Le vrai Amour : Je t'ai rencontré, je t'attendrais ( Finition ) .

Chapitre 5

Pdv de Ulron

Je survie malgré mon coeur meurtri, pour ma mère je survie car je veux la rendre heureuse; dans deux semaines j'obtiendrai mes 30 ans alors je dois l'avouer que j'ai grandi.

Je suis arrivée dans mon bureau il y a une heure, je suis en avance mais j'ai toujours aimé le ponctuel c'est pourquoi à toute destination je dévance toujours l'heure du rendez-vous.

-Excusez moi Monsieur RIMORTHON résonne cette voix qui m'extirpe de mes pensées

-Oh Monsieur ANDURSON vous êtes enfin là, sommai-je en me levant pour saluer mon collaborateur;

-Je vous présente mes excuses pour ce large retard

-Il est l'heure juste, celle convenue depuis des lutres vous y êtes ponctuel vous pouvez prendre place dis-je en l'invitant à s'asseoir sur le canapé rond

Impérieux et toujours charismatique je le vois me suivre.

Georges est un bel homme et a toujours une allure professionnelle.

-Monsieur RIMORTHON cela fait des lustres que vos entreprises sont en parfaite collaboration avec les notres ainsi ému je vous rapporte toute nos aimables  reconnaissance car sans le travail et l'honneur de vos entreprises nous ne serions pas jusqu'a cette échelle aujourd'hui sermonne-t-il en gardant une posture professionnelle.

Cet homme est tout à fait sérieux mais il réflete l'image d'un homme comblé dans chaque plans  de sa vie et qui n'a en son sein aucune lourde douleur en fait c'est ce genre de pensées qui m'habite depuis la mort de mon père car jusqu'ici lorsque je regarde les hommes et même après les difficultés qu'ils m'étalent sur eux je ne vois aucunes souffrance égale à la mienne.

Pour moi la mienne est une douleur inexistante la plus terrible que tous, je sais que ma marnière de penser est terrible, elle a changé après cette tragédie car je suis détruit, totalement détruit et je m'en veux tellement ce qui me réjouit c'est d'apporter la joie à tout ce qui me sont chers et qui me reste dans ce bas monde;

-C'est un plaisir partagé car c'est grâce à nos collaborations que nous réussissons ainsi nous vous en remerciant également;

-Voici le dossier contenant le nombre de stagiaires prit dans ma proche enterprise Monsieur RIMORTHON me tend-t-il

J'examine ce dossier brièvement, il y a au total 15 stagiaires dont dix filles et 5 hommes, chacun d'eux ont une photo en coin de leur copie et je suis surpris de revoir la même paire d'oeil d'hier celle de l'amie à ma cousine et hier je l'ai croisé dans mon enterprise alors c'est évident qu'elle fasse partie des stagiaires en effet ce qui m'interpelle le plus c'est son nom, c'est le même que celui de mon collaborateur.

-ARDIE la connais-tu? Je veux dire est-ce un membre familier ? Lui questionnai-je

-Oui c'est ma petite soeur me répond-t-il mal à l'aise tout à coup

-D'accord alors je suis très heureux de l'apprendre dis-je sèchement, j'aurais préféré à faire aux hommes et non aux femmes car je ne peux et ne veux plus de femmes comme secrétaire.

-Ceci dit je te remercie ANDURSON pour ta présence, j'avais vraiment besoin de ce dossier puisque je l'ai obtenu je ne veux pas plus te gardé ici donc on se dit à bientôt.

-C'était un plaisir partagé Monsieur RIMORTHON.

ANDURSON est proche de la porte de sortie mais je le stoppe en disant :

-Et il manque une chose à partir d'aujourd'hui plus de vouvoiement Georges je sais que le passé n'arrange en rien mais s'il te plait je veux qu'on l'oublie, tu as toujours été mon ami alors s'il te plait oublions le passé et regardant de l'avant veux-tu bien ?
Lui dis-je en esquissant un sourire.

En réalité Georges est mon meilleur ami de longue date mais je me rappelle encore de la marnière dont notre amitié avait dérapé et tout ça de la faute de cette Anastasia, elle m'avait toujours éloigné de lui en m'avouant qu'il voulait faire d'elle l'une de ses soumises oh comme l'amour m'avait rendu aveugle en la croyant j'ai douté de mon amitié et l'ai remis en question alors depuis ce jour notre amitié fut détruite et réduite à un vouvoiement total.

Aujourd'hui je veux me faire pardonner et retrouver mon ami d'enfance, en mettant de côté mon égaux d'homme je redis

-Georges je m'excuse tellement, j'ai commis l'erreur de l'avoir cru et non toi si je t'avais écouté tout n'aurai pas déraper dis-je en mettant une main sur mon visage embarrassé

-Ulron comme tu m'as manqué, j'ai attendu tout ce temps pour que tu fasses le premier pas.