À Jamais...

Chapitre 16 '' Le Dejeuner Part 1''

Je me regardai pour la dernière fois, dans le mirroir. Plus besoin de retouche le maquillage était impéccable, la seule chose qui me retenait était ce reflet, mon reflet.
Malgré que j'avais essayé, de me faire disparaître cette triste mine, je n'y étais pas arrivé. J'avais en plus perdu du poids tellement je ne me nourrissais pas bien, ces temps-ci.

J'étais toujours en froid, avec mes parents. Mon père lui sans fichait, tandis que ma mère elle essayait tant bien que mal d'arranger les choses, ce que je trouvais bien évidemment vain, car je lui en voulais terriblement. Je l'ignorais , lui parlais durement quand elle ne fesait qu'insister. Il n'y avait qu'avec mon frère que je parlais, lui au moins était la seule personne sur qui je pouvais compter, il y avait aussi , Ashley et Marc qui ne cessaient de me réconforter. Marc lui insistait pour que je m'enfuis mais, à chaque je lui répondais, que cette option ne résoudrait rien.
Enfin Ciara, elle avait été au courant de ma soit disant '' rélation '' avec Anthony plus que c'est ce que nos parents lui avait faire croire, que moi et Anthony filons le parfait amour. Et que notre soit disant amour est né durant mon stage. Et conne qu'elle ,est elle y a crût et le pire elle disait être heureuse pour moi, et me souhaitait tout le bonheur du monde, quand je vous disais, que elle et moi n'avons jamais été complice, vous le comprenez à présent ? Parce que si oui, elle aurait compris ma détresse.
Il y avait trois jours de cela,elle m'avait demandé si il embrassait bien et même s'il avait une bonne performance. Je lui répondu qu'il embrassait bien mais que nous n'étions pas passé à l'acte sexuel.
Bien évidemment avec une voix pleine de sarcasme ,et stupide qu'elle est elle y a crût.
Et depuis madame Heller m'encourageait à me faire plus belle afin de pouvoir le retenir dans mes filets.
Ciara insisté même pour que nous ayons un tête-à-tête parce qu'elle veut que Anthony sympathise avec Mike, hum si elle savait qu'il en avait rien à foutre des autres elle calmerait ses ardeurs de bonne soeur.

- Clara il est temps de partir. Me cria mon père.

Je me levai, et me regardai une dernière fois dans le mirroir. Sa va ! Ma belle robe blanche de chez Gucci m'allait à ravir. Elle désinait, et épousait parfaitement mes courbes, eh oui j'étais certes fine mais je possédais un bon derrière comme on le dit communément, il n'y avait pas vraiment de décolté sa pouvait aller.
J'avais aussi opté pour des Louboutins noirs, et une pochette noir qui fesait un bon ensemble. Mes cheveux roux était très bien lissés.

Je déscendis retrouver mes parents,après avoir enfilé un manteau et des gants . ces derniers s'impatientaient, depuis un bon moment

Le chauffeur m'ouvrit la portière de la limousine et m'y engoufrai sans enthousiasme. Nous nous rendions dans l'une des multiple maisons que possédait les Thompsons ici à Miami, plutôt que de N.Y.

***

Ce fût Liz qui nous m'acceuilla, avec son plus beau sourire, elle me prit même dans ces bras puis me serra gentiment. Cyndi n'était pas présente aujourd'hui pour raison de travail.
Puis nous prenâmes confortablement place dans leur somptueux salon, qui affichait leur richesse.
Henri et mon père étaient lancé dans une discution, qui ne regardait que les affaires, tandis que ma mère se tapait aussi la discute avec Liz, qui de temps à autres essayait, de m'y introduire, mais je ne me contentais que de ne répondre, aux questions posées, et ceci jetta un froid dans l'atmosphère.

Henri annonça, que Anthony serait bientôt présent, je ne sais pourquoi mais mon coeur fit un bond. Je devins anxieuse, sur le champs. Je me rendis,alors compte que je redoutais le fait de me retrouver face, à lui.

Une trentaine de minutes, de passa Mais pas d'Anthony à l'horizon il semblerait que Mr allait comme à son habitude faire faux bon. Le chef cuisinier, vint annoncer que tout était fin prêt pour le déjeuner, Henri nous invita alors, à nous rendre à table puisque Anthony ne donnait pas signe de vie.
Alors qu'on se dirrigeais vers la salle à manger, nous entendîmes des pas qui se firent plus strident. Et lorsque je me retournais, tout comme les autres, je vis Anthony là juste en face de moi, l'air indescriptible . il était vêtit d'un beau costume noir sombre, les cheveux un peu ébouriffés mais cela ne gâchait rien à sa beauté. Car oui c'était un très bel-homme, et que sa plaise où non je devais l'avouer.

- Désolé du retard....