Chapitre 64 '' Un dernier souffle ''

2.1K 164 12
                                    

Encore un pas en arrière, je ne fais que reculer depuis maintenant une minute, alors que lui continue à avancer lentement. Cet-homme émane des ondes négatives et cela me fais peur, son regard était dure et sans émotion le prototype parfait d'un tueur à gage.

- tu sais ma belle j'ai toujours détesté les fouineuses de ton espèce. Quel intérêt à venir jusqu'ici hein ? Demanda t-il d'une voix sèche, qui ne fesait qu'alimenter ma peur, je continuais toujours à reculer jusqu'à ce que mon dos cogne le mur m'indiquant que je ne pouvais plus avancer je suais à présent à grosse goutte. Je suis enfermé dans ma suite avec un criminel qui s'y est faufiler sans difficulté alors que cette hôtel se vante d'avoir une sécurité hors-pairs. En ce moment ci je ne cessais de penser que si Anthony avait été la je n'aurais eu à me préoccuper mais voilà que ce dernier m'en voulait toujours au point de ne pas vouloir me parler.
Très vite mon agresseur arriva à mon hauteur, le regard indescriptible alors que je redoutais ce qu'il allait faire. Il saisit durement ma mâchoire me coupant le souffle au passage sa prise à été brutale et je suffoquais déjà ce qui le fit rigoler d'un rire assez fort et effrayant.

- qu'as tu l'intention de faire ? Faire changer d'avis à Janice et me jetter par la suite derrière les barreaux ???....eh bien tu n'y arriveras pas car cette nuit sera la dernière pour toi eh oui demain le service de chambre ne fera que retrouver ta dépouille. Laisse moi un peu t'expliquer comment : comme je sais si bien le faire je vais profiter de ton si beau corps jusqu'à l'user, se serait vraiment un crime de laisser cette occasion passez avec ces courbes voluptueuses que tu possèdes, ensuite après t'avoir durement b*iser je vais être un peu gentil en t'accordant une mort douce et rapide. Sourit-il machiavéliquement.

- tu n'es juste qu'une ordure, c'est tout ce à quoi tu peux te réduire que de la merde fils de p*te . Lui crachais-je à la figure consciente que je viens de m'engager sur un terrain dangereux tout comme fait qu'est-ce que j'avais à perdre ? Je vais de toute façon mourir et rien qu'à y penser une larme glissa le long de ma joue.

- oh le bébé commence à chialer, c'est dommage que je ne puisse pas t'epargner....je n'ai malheureusement pas le coeur sur la main comme toi...enfin admettons que tu en es un au fond je ne te connais pas vraiment.

- va te faire f*utre sale con.....

Sa main s'abattit sur ma joue droite, puis en un laps de seconde sur la gauche.

- tu continu de m'insulter dans ta situation ? Très bien je voulais te laisser un temps de répit mais tu as brisé ta carte jocker . Dit-il avant de m'entraîner avec lui, j'essaie désespérément de me débattre mais sa poigne est tellement puissante que la seule chose que je réussis à faire c'est d'hurler, il se retourna et me flanqua une troisième gifle , ma joue criait au secours tellement elle chauffait.

- s*lope ! Tout compte fait personne ne va t'entendre alors que je serais en train de faire vivre les pires instants de ta vie.

Il me balança sur le lit, j'essaie donc de m'extiper mais la masse de son corps se fondit sur le mien. Il maintiens fermement mes deux mains au-dessus de ma tête tandis, que l'autre retirait rageusement sa ceinture.

QUOI IL N'ALLAIT QUAND MÊME PAS ME FOUETTER, MÊME ANTHONY QUI SE DIT VIOLENT N'AVAIT JAMAIS OSÉ !!!!!

contrairement ce à quoi je m'attendais, il me noua les bras en les rattachant au lit. Histoire de me maîtriser, mais malgré tout je me débattais toujours avec l'aide de mes pieds.

- oh ma petite féline tu m'excites encore plus ainsi tu sais !

Je lui crache à la figure à l'instant même ou il prononça sa phrase. Du revers de la main, il s'essuya la face.

- tu vas me le payer.

Ces bras musclés se posèrent sur le fin tissu qui me couvrait le corps, et me l'arracha violemment le déchirant au passage, j'étais complètement NUE face à lui. Un souris malsain apparut sur sa face.

- maintenant je vais savourer ton corps bébé.

Profitant du fait , qu'il son intention soit porté sur mon corps qu'il regardait sans vergogne avec la plus grande force que je possédais aussi minime soit elle je lui flanquai un bon coup sur ces bijoux de familles, il hurla bruyamment avant de retomber sur le côté me déchargeant de son poids. Ma respiration était saccadé et je tentais désespérément de me détacher les bras, tâche qui s'annonce difficile puisque la ceinture ne cède toujours pas face à mes assauts, merde il va bientôt de se remettre de sa douleur, comme un miracle je réussis à libérer mes bras, je me les masse rapidement puis je sortis du lit avec le couvre lit je me couvre le corps de nouveau, et je me mis à courir vers la sortie, au moment d'ouvrir la porte sa main empoigna ma longue chevelure d'une force incroyable je tombai au sol , il me traînais donc je criais de toute mes force le nom de mon mari afin qu'il vienne à ma rescousse tout en pleurant mais rien il n'arrivait pas, je devais peut-être me rendre à l'évidence je n'allais m'en sortir.

Il arrêta son supplice en me libérant les cheveux, il sortit finalement une arme qu'il pointa dans ma direction c'était un silencieux.

- plus que je ne peux pas te b*iser, alors je vais immédiatement passer à l'acte fais des dernières prières bébé.

- non....non s'il te plaît ne fais une chose pareille, qu'est-ce que cela changera à ta situation.si ce n'est pas moi dit toi que c'est un autre avocat qui t'enfermera dérrière les barreaux.... j'ai j'ai une fille d'à peine six mois je ne peux pas l'abandonner ainsi elle me connait à peine.

- eh bien fallait y penser avant de te lancer dans cette affaire, eh oui c'est comme ça que sa marche. Concernant ta b*tarde je n'en ai rien à faire avec un peu de chance l'aveugle qui t'a mis enceinte va lui donner une autre mère, je suis même sur que c'est votre chienne qu'il va lui présenter alors pour la dernière fois fais tes prières.

- je n'en ai pas .

- très bien . Sa main appuya sur la gâchette activant une petite détonation au passage, tandis qu'une violente douleur se répandait dans ma poitrine la dernière image qui me vient en tête fut celle d'Anthony et de Chloé.

- je vous aime. Murmurais-je avant de lentement plonger dans un éternel sommeil.....

À Jamais...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant