Le vrai Amour : Je t'ai rencontré, je t'attendrais ( Finition ) .

Chapitre 35

Pdv de Lucia CARDO

Ce matin je me suis réveillée avec un mal de tête je ne sais pas ce que ça veut dire mais en décrivant ce que je ressens je conclu que j'ai attrapé la grippe.
En tenant le côté droit où est supposé dormir Ulron la place est vide alors je comprends qu'il n'y est plus, tout à coup  j'écoute un bruissement d'eau en direction de la salle de bain.

Bon je me suis fais de fausses idées car il prend son bain, ma tête tourne et je ne sais pas comment faire pour quitter entièrement ce lit.

Pdv de Ulron

En sortant de la salle de bain Lucia est maintenant assise sur le lit, je la regarde silencieusement quelques secondes et constate qu'elle ne va pas bien mais Est-ce encore une crise comme celle qu'elle a faite cette nuit en pleurs ?

 En tout cas si c'est cela je ne suis pas du tout apte à lui donner ce qu'elle désire car je ne suis toujours pas d'humeur.
Brisant mon regard à elle je me dirige dans mon grand dressing et m'habille d'un pantalon court de couleur blanche et une chemisette blanche dont je déboutonne les premières perles.

Une fois sorti du grand dressing Lucia est debout et tient sa tête en se dirigeant vers moi :

-Ulron où vas-tu si tôt ? Me demande-t-elle une fois proche de moi

-Je n'apprécie pas cette question Lucia car je suis un homme d'affaires tu n'as pas besoin de me contrôler;

-Je m'excuse c'est juste que je me sens vraiment mal Ulron... Me dit-elle en  tenant mon bras droit toujours une autre main sur sa tête 

-Que ressens-tu exactement ?

-J'ai grave mal à la tête Ulron... 

Au dernier mot Lucia perd équilibre et tombe  sous mes jambes, je m'agenouille à son niveau et  la touche la joue mais elle est déjà inconsciente.

Il faut que j'appelle le médecin mais tout d'abord je dois m'occuper d'elle alors j'appelle immédiatement à l'aide de mon alarme de chambre l'une des ménagères pour la nettoyer ce qui se fait dans environ dix minutes  ainsi je la dépose sur notre lit qui est soigneusement bien remit en ordre par les ménagers.

Une fois terminée j'entends frapper à la porte et là je dis tout simplement à la personne anonyme d'entrer

-Bonjour monsieur RIMORTHON dit le docteur ALVARIZ en entrant dans la chambre suivie de ma mère
-Bonjour docteur répondai-je 

-Bonjour mon fils comment va-t-elle ?

-Je ne pense pas savoir puisqu'elle s'est évanouie et jusqu'à présent n'a pas ouvert un seul œil 

-Laissez moi voir... Dit le docteur  en s'approchant du lit où je suis avec mon épouse
Je le cède la place en me levant et il l'examine.

Quelques minutes s'ensuivent lorsque Lucia daigne ouvrir l'œil mais le docteur est déjà parti, il a simplement prescrit un traitement à suivre alors j'ai déjà commandé les médocs appropriés à la grippe comme on me l'a demandé.

-Ulron tu es là ? Dit-elle en ouvrant les deux yeux

Je m'approche d'elle et la tient la main en lui disant :

-Je suis là Lucia as-tu mal quelque part ?

-Juste à la tête, ça tambourine dit-elle en me pointant sa tête

-Ça ira j'ai commandé des médocs que le docteur m'a prescrit pour toi mais d'abord il faut que tu manges quelque chose.

Le ménager entre avec un plateau bien garni accompagné d'un autre ménager dont sa main contient un emballage pharmaceutique

-Vous pouvez les déposer là je m'occupe du reste. C'est ce qu'ils font immédiatement en quittant la chambre.

Je n'aurais jamais cru m'occuper de mon épouse ce matin avant de sortir et la conseiller de se reposer.

Je suis proche du Nord de New-York et sens mon portable vibrer je lance un coup d'œil et je vois le nom de mon épouse s'afficher sur l'écran;

-Allô Lucia commençai-je en premier car je l'ai laissé faible sur le lit

-Ulron vas-tu rentré tard ? Réplique-t-elle 

-Je peux dis-je simplement 

-D'accord c'était juste pour savoir tu me manques Ulron rentre vite s'il te plait me dit-elle calmement
-D'accord je ferais de mon mieux dis-je sereinement 

-Ok je raccroche dit-elle avant de le faire et aussitôt je reçois un appel de Brunelle

-Bonjour Ulron nous t'attendons tous dit-il tout simplement.

-Bonjour d'accord j'y suis...

Et là je franchis le portail qui s'ouvre à l aide d'un gardien qui m'adresse une salutation de politesse en réalité aujourd'hui je suis venu sans chauffeur ce qui l'étonne d'ailleurs.

Je gare ma voiture blanche et sort précipitamment.

Arrivé dans mon bureau confidentiel mes hommes me suivent quelques minutes plu tard;

-Bonjour monsieur nous voici disent-ils en chœur en entrant

Voilà mes hommes ils sont au nombre de cinq dont Brunelle, Marco, Elvis, Pierre et Christ

-Ok vous pouvez prendre place les amis dis-je m'adressant à eux sereinement

Je les regarde tout d'abord tous les cinq essayant de déceler quelconque message dans leur regard limpide mais ce que je découvre est juste la sérosité dans leur regard.

-Je vous écoute alors dis-je en déposant mes mains sur mes cuisses sportives

-Ulron commence Brunelle, ton épouse n'a pas du tout perdu sa famille ses parents et ses deux frères sont toujours vivants

-Je vois je savais qu'il y'avait quelque chose de louche là dedans sinon comment l'avez-vous su? Demandai-je anxieux

-Nous avons vérifiés tout d'abord leur ancienne maison et nous avons trouvé la propriété vide mais un bout de papier au sol nous a permis de comprendre qu'ils ont changés de pays et ça nous ignorons encore pour qu'elle raison... Argue Marco en me tendant le dit papier;

Et il était inscrit " nous partons déjà Lucia juste au téléphone - signé maman "

-Je vois alors saviez-vous dans quel pays exactement sont-ils ? Demandai-je précipitamment

-On observe  tout d'abord ce papier et fouinions toutes les aéroports, ce qui reste avantageux c'est que votre nom est vraiment réputé et nous aide dans nos démarches rétorque Elvis

-Monsieur si vous le permettez il y'a quelque chose dont je voudrais vous faire part 

-Oui Christ je t'écoute dis-je prêtant mon attention à lui

-Monsieur je trouve vraiment qu'il y'a quelque chose de louche dans cette histoire pourquoi sa famille quitterait subitement le pays voyant leur fille et sœur se mariée à un homme fortuné, comme vous le saviez votre femme adore ce prestige alors pour qu'elle raison expulserait sa famille hors cela;

-Oui je penses que toute cette histoire est centrée quelque part ou dans quelque chose ajoute Pierre, Monsieur je vous suggère  de faire attention et de bien surveiller votre épouse de près finit-il par dire

-Oui Ulron je penses que c'est vrai il faut qu'on surveille toutes ses sorties à partir de ce jour dit Brunelle en me regardant confiant

-Je vous ai écouté et je conclu que tout est vrai car sérieusement je le penses aussi les amis alors la charge vous revient, de mon côté je jetterais toute fois un œil sur ma femme vous avez toute ma confiance dis-je les regardant un à un dans les yeux.