Le vrai Amour : Je t'ai rencontré, je t'attendrais ( Finition ) .

Chapitre 10

Pdv de Ulron:

D'un air serein et sérieux j'avançe vers mon épouse toujours mains dans mes poches.

-Je t'écoute Ulron sortit-elle

je suis debout devant Lucia mes mains dans les poches je la regarde et sans mentir cette femme est très belle, Lucia est une belle démoiselle âgée de vingt setp ans je pense, elle est jeune et à cet âge joue sous deux facettes que c'est cruel mais ce n'est pas le moment il faut calmer le feu car elle est mon épouse.

Un an est écroulé et là ma mère attend juste une nouvelle.

J'ai promis la rendre heureuse et je dois accomplir ses derniers vœux.

-Oui Lucia je veux que l'on règle nos différends car tu es mon épouse. Je veux que tu intègres ma chambre mais note bien ceci Lucia, tu n'as pas accès à autre pièce dans mes quartiers à part ma chambre. Mes hommes sont devant l'entrée de mes quartiers ils surveillent tous le monde et y compris toi tu feras parti de leur surveillance car en pénétrant dans cette chambre tous les jours ils te surveilleront.

-Ok Ulron merci

-C'est bon ne me remercie pas.

Je fais un pas de plus pour me rapprocher d'elle et aussitôt elle se lève prêt de moi pour me prendre dans ses bras mais je la repousse en disant

-Non Lucia pas si vite oui c'est vrai je t'ai donner accès à ma chambre mais n'oublie pas ceci que jamais je ne pourrais t'aimer je suis désolé

-Ce n'est pas grave avec le temps on ne sait jamais répond-t-elle

-Non même pas avec le temps, ça n'arrivera certainement jamais, ne rêve pas de mon amour.

Ainsi je fais un pas en arrière et dit :

-Écoute Lucia, écoute très bien je ne sais pas à quoi tu joue mais laisse moi te dire qu'un jour tu payeras certainement pour tout ce que tu as pu faire et que tu continue à faire en ce qui me concerne je fais tous ça uniquement pour ma mère, je veux la rendre heureuse.
Je suis Ulron RIMORTHON Herman et n'abuse pas de ce prestige.

En indexant la porte je rajoute :

-Va ouvre cette porte et récupère toutes tes affaires tu passeras la nuit dans cette pièce dès aujourd'hui

-D'accord rétorque-t-elle simplement.

J'aime l'autorité et l'ordre je le confirme.

Mon père a beaucoup souffert pour en arriver là, lorsque j'étais étudiant à la fac,j'avais fais la branche de philosophie mais peu après je me suis spécialisé sur la branche de mon père, économie et finance.

J'ai obtenu un master et j'ai fais des stages dans plusieurs entreprises de mon père.
Et je travaillais ensuite dans ces demeures aujourd'hui papa n'est plus je gère tout à l'aide des travailleurs méritant le poste dans toutes mes entreprises.

Toujours dans mes pensées j'imagine pour une fois une vie sans la présence de ma mère à mes côtés, je n'arrive pas à y croire depuis la mort brusque de mon père ma mère a acquis cette terrible maladie, ma mère souffre du gros coeur les médecins me disent qu'il lui reste peu de temps et il faut juste qu'elle suive son traitement à la lettre, ne pas être souvent traumatisé etc.
Son gros coeur dès fois lui plonge en plein crise de comas alors il n y a que moi pour la soigner en la rendant heureuse ce qui devient mon but.

Je veux que ma mère reste pour longtemps et je ferais tout pour accéder à son bonheur.

-Me voici

Sursauté une nouvelle fois en la voyant dans ma chambre valises en mains, je la dévisage de haut en bas;

-Oui tu peux entrer je l'indique les dressings et elle s'empresse à cette direcrion;

Lucia se dirige vers les dressings et moi je ne fais que l'admirer.

Oh qu'elle est belle!

Elle me plait mais je ne l'aime pas.

Ma vie m'empêche d'aimer à nouveau et ma philosophie déteste ce mot mais garde toujours espoir de se baigner dans l'exceptionnel.

Je ne sais pas si un jour il trouverait cet élu qu'il a toujours recherché pour sauver ces écrits spéciaux.

Ma philosophie veux vivre dans ce mot "amour" mais ne l'a jamais trouvé.

Non ce n'est pas toi Lucia CARDO je ne vois pas d'amour vrai dans tes yeux, je vois juste le mensonge et la trahison.

-C'est fait Ulron me dit-elle après des minutes, je prends une douche maintenant pour m'endormir et toi tu veux que je te serve à boire où...

Elle ne pu finir sa phrase que je la coupe :

-Ne t'embête plus jamais pour ça à l'avenir j'ai près de quinze serviteurs et je n'ai pas besoin de demander une tasse surtout pas à toi car tous mes employés savent pertinemment mes heures de repas, de dîner et de sucreries je n'ai pas besoin de demander ni d'appeler pour être servis car ils connaissent déjà tous sur ça pareil pour mère alors dès aujourd'hui ne te charge plus de ça on est d'accord ?

- Je vois que, non ça va d'accord

- Tant mieux dit-je sans plus tarder.

Heureusement qu'elle n'a rien vociférer sinon je crois que j'aurais changer d'avis et la refouler de ma suite toute suite.