Le vrai Amour : Je t'ai rencontré, je t'attendrais ( Finition ) .

Chapitre 23

Pdv de Ulron

Les jours sont passés trop vite à mon goût, je croyais ne pas arriver à gérer premièrement la grossesse de mon épouse et deuxièmement le fait de prendre soin d'elle mais je dois avouer que ces trois mois m'ont beaucoup appris et cet apprentissage n'est pas déplaisant comme je le pensais.
J'ai donc décidé de prolonger mes absences aux entreprises jusqu'à l'accouchement de Lucia pour être auprès de ce fœtus qui grandit en elle et je vous garantie que ce n'est pas facile de dormir avec une femme remplie d'hormones surtout lorsqu'elle demande des choses que vous ne voulez lui donné par plaisir.
En effet depuis la première nuit Lucia et moi n'avons plus recommencés disant plutôt que c'est moi le grand retissant, j'ai trop peur de brusquer notre enfant à cause de mes envies surdimentionnées.
Je n'aime pas Lucia je n'éprouve aucun sentiment amoureux mais sa beauté perverse ne me laisse pas indifférent. Cette femme est lucide et aussi belle donc je pense  céder cette nuit pour ne pas feindre à ma promesse envers ma mère car oui Lucia a tout  raconté chez ma mère sur notre intimité alors que même ce mot le prouve que ça doit être secret  de toute les manières comment ne l'aurait-elle pas su lorsque cette Lucia pleure chaque soir auprès d'elle.
Je vous jure que ce n'est pas plaisant de dormir avec ses sauts d'humeur dans le même lit mais je dois m'y faire elle est mon épouse et tant que je n'aurais toujours pas plus de preuves pour la faire partir de ma vie elle le restera afin que l'on élève notre enfant ensembles amour ou pas.

Durant trois mois je n'ai pas pu oublier ce visage familier, ce visage innocent qu'est timide.
Marie se tient pourtant là réfléchissant à ma question sortie depuis déjà de large minutes, elle n'est pas eu genre insensible puisque son humeur a radicalement changé après ma question pourtant je n'ai pas eu tort.
Cette femme doit avoir un secret enfouis en elle pour réagir de la sorte;

Je ne ressens pourtant rien pour elle mais cette alchimie qui se crait dans tout mon être depuis le premier jour où j'ai dialogué avec elle en Russie me fait reculer car au passé c'est ce qui a réussi à détruire mon âme pour de bon. D'ailleurs en parlant de Marie vaut que je dialogue avec son frère pour plus comprendre ce mystère qui l'a défini car sa différence innocente est un mystère pour moi.

Toujours tête baissée je me demande si elle va daignée la relevée après tant de minutes pour me répondre.
Je dois décidément la faire sortir de ses songes au risque d'avoir des sérieux problèmes avec son frère.

-Marie tu es toujours avec moi là ça fait des minutes que je patiente ta réponse

Aucune réaction de sa part mais j'ai au-moins l'occasion de la voir relevée son visage que je remarque larmoyant avant de la voir se relever immédiatement.

-Que se passe-t-il Marie ai-je dis quelque chose de déplacer ? Vraiment ?

Je détaille sa réaction en attendant une réponse mais rien ne se fait, elle me regarde et une larme échappe son œil gauche alors là je suis inquiet que se passe-t-il avec cette femme bon sang ! A-t-elle un problème psychologique ou mental je n'y comprends rien.

Je me relève à mon tour et me rapproche plus près d'elle et briser cette distance entre nous afin de la remuer mais c'est sans compter sur son avis voyant puisqu'elle s'éloigne vite de moi en contournant le canapé et prendre direction de la sortie.
Non mais c'est quoi ces manières son comportement à fait subitement monter ma colère et voilà qu'elle me met hors de moi.

-Ne fait pas un pas de plus Marie sinon cela va mal finir pour toi

-Quoi ?

-Ah voilà moi qui croyait que tu avais perdu la raison et même ta voix tu peux maintenant t'exprimer ?

-Je

-Ne franchie pas cette porte Marie sinon ma parole se mettrait en exécution, tu vas gentiment te rapprochée et prendre place sur cette chaise et l'on va discuté travail.