À Jamais...

Chapitre 10.

J'étais encore,plongée dans mes pensées quand la porte s'ouvrit brusquement. Me fesant sursauter. C'était Anthony, il avait certains documents dans la main .

- Tiens. Dit-il, en les jettant sur mon bureau. Jette y un coup d'œil, c'est les premiers cas que tu traiteras.

Je n'avais, pas vraiment la force de dire quoi que se soit. J'ouvris le premier dossier. Et il, s'agissait d'une plainte portée par un client, de la compagnie, qui aurait été victime de violence... Et imaginez,de qui ???

- mais c'est une plainte.

- ouais et alors, cet imbécile me fesais chier et je l'avais bien, prévénu.

- es-tu conscient que, si cette affaire éclate, cela aura des répercussions sur la compagnie. Et qu'elle lui donnera, une mauvaise image ?

- ouais, mais je m'en fiche c'est ton boulot. C'est à toi, de régler cette m*rde. Moi Je me barre.

- mais...

Je n'eû, pas le temps de terminer ma phrase que , j'entendis la porte claquer. Génial !!!

***

- Bonjour Maître Opkins, et encore désolée du retard. J'ai été bloquée dans un embouteillage .Répondis-je, avant de prendre place face à ce beau brun. Après, que Anthony, soit parti j'avais appelé l'avocat du client qui avait été victime de violence. Pour essayer d'arranger les choses, il le fallait sinon c'est sûr que d'ici peu, la compagnie serait plongée dans un Scandale térrible, et cauchemardesque qui ternirait à son image. Et connaissant, le marché du travail, cela serait très risqué.

- Ne vous inquiètez pas, l'essentiel est que vous ayez fait acte de présence, ce qui est tout le contraire de votre client.
Voilà, deux semaines que nous essayons de le rencontrer, mon client et moi.

- j'ai vu la plainte, posée par votre client et tout le reste. sachez que Mr Thompson, regrette vraiment son acte. Et si je suis, là c'est pour essayer de trouver un terrain d'entente, afin de régler cette affaire à la miable.

- oh quelle surprise, venant de la part de votre cher client... Mais bon Mr Cortès est ouvert, à toute sorte de négociation. À commencer, par un dédommagement en échange de son silence. Et de son retrait de plainte.

- très bien, puis-je prendre connaissance de la somme ?

- bien sûr....voilà. Dit-il, en me tendant un document. Et je vous assure qu'à la vue de la somme. Je restai bouche ouverte, je peux comprendre, que ce Cortès se soit prit, le poing de Anthony dans sa tronche, mais pas au point de vouloir demander cette somme.

Lorsque, je fis mon entré dans mon appart , je trouvai Ashley en train de regarder la télé. Je la saluai brièvement avant de me dirriger vers ma chambre. Sans rien y ajouter, cette journée avait été la plus merdique que j'ai pû passer de toute ma vie.
D'abord avec, Anthony qui se montrait insupportable, irrespectueux, envers tout le monde, et grossier. Ensuite cet avocat cupide et son escrot de client , qui croit avoir vu en moi une marionnette, avec laquelle jouer. Et pour terminer, le mensonge de maman, et ce terrible mystère qui entourait cette histoire.
Je me laissai, tomber sur mon lit le temps d'inspirer et d'expirer comme pour me libérer, de tout ce calvaire. La porte fit son bruit habituelle, m'indiqiant qu'elle venait de s'ouvrir. Ashley, vint se poser près de moi.

- mauvaise journée hein ?

- c'est rien de le dire, ce Anthony je ne le supporte pas, c'est le pire des cons que j'ai pû rencontrer.

- oh je vois, sa concerne ton jeune patron.

-... je crois que je suis perdu Ashley. Dis-je au bout d'un moment.

- comment ça?

- j'ai l'impression que quelques chose ne cloche pas...je sais pas je pense que ma mère n'a pas été honnête avec, moi des le début .

- et qu'est-ce qui te fais, dire cela ?

- tu y croirais, si je te disais que Anthony, ne savais même pas qui j'étais ?

- ah ouais ? C'est étrange , ta mère avait pourtant dit qu'il était d'accord pour ,que vous devieniez de bons amis.

- justement, et la il y'a un gros mystère. Mystère que je dois, découvrir à tout prix.

- tu devrais l'appeler et, et essayez d'en discuter avec elle.

- tu as raison.

- je te laisse. Dit-elle, en se levant et commença, à se dirriger vers la porte une fois près d'elle.
Et Clara ?

- oui ?

- ce Anthony, ne mérite pas que tu sois dans cet-état, en tout cas ne lui donne pas ce plaisir. Garde, ta sérénité légendaire c'est sa ta vrai personnalité. Alors affirme là, et prouve lui le contraire.
Dit-elle, avant de disparaître derrière la porte. Elle avait complètement raison, je vais devoir m'armer de force, et de courage pour vraiment affronter ce Anthony, mais tout en restant celle que je suis réellement . j'ai en fait compris ,le message qu'elle essayait de me faire passer. Pour l'instant, il fallait que je passe un coup de fil, à ma mère elle a des comptes à me rendre.

Je sortis immédiatement, mon téléphone de mon sac. Puis je lançais rapidement son numéro... Elle décrocha, à la troisième sonnerie.

- hey princesse, je te manque à ce point ? Me répondit-elle, sur le champ.

- juste, une seule et unique question pourquoi maman...
Pourquoi m'avoir menti ?

Tadaaaaa, je sais je n'aie jamais ajouter quoi que se soit , des le début mais bref...

Qu'avez-vous pensez de ce chapitre ?

L'histoire tient- elle, la route ?

Donnez-moi vos avis .

Bye bye :).