Chapitre 20 '' La blonde aux yeux verts ''

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<< Anthony en multimédia >>

Non, non ,non et non ce n'était pas juste ce que je fesais je devais absolument le repousser, je ne pouvais pas toujours le laisser, m'embrasser comme ça. Il finirait par avoir une emprise sur moi.

- Anthony, tu arrêtes c'est la dernière fois que tu m'embrasser à la dérobé. Lui retorquais-je, tout en me détachant de lui, de sorte à ne pas attirer l'attention il ne fallait pas oublier que nous en étions en '' représentation '' .

- et moi qui croyait que tu aurais dit, de ne plus t'embrasser une bonne fois pour toute. Dit-il en souriant.
Tu vois ne sais pas me résister ma pétite,alors cesse de faire semblant et assume pour une fois.

- La ferme ok ? Fis-je hors de moi.

Cela eût l'effet d'une douche froide sur lui, son regard s'endurcir sur le champ, et je commençai à regretter mes mots. Il plaqua contre lui toujours pour ne pas attirer l'attention et resserra sa prise sur ma main, qui commençait à s'endolorit.

- tu me fais mal. Couinais-je doucement.

- écoute moi très bien, ce n'est certainement pas parce que tu vas devenir ma putain de femme que je vais accepter que tu me parle de la sorte ok?
Alors fais attention à ton langage et au ton que emploies pour t'adresser à moi.

- s'il te plaît tu me fais mal. Le suppliais-je, alors que son emprise était ferme.

- me suis-je bien faire comprendre ? Me chuchota t-il à l'oreille.

- ok. Dis-je avec douleur. Je venais à peine de réaliser que notre vie de couple n'allait pas vraiment être ce que je croyais, et j'aurai à surmonter pire pour pouvoir le supporter.

Il me lâcha.

- je ...je vais aux toilettes.
J'avoue qu'avec ce qui venait de se passer, j'avais un peu peur de lui car c'était une personne très difficile à cerner.

Il ne répondit rien, se contentant d'aller reprendre sa place à notre table, me laissant en plan en plein milieu de la piste de dance. Je décidai alors de me rendre, aux toilettes. Ou je me rafraîchis le visage. Je me rendis compte que mon maquillage avait coulé donc de décidai de me le refaire, je sortis un fond de teint de ma pochette. Que je gardais tout avec moi.
Puis commençai à me l'appliquer sur le visage. Quand j'entendis l'une des portes s'ouvrir, étant donné que j'étais occupé avec mon eye-liner je n'accordai pas vraiment d'importance à cette personne,d'autant plus que je n'en avais rien à faire.
Cette dernière se rapprocha, pour se laver les mains, alors que je me mettais un rouge à lèvres rouge vif.

- alors comme sa on se refait,une beauté pour son prince charmant ? Fit-elle avec un ton que je ne saurait dé rire, tant il était étrange.

- je me refais juste mon maquillage. Répondis-je simplement.

- alors comme sa c'est toi la nouvelle pute de Anthony ?

Je retournai mon regard, sur elle tellement j'étais choquée. C'était une belle blonde aux verts clairs exactement comme ceux de Anthony et Cyndi . elle avait un corps magnifiquement sculpté, un corps de mannequin quoi.

- je vous demande pardon ? Fis-je indigné, le rouge à lèvres encore entre les mains.

- je dois avouer que vous êtes très charmante, toutes comme les autres femmes qui ont fait partis de la minable vie de Anthony, mais Kery Merlyn fesait plus le poids face à vous, il aurait même du finir ces jours avec elle ! Continua t-elle tout en ignorant ce que je venais de dire .

- qui êtes-vous au juste ?
M'intriguais-je .

- sa n'a pas vraiment, d'importance .....vous croyez qu'il vous aimes ? Je vous en prie pour lui vous ne faite animé son lit ,celle qui'ilsaute maintenant Clara SinClair.

En plus elle me connaissait, apparemment même ici à New-York, je ne passais pas aussi inaperçu.

- et vous savez quoi quand ,il en aura marre de ne baiser que vous il ira voir ailleurs, et vous quittera par la suite. Et si par malchance vous vous retrouver enceinte, il vous demandera sagement de vous débarrasser de cette grossesse . fit-elle, avec une lueur de Haine et de tristesse à la fois dans les yeux, mais elle se reprit tout de suite.

La s'en était trop, cette fille se prenait trop de liberté.

- je ne vous permet pas de me parler de la sorte, vous n'êtes personne ok? Je tiens à préciser que je ne suis pas la pute de Anthony, mais plutôt sa pétite amie et nous allons bientôt nous dire oui ma chère. Lui lançais-je durement avec un ton qui le voulait.

Elle rigola, un court instant avant de reprendre....

- vous le croyez vraiment ? Sa prouve que vous êtes vraiment perdue et vous ne savez pas vraiment qu'il est , pour l'instant vous n'êtes juste qu'un objet de plaisir et de....

Il n'eût pas le temps, de terminer sa phrase que lui adressai une violente gifle retentissante,qui en laissa les traces de mes doigts au passage.

- vous allez maintenant, la fermez. Dis-je hors de moi.

Elle se tenait toujours, la joue surprise ,je vis la colère apparaître dans son regard elle commença à s'approcher dangereusement de moi. Quand on frappa bruyamment à la porte.

- putain Clara tu comptes y passer toute ta vie ou quoi ,si tu ne sors pas dans une minute j'ouvre cette maudite porte,et je m'en fiche que se soit la toilette de femmes. Hurla presque une voix masculine, c'était bien évidemment celle de Anthony, qui ne mit pas de temps à l'ouvrir...

- mais que fou...
Il se calma quand son regard croisa celui de la blonde aux yeux verts.

- Britney ??? Mais c'est quoi ce bordel ?

- demande à ta pétite amie. Souligna t-elle tout en appuyant sur '' pétite amie''
Elle vient à peine de me donner une gifle .

- quoi ? Fit Anthony abassourdit

- donc j'ai sans doute perdu, mes facultés mentales pour me mettre à administrer des gifles au inconnu ?

- pourtant c'est bien vous qui avez usé,de la violence.

- et vous qui avez commencer,à me lancer des horreurs en pleine face alors qu'on ne se connaît même pas. Repliquais-je hors de moi.

- et puis quoi encore c'était la veri....

Voulait-elle ajouter ,tout autant en colère que moi. Mais Anthony ne lui laissa pas le temps de finir sa phrase.

- je n'en ai rien à foutre de tout cette histoire. Dit-il, en empoignant min bras pour l'attirer à lui . par contre Britney ne t'approche plus de ma pétite amie, ni n'essaie même pas de lui faire des histoires sinon tu le regretteras amèrement. Dit-il avant de m'entraîner avec lui, j'en profiter pour lui lançer mon beau sourire de peste. Avant de disparaître derrière la porte avec Anthony, une fois dans la salle, il reprit son masque de doux compagnon, et fûmes nos adieu, avant de nous dirriger vers le parking ou était garé sa Bugatti...

À Jamais...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant