Le vrai Amour : Je t'ai rencontré, je t'attendrais ( Finition ) .

Chapitre 39

Pdv de Ulron

J'ai succombé et je n'aurais pas dû, elle m'a pourtant avoué cela.
Qu'elle m'aimait et moi je l'ai brisé son petit cœur, elle m'a tout donné et je regrette d'avoir été un abrutis de première classe.
Comment ferais-je pour regarder Georges dans les yeux après ce que j'ai fais à sa sœur en ne lui promettant aucun futur entre nous même après notre nuit agitée ?

Je n'aurais pas dû je me sens coupable si coupable que je maudits ce désir qui a consumé toutes les fibres de mon corps à l'instant où me yeux se sont posés sur son corps. Malheureusement je n'ai pas le choix je ne peux lui promettre une relation parce que mon cœur renfermé ne le permet juste pas.
En effet lire la douleur dans ses yeux m'a totalement atteint plus que je ne le pensais qu'après un pas à l'extérieur de son appartement me rend sensible pour une première fois depuis quatre ans.

J'espère au-moins avoir pris la bonne décision, elle mérite mieux qu'un coup du soir.

Je suis dans ma voiture actuellement et roule à une vive vitesse qui sait peut-être qu'elle arrivera à calmer mes pensées exotiques envers cette femme.

Enfin arrivé à mon domicile, je me gare sur les graviers et donne les clés à mon employé, j'ai fais aussi vite que j'ai pu à cause des appels de mère que j'ai d'ailleurs ignoré durant tout le trajet de toutes les façons je n'étais pas en mesure de parler à qui que se soit;

-On peut savoir où tu as passé la nuit Ulron ? Vocifère Lucia dès mon arrivée dans le vaste salon, je pose mes yeux sur cette femme aussi belle que suspicieuse, assise sur le vaste fauteuil elle me fusille du regard je crois que ses hormones lui rendent plus exaspérante qu'avant et déjà que ma colère pointe le bout de son nez je n'ai aucune envie de la faire du mal dans son état ;

Ignorant sa phrase je monte droit dans mes quartiers pour me rafraîchir ;

Quelques minutes alors que je sors du dressing je tombe sur Lucia assise sur le bord du lit en larmes, mais que lui arrive-t-il bon sang !

Je crois que je vais vraiment commettre un premier meurtre d'ici là fin de la journée.

-Que se passe-t-il as-tu mal quelque part Lucia dit moi ?

-Tu m'avais promis être toujours là mais cette nuit j'ai dormis toute seule comment oses-tu m'abandonné alors que je porte notre enfant Ulron finit-elle par dire en haussant la voix.

-Comment oses-tu me parlé sur ce ton ?

-Comment ne puis-je pas le faire Ulron de quoi me reproches tu ? Bon sang !

-Tu baisses d'un ton immédiatement Lucia j'espère une tu sais à qui tu t'adresses

-Bien-sûr  que je le sais pour qui tu me prends Ulron ? Tu oses m'être infidèle alors que je porte ton héritier ? Renchérit-elle en se levant du lit soudainement, larmes aux yeux néanmoins je n'arrive plus à me contrôler et je risque de faire une nouvelle connerie.

-Tu vas te taire Lucia, je ne veux plus tu en entendre est-ce que c'est clair ? Claironnais-je durement

-Non ce n'est pas clair je veux une réponse où as-tu passé la nuit Ulron ?

-Dans un lit plus confortable que le nôtre voilà ta réponse maintenant fou moi la paix

-Que le nôtre tu dis qu'est-ce que cela signifie Ulron est-ce que tu as dormi avec une autre que moi ? Réponds moi Ulron. Comment peux-tu faire cela on attend un enfant bon sang ! Clarifie-t-elle en proie à une forte rage alors qu'elle me hier des coups de poings sur les abdos, cette femme ne comprend pas que son état en vaut du calme et non de telles secousses inutiles seulement en ce moment cela ne m'étonne guère car la colère qui brûle en moi me rend insensible face aux larmes qui jaillissent sur ses joues  depuis une quinzaine de minutes en réalité j'ai la tête ailleurs pour le a conseiller encore et encore sur les mêmes choses.

-Répond moi Ulron tu...

-S'en est assez Lucia lâche moi tout de suite.

J'ai crié aussi fort qu'elle a sursauté à l'instant en reculant d'un mètre.

-Ulron...

-Ke ne veux plus rien entendre Lucia tu vas tout de suite calmer ta tension et te reposer notre enfant est plus important.

J'ai dis cette phrase tout en marchant vers la sortie en proie à une rage incontrôlable, je claque la porte d mon bureau confidentiel dès mon entrée et je crois qu'il aurait besoin de réparation après cela, je le ferais savoir à Brunel ;

Je me dirige vers mon barre et me serre une forte dose de whisky avant d'entendre des pas en ma direction qui ça peut bien être ?

Qui ose me déranger lorsque je suis autant énervé ?

Je pense savoir alors même si je ne l'ai entendu entrer.

-Que puis-je faire pour toi Brunel ? Posais-je la question dos à lui

-J'étais vers les escaliers lorsque tu es sortie de ta chambre rageusement, je sais que se sont tes quartiers qui d'ailleurs sont inaccessibles à quelqu'un à moins lorsque tu fais appel mon cher ami

-Justement je voulais le faire

-Ça tombe bien je t'écoute mais avant ça je préfère que tu te calmes un tout petit peu.