À Jamais...

Chapitre 13

- quoi Anthony, tu viens de dire que c'est lui le responsable ?
Demandai-je sidérée , même si d'une part, cela ne me surprenait pas. Mon amie sans perdre, de temps se mit à me raconter ce qu'elle savait. Et je fû situer, vous souvenez- vous de l'affaire Cortès ??
Cet-homme que Anthony, agresser ? Eh bien il se trouve que Mr '' je suis au-dessus de tout'' n'a rien fait pour arranger la situation. Et cet-homme, suivit de son avocat avait rendu cette affaire public. Et comme le malheur ne vient jamais seul, plusieurs personnes avaient aussi dénoncer Anthony, pour coups et blessures. La majorité de toutes ces personnes étaient, en collaboration avec la compagnie et imaginée un peu le drame. La seule personne que je plaignais, en ce moment ci c'était Henri, le pauvre . il doit être dans tous ces états. Sa réputation, était à présent en danger. Bien évidemment avec un fils comme Anthony, il fallait s'y attendre...

- cela ne me surprend pas. Fis-je

- qu'est-ce qui va se passer, selon toi ?

- j'en sais pas grand chose, qu'Anthony se demerde tout seul je l'avais bien pourtant prévenu.
Moi je suis en petite vacance et je veux en profiter. Déjà que Mr mon père rentre dans deux Jours .

Comme prévu , les deux jours arrivèrent aussi rapidement. Et tous les employés étaient en éffervescence. Puisque papa était de retour. Il s'était enfermé dans sa chambre,avec maman une fois arrivé. Je ne savais pas ce qu'ils tramaient ces deux là. Mais je devais avouer que j'avais été heureuse de Revoir Ralph, malgré tout il restait mon père et je l'aimais....ok ok ne faites pas vraiment attention, à ce que je viens de dire. J'étais plongée dans mes pensées quand, maman fit son entré dans ma chambre.

- chérie, c'est l'heure de dîner et ton père m'envoi t'appeler. Tu sais très bien, ce qu'il pense du fait qu'on soit tous réunis à table.

- j'arrive.

- ok. Dis t-elle, avant de s'en aller.

Je me préparai rapidement, avant de sortir les rejoindre.

***

- je suppose, que tu as appris pour le Scandale à ''Thompson Pétrolier'' . dit mon père au cour du dîner.

- oui, et je trouve sa vraiment dommage. Cette entreprise risque, gros !

- eh oui, mais bon connaissant Henri il reussira, à calmer cette tempête qui planne au-dessus de son empire.

- je l'espère !!!

- sinon comment s'est passé, ton pétit stage ?

- très bien jusque là.

- hum, eh bien je suis fier de toi Henri m'a parler de ton travail. Et il croit que tu ferais une grande avocate, et je le pense aussi.

- merci papa, je suis vraiment heureuse que Henri aie apprécier le pétit travail que je suis en train de mener chez lui. Lorsque que je rentrerai, je redoublerais d'éfficacités.

- hum, je ne crois pas que tu y retourneras ma fille. Dit-il, en portant son verre d'eau à ses lèvres.

- pourquoi ? Demandai-je un peu inquiète.

- parce que tu as ton propre ,cabinet à dirriger.

Sur le coup, je crû rêver papa me trouvais assez qualifié pour pouvoir dirriger mon propre cabinet ? Oh mon dieu , quelle joie !
Je voulus, lui sauter dans les bras mais je savais que Ralph n'était pas du genre à apprécier, les démonstration d'affection, et surtout pas à table, il qualifierait cela d'un manque de savoir vivre. L'une des plus grande raison pour lesquelles j'étais heureuse à part le fait que j'aurai mon autonomie, était que je n'allais plus revoir la tête d'Anthony, supporter ces affreuses humeurs, ces fichus ménaces et aussi ses insultes.

Li-ber-té enfin !!!! Si j'avais l'opportunité de crier ma joie, je ne m'en serais pas privé. Mais bon Ralph SinClair était dans les parrages.

Une fois que le dîner prit fin, Ralph mon père ,me demanda de le rejoindre dans son salon privé, parce qu'il devait s'entretenir d'un sujet important avec moi, sa tombait bien j'avais aussi besoin de discuter avec lui : tous ces doutes qui me rongeaient depuis un certains moment, l'étrange comportement de Anthony envers moi alors qu'il était sensé apprendre à faire connaissance. Cette soirée je n'allais pas me priver ,je voulais tout savoir absolument tout .
Je passai au moins, quinze minutes à essayer de me libérer de Christian mon frère, qui ne cessait de m'embêter.
Puis, je commençai à traverser le couloir qui menait au salon. Je frappai la porte, puis j'entendis mon père me dire d'entrer.
Je m'executai, une fois à l'intérieure je vu ma mère assise près de mon père.

- prends place Clara ta ma mère et moi, avions quelque chose d'important à t'annoncer. Me dit mon père....