nez.

     

     Enfin le matin je me rends au bureau sans réveiller mon épouse car elle doit être épuisée.

Le vrai Amour : Je t'ai rencontré, je t'attendrais ( Finition ) .Où les histoires vivent. Découvrez maintenant