Dark Shades.

Monster, he's a monster.

Bon, avant que vous ne commencez votre lecture, pour celles qui n'ont pas encore lu la note, c'est très important, avant ce chapitre, lisez la c'est très important et tenez pour plus d'emotions, vu que ce chapitre sera un peu violent, je vous conseille d'ecouter Change My Mind pendant que vous le lisez, voilà bonne lecture. Xx

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Moi : Z-ayn..?

Il se retourna vers moi.

Moi : J'ai un problême.

Il lève un sourcil et je lui montre mes souvêtements.

Zayn : J'ai compris.

Il n'avait pas l'air d'être géné. Il sort de la chambre, et quelques minutes plus tard, Niall me rejoind, sans me regarder, il me soûle lui.

Il m'enlève mon haut, en faisant attention à mon poignet, je me retrouve seins-nus devant lui, mais il ne fait même pas attention à ma poitrine, il ouvre la fermeture de mon soutient gorge et je mets mes mains, trouvant un peu de diffucultés quand j'arrive à ma main gauche.

Quand je finis je me lèves et enlève mon short, il s'agenouille devant moi pour me mettre ma petite culotte, mon intimité en face de son visage.

Il attrape mon jean et s'agenouille une deusième fois devant moi, je l'enfiles et je mets mon débardeur, pendant que je mets ma veste, il me met mes basckets.

Quand il finit, sans me jeter un seul regard il se dirige vers la porte.

Moi : Merci.

Il ne prend même pas la peine de s'arrêter qu'il ouvre la porte et sort en la claquant.

Je me lève difficilement, quand Zayn rouvre la porte.

Zayn : Aller, il nous attend dans sa voiture.

Il m'aide à porter mes affaires et nous nous dirigeons vers le parking, je vis Niall sur le siège conducteur, j'ouvre la portière et m'assoie sur le siège passager.

Zayn met mes affaires dans le coffre, il nous fait un lèger signe de main, mais en me regardant je vis une lueur d'inquiètude dans son regard, c'est comme s'il essayait de s'exuser.

Niall démarre la voiture et se dirige vers chez lui, il sert le volan au fur et à mesure que nous nous approchons de sa maison, le trajet fut silencieux.

Quand nous sommes arrivés ses poignets étaient blancs, à cause de la pression qu'il avait sur le volan, nous descendîmes, je pris mes affaires et allais directement dans ma chambre.

À peine j'eûs le temps de terminer de ranger mes affaires et de m'assoir sur le lit, quelqu'un entra dans ma chambre, je ne me suis pas retounée mais je savais que c'était lui.

J'avais peur de me retourner, j'avais vraiment peur.

"Pourquoi t'as peur alors t'étais avec lui dans le même véhicule il y'a 5 minutes ?"

Ma conscience marque un point.

Je me retournais doucement, faisant face à Niall qui est appuyé sur le mur, les jambes lègerement croisés, une expression neutre.

Je restais sans bouger pendant 30 secondes, j'attendais qu'il me parle.

Moi : Niall.

Il me regardais toujours, sans répondre, je commencais à m'inquièter.

Moi : Niall, je t'en pris, dis quelque chose.

Il ne répondit toujours pas, alors je me levais, hésitante et me dirigeais vers lui doucement, sachant très bien que je risque de me faire repousser.

Je m'approchais de lui jusqu'à en être à quelques centimètres, il me regardait toujours avec une expression neutre.

Moi : N-niall, dis quelque chose, je t'en supplis, tu m'en veux c'est ça ? Tu vas me punir c'est ça ?

Je sais que ce je vais faire n'a pas de sens, mais je pose ma main sur sa joue et la caresse tendrement pensant que ça va le calmer, il me regarde sans la moindre émotion, jusqu'à ce que mes doigts touchent ses lèvres, il rit, un rire moqueur, il dégage ma main avec la sienne brusquement, et me gifle tellement fort que je tombe à terre.

Niall : Mais tu me prends pour un con ?

Il me relève violement et me regifle, j'ai le nez en sang.

Niall : Un batard ?

Il me gifle encore une fois, je ne tiens plus sur mes jambes, je tombe.

Niall : Un fils de pute peut être ?

Dès que je touche le sol, il attrape mes cheveux et me regifle et c'est là que je craque.

Moi : NON PUTAIN NON ARRÊTE TU VAS ME TUER ! Putain arrêtes !

Mes derniers mot n'étaient casiment qu'un murmure, il me jetta sur le lit, il s'allonge sur moi, j'ai les jambes écartées, il en profite pour venir entre celles ci.

Il approcha son visage du mien, ses lèves n'étaient qu'à quelques millimètre des miennes.

Niall : Tu voulais le faire non ? Tu voulais mourrir n'est ce pas ? Alors pourquoi t'ouvres ton clapet maintenant ? T'as peur c'est ça ?

Il touchait mes lèvres à chaque fois qu'un mot sort de sa bouche.

Niall : Tu n'es qu'une salope, une salope, voilà ce que tu es, une moins que rien qui essaie de mettre fin à ses jours parce que ses parents l'ont abondonnée, y'a pire dans la vie, tu te rends compte de ça bordel ?

Il a crié tellement fort, mes yeux se sont fermés.

Niall : Tu ne peux pas savoir à quel point je t'en veux, je ne pourrai jamais te pardonner.

Il me tient par mes bras et applique une pression qui me coupe le souffle.

Moi : J'ai m-al.

Il grimaça et appuis davantage.

Niall : Mais je m'en contre fou, t'entends ? Je m'en bas les couilles.

Il a dit ça en me regardant droit dans les yeux.

La douleur dans mes bras et insuportable.

Niall : Tu es punie, tu receveras 15 coup de fouet par jours, pendant une semaine.

Il se décala de moi violement, ce qui me procura une douleur atroce dans tout mon corp, mes bras sont en feu à cause de la pression qui avait disparue brusquement.

Je m'écroulais par terre et crachais du sang.

Il est debout, dans l'encadrement de la porte, à me regarder vomir, il ne semble pas dégouté, il s'approche de moi et je reculais très rapidement, résultat, j'ai du vomi sur moi.

Niall : Va prendre une douche, et après viens me rejoindre en bas, j'ai à te parler des règles qui seront établies entre moi et toi et les limites que tu ne dois pas dépasser.

Il m'a dit ça sur un ton normal, comme s'il ne s'était absolument rien passer.

Je tremblais, mes dents claquaient et il le remarqua, il s'agenouilla face à moi et je tournai la tête pour ne pas qu'il voit cette dernière, qui est, à présent, dégueulasse.

Niall : N'ai pas peur de moi bébé, plus le temps passe, plus tu vivras le pire des enfers, alors ressaisis toi, et prépare toi à éteindre cette petite lueur de bonheur qui reste en toi.

À suivre..