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Cela faisait exactement une heure que je suis sous la douche à pleurer toutes les larmes de mon corp.

" Prépare-toi à éteindre cette petite lueur de bonheur qui reste en toi."

Pourquoi ? Pourquoi moi ? Je n'ai déjà plus de bonheur, cette petite lueur s'est éteinte avec mes parents, je n'ai plus de raison de vivre, bien que j'ai déjà essayé.

" Tu n'es pas vivante sans raison, tu ne sais pas ce que la vie te cache, peut-être que tu as besoin de souffrir avant que tu ne retrouves le bonheur."

Mais quel bonheur bordel ? Et pourquoi je t'écoute ? Tu n'es que ma conscience.

L'eau chaude se mélange à mes larmes, et j'en profite pour me vider complétement pour ne pas craquer devant le connard.

Oui c'est décidé, je l'appellerai le connard, après tout c'en est un non ?

Je ne sais pas combien de gifles je me suis pris, plus de 4 je crois bien, et mes joues sont pire que brûlantes, et dès que l'eau entre en contact avec la peau de mes joues, je grimaces lègérement trouvant ça insuportable.

J'attends quelques minutes avant de fermer l'eau et de sortir de la douche, je suis complètement nue et je m'admires dans le mirroir en face de moi.

J'admires l'horrible spéctacle qui s'offre à moi, mes yeux sont rouges et bouffis par les larmes, d'ailleurs on ne voit même plus le blanc.

Certains points de mes bras sont bleus, à cause de la pression qu'avait le connard sur moi.

Mes joues sont roses et virent au rouge à cause des gifles.

J'enroules une serviette autour de mon corp et sors de la salle de bain, déçue de mon apparence.

Je mets un ensemble de souvêtements noir en dentelle et met une robe.

Je descends voir l'autre, il m'a parler je crois de limites ou je sais pas, si je descends pas, il risque de monter, et je vous assure que je suis prête à mettre ma fièrté de coté si c'est juste pour me prendre des putains de gifles.

Je descends et l'entends parler au téléphone, je suis à la dernière marche jusqu'à ce que j'entendis mon nom, je m'arrêtai nette et me cachais pour pouvoir l'entendre.

Niall : Mais oui t'inquiète pas ... Bah ce qu'elle méritait ... Tu t'en doute que je comptais pas le faire encore et encore ? ... Mais bien sûr que je me protèges j'veux pas qu'elle me chie un gosse, manquerai plus que ça.

Simpat.

Niall : J'te rappellerai plus tard d'accord, j'ai de la visite.

Et là, mon sang se glaça, je savais qu'il était là, je savais que j'avais merdé, et qu'il m'avait déjà prévenu qu'il m'écraserai la tête contre le mur si j'écoutais ce qu'il disait au téléphone.

Ses pas se faisaient entendre de plus en plus forts et de plus en plus rapides, j'allais le payer, encore une fois.

Je commencais à trembler, je n'arrivais plus à respirer normalement, dès que je le sentis qu'a 2 mètre de moi, je sortis vite de ma cachette et s'arrêttai nette devant lui le regardant dans les yeux.

Moi : Je suis désolée, je t'en pris, je te promet que c'est la dernière fois, je le jure, je.. pardon je ne voulais pas, ne me fait pas de mal, je t'en pris, je t'en supplis.

J'avais récité ces mots d'un coup sec sans m'arrêtter et j'avais tellement de mal à parler, ma respiration était saccadée, et il le remarqua.

Il s'approcha de moi, et me plaqua contre le mur, il mit son pouce sur ma bouche et s'approcha de mes lèvres, il les touchaient avec les sienne, mais ne m'embrassait pas.

Niall : Je ne comptais rien faire, tu en as pris assez pour aujourd'hui.

Il souleva ma robe avec ses main, il fit lègérement glisser ma petite culotte il monta vers mon soutien gorge, et j'en profita pour la remettre en place.

Il ouvrit la fermeture qui relit les deux bouts derrière mon dos, ses mains touchaient mes seins et mes tetons devinrent dur, je frissonnais.

Il l'a sentit.

Je le sentit sourrire contre mon cou, avant d'y laissée des baiser qui me font couper le souffle pour ne pas gémir.

Il me l'enleva complètement, je restait sans soutient gorge, pendant que ce dernier tomba à mes pied.

Niall : C'est mieux ainsi.

Lunatique. LU-NA-TI-QUE. Je n'ai JAMAIS vu quelqu'un changer d'humeur aussi rapidement, ce qu'il a fait m'a complètement laisser sans mots.

" En même temps t'as frissonner pour lui."

Ça vient tout seul.

Je le suivai au salon, il s'assoit sur un canapé et me demande de faire pareil que lui, je m'assoie au fauteuille devant lui

Niall : Viens là.

Je me levais et viens à côté de lui, il se tourna pour faire face à moi, il me regarda, puis approchais son visage, il regarda mes lèvres et pris ma lèvre inférieure entre ses dents, il l'a mordilla et je fermais les yeux à cette sensation, quand je les ouvrit, il me regardait, satisfait.

Niall : On doit parler des limites à ne pas franchir, pour toi en tout cas.

Les limites ? Quelles limites ?

Il devient sérieux d'un coup.

Niall : La première régle, tu ne dois jamais te permettre de m'embrasser, c'est moi qui pourrai t'embrasser, quand je veux, où je veux, et comme je veux, si tu le fais, tu pourras regretter.

Je ne comptais pas t'embrasser de toute façon.

Niall : Deusième règles, tu ne porteras plus jamais de soutiens gorge, sauf quand on sort ou qu'il y'a quelqu'un à la maison, je veux avoir un accés complet et facile à ton corp.

Ah je comprends mieux ce qu'il s'est passé tout à l'heure.

Niall : Troisième régle, je penses qu'on en a parler plusieures fois, n'écoute plus mes conversation téléphonique, j'ai mes moyens pour savoir si tu es là ou pas et même si tu te caches je ne sais pas où, je te trouverai.

Ça, c'est décidé, la curiosité est barrée de mes défauts.

Niall : Quatrième règle, si on sort quelque part, et que tu te retrouve face au management, face à des fans ou des journalistes tu ne dis rien à propos de toi, rien, nada.

J'hoche la tête toute en restant concentrée sur ce qu'il dit.

Niall : Si je te baise, une seule griffure au dos, et je te trancherai la gorge.

Ok.

J'avalais difficilement et il le remarqua.

Moi : Je.. je peux parler ?

Niall : Ouais.

Moi : Donne moi un conseil pour que je me retiens de le faire.

Il ria en baissant les yeux, je ne sais pas a quoi il pense, mais je sais que c'est mauvais.

Quand il releva la tête, je ne le reconnais presque plus.

Niall : On va régler ce problème tout de suite.

Il se leva et vient derrière moi pour me faire lever et ouvrir la fermeture de ma robe qui se situe au centre de mon dos.

Dès que ses mains touchèrent la peau de mon dos, je regrettais d'avoir posé cette question, je regrettai immédiatement mes paroles, et je voulais absolument revenir en arrière.

À suivre..

Dark Shades.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant