Voilà maintenant deux jours , que j'étais sortis de l'hôpital. Et après toutes ces fortes expériences j'avais décidé de prendre ma vie en main, et faire le vide. Exclure les personnes qui n'en valaient pas la peine , les repousser et vivre tranquillement sans jamais m'inquiéter de ce qu'il adviendra dans le future. J'avais plus que murie , je n'étais plus cette jeune-femme de 22 ans naïve et insouciante dès a présent ma confiance devrait être gagner et mérité je ne permettrais à n'importe qui de s'incruster dans mon monde, je vivrai une seule fois pour moi !!!
Il était exactement 19:30 lorsque Miranda m'ouvrit les portes d'entrée de mon ancienne demeure. Je dis ancienne parce que je ne compte plus y habiter, et cette fois-ci je le fais sérieusement, j'ai beaucoup réfléchi ces derniers temps et ma décision est prise.
- Bonsoir Madame Thompson, comment allez-vous ? Demanda t-elle sur un ton bizarre, et je la sentais mécontente pour la toute première fois.
- bonsoir Miranda....je vais bien euh... Mr Thompson est là ?
Elle tique, surprise de la façon dont j'appelais son patron. Miranda n'était pas stupide, ni aveugle elle voyait bien que ce n'allait plus bien entre Anthony et moi, et même si elle ne me fit pas le fond de sa pensée, je peux largement imaginer ce qui lui trotte dans la tête en ce moment-là.
- il est dans la chambre de la petite Chloé. Se décide elle enfin à me répondre.
- ok merci. Je pénètre rapidement à l'intérieur du salon. Et mon coeur se serre instantanément, je me sens encore plus mal , plusieurs scènes défilent dans ma tête. Et c'est avec un effort surhumain que je ne verse aucune larme. Je me dirige vers les escaliers.
Me voilà devant la porte rose, de ma fille. Je souffle un bon coup, étais-je prête à l'affronter ? Le regarder dans les yeux ?
Oui tu es plus que prête !!!J'ouvre tout doucement la porte, peut-être que ma princesse était déjà endormie, je ne voulais pas la réveiller. Mon cœur redoubla de battements lorsque nos regards se croisèrent. J'eû presque les larmes aux yeux en l'apercevant, tenant Chloé qui dormait paisiblement dans ces bras. Anthony avait considérablement perdu du poids, sa barbe qui avait poussé et dont il n'en prenait guerre soin lui donnait l'air d'avoir prit un coup de vieux. Des cernes autour des yeux m'indiquait qu'il avait passé plusieurs nuits blanches.
Nous eûmes le même réflexe de nous rapprocher l'un de l'autre. Je n'éprouvais qu'une seule envie : le prendre dans mes bras, et sentir la chaleur de son corps contre moi, afin de ressentir les mêmes sensations qu'il me procurait dans le passé.Non, non, non, et non Clara ressaisis toi, enfin ce type c'est foutu de ta gueule, rappel toi que ton suicide , et tout ce qui t'est arrivé est relié à lui, si tu le laisse t'amadouer encore il pourrait faire pire. M'indiqua la voix de ma tête, tandis que celle du coeur m'incitait a tout lui pardonner, et aller de l'avant. Je donne finalement raison à la voix dans ma tête, Anthony m'a manipulé à sa guise , je ne pouvais passer lui sauter dans les bras comme ci de rien n'était je me fis donc violence pour ne plus accorder de l'importance au désir de mon coeur. Nous sommes a présent face to face, chacun analysant la réaction de l'autre.
- je peux prendre ma fille ? Dis-je sur un ton qui se voulait serein, enfin même si à l'intérieur de moi, c'était la guerre des émotions les plus explosives.
- ouais. Répondit-il tout simplement, toujours sur le choc de me voir finalement réappaitre peut-être....ou je sais pas. Il me regardait intensément donc, je tourne la tête dans une autre direction, puis me dirige vers le berceau de ma princesse. Que je pose tendrement avant de lui poser un doux baiser sur le front,tout en lui mumurant combien je l'aimais. Elle avait grandit ce n'était plus ce bébé que j'avais tenu dans mes bras il y'a presque un an de cela dans mes bras.
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À Jamais...
RomanceTout débuta, lorsqu'elle fût contrainte, à épouser Anthony Thompson, venant tout autant qu'elle d'un milieu aisé. sauf que, les deux jeunes gens, se retrouvent emprisonné dans un mariage, qu'ils n'ont pas souhaité, ni même désiré. aux yeux de tous...