Le vrai Amour : Je t'ai rencontré, je t'attendrais ( Finition ) .

Chapitre 36

Pdv de Ulron

Après ma phrase je n'ai pas résisté à ses lèvres qui m'attirait depuis mon arrivée, ce péché innocent m'a attiré depuis la veille du mariage et maintenant que je suis si proche d'elle je n'ai plus envie de reculer, je veux goûter à ce fruit pure même si ma raison me demande de faire marche arrière, son corps parle pour elle, et me lance des signaux de consentements.
Elle a réussi à faire lever mon membre par son regard innocent et comment ?
Un mystère que je suis prêt à découvrir maintenant, je ne sais pas si c'est mal mais il y a une chose qui est vrai c'est que cette femme fera ma perte.

Le baiser se coupe et son souffle reprend un rythme normal alors que j'encre mes doigts dans sa chaire et pose mes mains sur sa poitrine, j caresse tous recoins de son corps en gardant nos yeux joints, elle n'émet aucun son seulement lorsque j'enfonce un de mes doigts dans cette partie sensible elle se cambre en émettant un cri jouissif ce qui me prouve qu'elle n'est pas en désaccord avec moi, elle veut plus et je suis prêt à le lui donner sans problème.

Je la prends dans mes bras pour et prenons direction vers son lit où elle détache les boutons de ma chemise sans vergogne alors qu'elle m'embrasse étonnement, ce qui l'a surprend d'elle même alors comme ça madame fait le premier pas pour une première ?

Elle m'intrigue à un tel point que j'oublie l'intégralité de ma vie et cet effet me plaît, j'ai voulu tellement oublier certains brides et maintenant que c'est fait je ne peux que me réjouir.

Tout est allé vite on a cessé de se quereller sur ce lit en raison de nos baisers et caresses enflammés comme deux drogués avant que je me lève du lit pour récupérer un préservatif dans ma poche de ma veste, j me repositionne sur le lit alors je remarque une lueur d'inquiétude sur son visage, je n'y fais pas attention et enlève le dernier rempart qui cachait mon intimité alors qu'elle laisse échapper un cri de stupéfaction et de gêne mêlées.

Je la regarde un moment, laisse parcourir mes yeux sur son corps nu et ne peut cesser mes songes, cette femme est une déesse, elle est belle, oh je dis éblouissante, elle est ravissante, la voir en sueur sur ce lit, cheveux écartés sur ce lit me donne l'envie de ne plus la lâcher ne serait ce qu'une seconde.

-Tu es si ravissante, tellement belle Marie ne te cache pas, l'aide moi te regarder.

Je reprends un de ses seins dans ma paume alors qu'elle encre son regard au mien;

Je recommence mes caresses avant de me positionner sur elle pour la pénétrer seulement cette inquiétude que j'ai lu autrefois dans ses yeux regagnent ceux-ci et je ne peux continuer, que se passe-t-il ?

-Est-ce que tu as peur ? De moi peut-être ?

Sa réponse tarde et je commence à me questionner, a-t-elle encore peur de moi après tout ce que l'on vient de faire ?

D'ailleurs comment ne pas avoir peur alors qu'on a pas fait amples connaissances ?

En effet je suis le plus idiot comment ai-je fais pour ne pas en penser avant.

-Marie dis-je alors qu'elle baisse ses yeux

-Ne baisse plus tes yeux lorsque je te parle tu ne dois pas avoir peur de moi d'accord, est-ce que tu veux que j'arrête ? Parle moi

-Je suis vierge et cela me gène ;

Oh ! C'est étonnant comment n'ai-je pas pu le deviner si tôt, en même temps, je ne pouvais le savoir tellement la plupart de sa génération n'attendent plus le bon moment et précipite les choses, j'ai connu plusieurs femmes qui, elles étaient déviergées avant leur majoré.

-Tu ne dois pas être gênée c'est plutôt à féliciter Marie, je suis navré de ne pas avoir deviner on s'arrête je ne peux te brusquer, je...

-Non continue s'il te plaît je suis consciente et prête c'est toi mon bon moment ;

Comment a-t-elle deviné mes pensées, est-ce que je dois écouter mon cœur au lieu de ma raison, mon cœur est relié à mon corps et le savoir faire encore plus vibrer mon membre.

Cette femme est une bombe et ce que je ressens en ce moment ne m'est jamais arrivé.

Qu'est-ce qu'il m'arrive ?

-Je vais faire doucement je te le promets et si tu as mal je m'arrêterais, un simple hochement de sa tête me donne l'autorisation de l'embrasser furtivement avant de la pénétrer d'un coup de rein en prenant soin de sa douleur, se qui se multiplient en plusieurs coups nous introduisant dans une nuit pleins d'orgasmes.

Je ne pensais dormir aussi bien dans les bras d'une femme pour la première des fois après le décès tragique de mon père causé par une femme.
Mais je dois avouer avoir passer une excellente nuit seulement la réalité à fait en sorte que mon air soit de nouveau maussade dès que mes yeux sont ouverts, j'ai fais l'amour à cette femme, Marie qui est ma secrétaire seulement ma secrétaire et non mon épouse, et non ma concubine.

On ne se connait littéralement pas et le plus dur c'est qu'elle est la petite sœur de mon meilleur ami. Georges, il va sûrement me tuer s'il apprend ce que j'ai fais et  ce que je m'apprête à faire.