You are-

1.2K 127 61
                                    

Attendez, avant que vous commencez, je voudrai vous dire que c'est le destin de Safaa de souffrir ainsi, elle avait dit au début, qu'elle a fait une erreur, et bien maintenant, elle paie le prix de ses erreurs, mais ne vous inquiétez pas, la fin ne vous déplaira pas, sinon, le média est à écouter en lisant le chapitre, c'est très important le média, en plus c'est un morceau que j'adore, bon, si vous ne pouvez pas ce n'est pas grave, mais moi je dis, il faut le lire avec, si elle s'arrête pendant que vous lisez, REPLAY.

Et si vous votez tous sur le chapitre, je poste ce soir.

Voilà, bonne lecture.

JVA TOUS.

-------------------------------------

J'ouvris les yeux, je suis attachée.

Mon premier réflexe, je lève mes yeux vers mon bras.

Alors c'est vrai, mon bras était entouré de bandes, ma main avait disparu.

Je fermais les yeux, entre la colère, la tristesse, l'envie de vengeance, j'avais littéralement explosé sous mes chaînes.

Je criais, encore et encore, me faisant plus mal à mes jambes en bougeant dans tout les sens.

Je hurlais, comme si ma vie en dépendait, les larmes brûlaient mes yeux, ma gorge était en feu.

Je n'avais plus de main, ils ont coupé ma main.

J'avais l'impression de rêver.

Ça ne pouvait pas être possible.

Tout ça pour un simple bracelet.

Un homme entra dans la chambre dans laquelle j'étais attachée sur le lit.

Je criais, en arrêtant de bouger, fixant les chaînes.

Moi : Je vous promets, que je vous tuerai, je vous le promets.

Il souria.

Puis sortit.

Ma douleur était inexplicable, c'était bien pire que de l'affliction elle était tellement grande, aussi grande que la haine que j'ai pour ces hommes.

La simple idée de savoir que je ne possédais plus de main gauche, ne faisait qu'augmenter ma tristesse extrême.

J'essayais de me débarrasser des chaînes, mais remarquais que ça ne faisait qu'aggraver la situation, alors j'arrête, je pose ma tête.

Et pleurais en silence.

Je refusais de regarder mon bras.

Nom de dieu.

"Pour une fois, j'ai pitié."

Je hurlais, grelottant.

Moi : TA GUEULE !

Mes larmes redoublèrent à cause de mon cris, je n'en croyais pas encore mes yeux, vous savez ce sentiment de savoir que vous êtes dans un rêve, mais que la réalité vous frappe, réalisant que c'est vraiment réel.

À présent, tout mon monde s'était effondré, je n'avais jamais ressentis ce manque, une partie de moi m'était enlevée, littéralement.

Pourquoi ça ? Qu'est ce que j'ai fait ? Pouvez vous m'expliquer ? La seule chose dont vous pouvez m'accuser, c'est de vivre, je n'ai jamais fait de mal à personne, pourquoi me fait-on souffrir à ce point ?

À ce point ?

Au point de me priver de ma main pour le restant de ma vie ?

N'est-ce pas injuste ?

Dark Shades.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant