Mon démon , mon Ange ( oc x Alastor) et autres .

De retour à l'Hotel(pov Melodie/Romane)

De retour à l'hôtel, je franchis la porte avec un soupir de soulagement, espérant que mon absence soit passée inaperçue. Soudain, Angel entre en scène avec une exclamation théâtrale .

Angel : Nous voilà de retour ! Plus de raison de s'inquiéter ! Tout va pour le mieux, bien sûr.

J'entre un peu confus, lançant à Angel un regard réprobateur. Tu aurais pu éviter de crier, non?.Une fois à l'intérieur, je remarque le soulagement sur leur visage, dissipant la panique qui y régnait. Apparemment, ils avaient remarqué mon absence, mais... j'ai réussi. J'ai ramené Angel sain et sauf, enfin... vivant, du moins.

Très surprise, je remarque Alastor sur le pas de la porte, figé comme s'il était sur le point de partir. Ses pupilles affichent un "Off Air", signe de sa panique apparente. Il semble enfin s'inquiéter pour Angie... Trop tard, Bambi...

Guidant Angel vers le canapé du hall, je passe à côté d'Alastor, immobile. Le reste de l'assemblée nous regarde, abasourdie par la scène.

Moi : "Quoi ? J'ai un truc sur le nez ?"

Charlie : "Euh Mélo... Tu... Tu n'as rien ?"

Moi : "Non, ça va, mais Angel est légèrement blessé, il faut le soigner."

Angel : "Oui~ Je souffre~"

Je ris légèrement face à l'exagération d'Angel, ce qui détend l'atmosphère, et j'entends des soupirs de soulagement autour de moi.

Moi : "Nifty, va chercher la trousse de soin."

Nifty : "Oui, Charlie."

Vaggie : "Mélo, tu n'as pas croisé Valentino ?"

Moi : "Euh... non, pas du tout." Un peu hésitante.

Si je disais la vérité, je serais grillée... J'ai vite compris qu'en enfer, c'est la loi du plus fort, et s'ils découvraient ma force, ils pourraient en avoir peur... Mais mentir à mes amis ne me semble pas juste. Que faire maintenant ?

Angel : "Non, Mélodie m'a trouvé dans une ruelle... Au fait, merci de vous inquiéter pour moi, hein." Dit-il d'un ton sarcastique.

Je me tourne vers Charlie et Vaggie et leur adresse un sourire, essayant de paraître aussi détendue que possible malgré ma légère gêne.

Charlie : "Ouf ! Tout est bien qui finit bien... Nifty, je te laisse t'occuper d'Angel, on doit retourner remplir quelques papiers... Vaggie, tu viens, chérie?"

Vaggie : "Oui, chérie, j'arrive... Merci, Mélo."

Moi : "Il n'y a pas de quoi."

Les filles disparaissent dans les escaliers lorsque Nifty revient pour soigner Angel... Il est toujours figé sur place avec ses yeux affichant "OFF AIR"... Qu'est-ce qu'il y a, Bambi?

Moi: "Attends Nifty, je vais le faire," dis-je alors que je détourne mon regard de la scène. Angel semble surpris, mais Nifty hoche la tête en signe d'acceptation.

Moi: "J'ai été secouriste pendant un an... Je vais faire des bandages," expliquai-je rapidement.

Angel: "Ha! Toi ma minette, je t'adore... Tu sais tout faire," répond Angel avec un sourire reconnaissant.

Je rougis légèrement, gênée par ses mots.

Moi:"Arrête Angie, je ne sais pas tout faire..." tentai-je de plaisanter pour dissimuler mon malaise.

Je me concentre sur la tâche à accomplir malgré la sensation de vertige qui m'envahit soudainement. Je lutte contre les effets des chocs électriques, me répétant mentalement de rester forte et de ne rien laisser paraître. Je termine rapidement les bandages, faisant de mon mieux pour garder mon calme et ne pas inquiéter les autres.

Me relevant doucement pour éviter tout malaise, je force un sourire en direction d'Angel et de Nifty.

Moi "Voilà Angie, j'ai fini !"
Annonçai-je, essayant de paraître aussi assurée que possible malgré mes sensations désagréables.

Angel : "Merci mon chaton~" répondit Angel avec gratitude.

Je ne souhaite pas leur causer d'inquiétude... Mon seul désir est de voir leur bonheur perdurer...

Soudain, des grésillements familiers chatouillent mes oreilles, et je remarque qu'Alastor bouillonne de l'intérieur. Est-ce à cause de moi ?

Je lui adresse mon plus beau sourire pour lui signifier que tout va bien, espérant qu'il se calmera, mais malheureusement, mes tentatives semblent échouer.

Moi: - Quoi ? Ai-je fait quelque chose de mal ?

En un instant, il adopte sa forme démoniaque et avance vers moi tel une furie.

Alastor: - Tu oses me poser cette question !

Husker: "Al calme-toi !"

Bambi réplique furieusement .

Alastor: "Me calmer ! Tu rigoles, Husker ! Qu'est-ce qui t'a pris !"

Je suis confuse et agacée par l'attitude d'Alastor envers moi. Gonflant les joues, je refuse de me laisser intimider.

Moi: "Tu ne voulais pas t'en charger, alors je l'ai fait ! Quel est le problème ?!"

Alastor : "Quel est le problème ?"

Son rire machiavélique résonne.

Alastor: "Tu plaisantes !imagine si l'un des 3V avait été là !"

Bien sûr, voici une version réécrite de la conversation :

Moi : "Si tu avais pris l'initiative, cela aurait pu être évité, Bambi. Tu te défoules sur moi pour rien !"

Alastor : "Tu sembles totalement... Tu ne vois pas le danger qui nous entoure ?"

Moi : "Non, je ne suis juste pas une lâche ! Je refuse de rester passive !"

Alastor : "On dirait que tu ignores ce que c'est que de souffrir ! Tu penses que tout est facile !"

Moi : "Je sais ce que c'est, imbécile, mieux que toi !"

Alastor : "Tu es juste une gamine immature et inconsciente!"

Moi : "Tu n'as pas le droit de parler, Bambi, tu es... un crétin..."

Angel : "Calmez-vous !"

Angel s'interpose entre nous. Je soupire de frustration et quitte la pièce en claquant la porte de ma chambre.
Bien sûr, voici une version réécrite de la conversation :

Moi : "Si tu avais pris l'initiative, cela aurait pu être évité, Bambi. Tu te défoules sur moi pour rien !"

Alastor : "Tu sembles totalement... Tu ne vois pas le danger qui nous entoure ?"

Moi : "Non, je ne suis juste pas une lâche ! Je refuse de rester passive !"

Alastor : "On dirait que tu ignores ce que c'est que de souffrir ! Tu penses que tout est facile !"

Moi : "Je sais ce que c'est, imbécile, mieux que toi !"

Alastor : "Tu es juste une gamine immature et inconsciente."

Moi : "Tu n'as pas le droit de parler, Bambi, tu es... un crétin..."

Angel : "Calmez-vous !"

Angel s'interpose entre nous. Je soupire de frustration et quitte la pièce en claquant la porte de ma chambre.

Après être arrivée dans ma chambre, je laisse échapper un cri étouffé dans mon oreiller pour évacuer toute ma colère. Ensuite, je me recroqueville sous les couvertures, bouillonnant de haine envers ce type. Je le déteste de tout mon être.