Chapitre 6

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Pdv de Ulron

-Georges dis-je avant de me retourner face à la baie vitrée

-Ulron notre amitié ne date pas d'aujourd'hui je me rappelle toujours de chaque visite que tu entreprenait avec ton père pour visiter notre orphelinat, j'ai attendu que tu fasses le premier pas car je ne pouvais le faire j'étais trop pousser par l'égo d'homme et je m'en veux de ne pas avoir apporter mon soutien durant toute cette periode difficile, je sais et comprends que ta douleur persiste mas je t'en prie pardonne moi également de m'être tant éloigné

-Georges mon coeur brûle de douleur, il brûle et malgré ça je survie pour ma mère

-Je suis informé pour ton mariage Ulron ne t'inquiète pas je comprends me dit-il en se rapprochant de moi.

Il m'a tant manqué et il le fallait car il fallait résoudre ce malentendu pour mon bien, ce malentendu me torturait l'esprit;

-Il y a tant de choses qui se sent déroulées Ulron celle que tu as vue toute à l'heure dans cette photo est ma petite soeur, celle dont je t'avais parlé il  y a cinq ans de cela avant toute cette tragédie, elle s'appelle Marie elle est notre benjamine m'avoue-t-il en s'asseyant sur le canapé;

-Je comprends mieux, elle travaillait avec toi dans ton entreprise ? Comment a-t-elle géré la nouvelle ? Demandai-je

-Il y a de cela un mois et quelques semaines les parents ont préférés l'avoué, choquée au début mais tout s'est arrangé maintenant elle a débuté il y a trois mois dans ma proche entreprise en ayant fait plusieurs demande d'emplois dont deux retenue, la Première la mienne et la seconde la tienne en commençant chez moi elle ne savait point qui j'étais et après l'acceptation dans ton entreprise je l'ai proposé d'au moins participé au stage même en sachant très bien qu'elle ne peut être choisie étant ta secrétaire pas besoin de te dire pourquoi argumente-t-il

-En effet beaucoup de choses se sont déroulées dis-je en émettant un sourire au coin des lèvres néanmoins tu es pardonné, pardonne moi également Georges et reprenons notre amitié là où elle s'est arrêtée qu'en dis-tu ?

-Ulron mon ami je te pardonne sérieusement tu m'as beaucoup manqué en fait comment se porte Brunel et sa famille, j'ai appris la naissance de son enfant. Reprent-il en tapotant mon épaule

-Il va surement mal en ce moment avec un nouveau née et je penses que ça ira mal grâce aux enfantillages rigolai-je

-D'accord sinon comment comment se porte maman ?

-Elle va très bien grâce à moi, en épousant Lucia ma mère a retrouvé la sourire ainsi elle attend juste une bonne nouvelle de notre part et tu sais d'ores et déjà de quoi il s'agit pouffai-je

-Ulron me caches-tu quelque chose, je comprends ta douleur mais tu sais qu'il y autre chose je pourrais peut-être t'aider si tu m'en parle

-Il s'agit de mon épouse crachai-je, je ne sais plus quoi penser des femmes réellement et je me dis qu'elle me ferait pareil, ce ne sont pas des doutes crées mais basés sur ce que je vois je suis très certain qu'elle cache quelque chose de louche derrière ce visage angélique;

-D'accord je vois de quoi tu parles alors pour en être net, met la sous surveillance secrète on ne sait jamais

-Je l'ai fais imagine toi qu'elle m'a menti sur sa famille en disant qu'ils étaient tous sous terre alors que mes hommes m'ont rapportés le contraire qu'ils sont plutôt en France précisément, ils ont quittés le pays rapidement après le mariage mais t'inquiète pas l'enquête est ouverte à New-York et en France par l'aide de mes hommes répondis-je pensivement et toi alors comment se porte ton épouse et tes deux enfants ?

-Très bien merci Ulron sais-tu au-moins que ta cousine est une amie proche de ma soeur ?

-Oh oui je l'ai découvert hier rassure toi, elle m'avait présenté ta soeur dis-je sans plus m'atardé, que ça m'agace de parler des femmes comme si toutes étaient pareilles de l'orteil à la tête;

-Je pense qu'il est temps pour moi de partir Ulron susurre-t-il en se levant précipitement

-D'accord on reste en contact Georges dis-je en une accolade

-Et si besoin urgent fait moi appel s'il te plait

-D'accord aucun problème mon ami

Après son départ je suis soulagé d'avoir fait la paix et d'avoir ordonner notre amitié meurtri, blessé oui je le suis, tout mot douloureux fait parti de ce que je ressens mais pour l'amour de mon entourage, ceux que j'aime je suis prêt à me rabaisser afin de me faire pardonner et les rendre heureux.

À vrai dire j'ai autant besoin de mes amis et proche pour me sentir bien.

Une journée s'est encore écoulée, le soir de retour à la maison  je m'empresse à téléphoner mon épouse.

Le vrai Amour : Je t'ai rencontré, je t'attendrais ( Finition ) .Où les histoires vivent. Découvrez maintenant