À Jamais...

Prologue.

''Non il ne pouvait pas, il ne devait pas me demander une chose pareille. À travers ces larmes, qui me brouillaient la vue je ne regardais, une seule et unique personne mon père....
Cet-homme, la même qui venait de m'apprendre cette douloureuse et terrible nouvelle...non je ne voulais pas. Voulus-je dire mais, encore une fois je ne réussis, à sortir aucun mot de ma bouche. À en croire que, j'en avais perdu la capacité. Je ne voulais pas, mais aucun cas je n'avais le choix, en aucun cas je ne pouvais me rebeller. C'était déjà décidé, et il en devrait être ainsi ...''

- je veux que tout, soit impeccable ! S'exclama, ma mère à l'intention des domestiques. Qui suivaient attentivement, les instructions de ma mère. Je venais,à peine de faire mon entré au salon.

- qui a osé, placer ce tableau ici ? Demanda t-elle toujours sur le même ton sévère.

- madame, c'est vous qui l'avez ramener de Paris la semaine dernière ! Lui répondit, l'un des domestique.

- très bien !! alors, retirez le immédiatement je n'en veux plus il est horrible. Continua t-elle , je n'arrivais pas le croire, maman avait acheté ce tableau, sur lequel elle disait avoir eût un coup de coeur à 10000€, maintenant elle n'en voulait plus. Je secouai la tête, en signe de stupéfaction.
Mais bon, c'est maman et je ne devrais vraiment plus être étonnée de son comportement.

- maman . finis-je, par l'appeler au bout d'un moment. Jusque là, je ne fesais que la regarder.

- oh mon ange ! Comment vas-tu ?
Me dit-elle, en me prenant dans ces bras .

- bien, toi aussi je suppose. Lui souris-je.

- oui comme un charme...mais attends un instant, toi tu n'as pas passé la nuit ici. Constata-t-elle , une fois qu'elle se détacha, de moi pour me scruter.

- ouais, et j'ai même prévénus. Que je restais dormir, chez Marc ( mon meilleur ami )

- hum....chérie, tu sais très bien ce que ton père pense, du fait que tu fréquente ce type.
Et moi d'ailleurs.

- mais c'est mon ami, qu'est-ce que vous n'arrivez pas à comprendre ? Fis-je exaspérée.

- ton père, trouve que tu ne devrais pas fréquenter ce jeune-homme...en plus il n'est pas de notre rang sociale, et tu le sais très bi....

- oh désolée, qu'il ne fasse pas partie, de la jet-set, ou du monde des bourgeois, comme tu le dis souvent. Peut-être, que son père ne possède la plus grande compagnie de textil de tout Miami. Mais au moins, il est humble et ne cherche pas, à être mon ami parce que mes parents sont bourés de fric.

- contrôle ton langage chérie, mais si je te dis de prendre, tes distances d'avec ce type, c'est pour ton bien.

- ouais c'est ça....je peux savoir, pourquoi vous êtes tous en effervescence ici ?

- c'est ce que je disais, tu passes tellement de temps, avec ce type, et je ne sais qui d'autre, que tu n'es au courant de rien dans cette maison....enfin ce-soir ton père reçois, de la visite celle du Sénateur Thompson, avec sa famille pour dîner. Et aussi pour le féliciter de sa réussite, aux élections du sénat. Ton père, et lui sont très proche, alors voilà pourquoi tout doit être bien fait.

Cela ne me surprenaît en aucun cas, mon père ne fréquentait que les personnes de son rang. Et en plus de cela, lui et Henri Thompson sont des meilleures amis.
Je me demandais, à quoi ce dîner, allait ressembler ce dîner...
Un dîner, auquel j'allais certainement me morfondre, comme tout comme les autres qui avaient été préparer dans cette maison...