À Jamais...

Chapitre 2.

Je marchais, dans la cour de l'université de renom, que je fréquentais. Tout en balayant chaque recoins du regard, comme à mon habitude.
J'étais la fille, la plus convoitée du coin, et celle avec qui tout le monde voulais être ami(es).
Juste parce que, mon père était l'homme le plus, riche de la ville. Mais contrairement, à ce que certains croiront, je suis humble et pour tout dire, je n'aimais pas vraiment me faire voir.

Tâche, qui se révélait difficile puisque, j'étais la fille du richissime Ralph SinClair, et les SinClair, comme le dis souvent mon père, ne passe jamais inaperçus. Je ne m'attachais, pas vraiment à tout le monde, pour une simple et bonne raison. Juste éviter des amitiés basées sur de mauvaise fondations, et aussi parce que je ne suis pas hypocrite, et tout le monde ici me connaît pour mon franc parler.

Je me dirrigeai, vers l'emphie Théâtre, quand un groupe de fille m'arrêta. Parmis, elles je reconnu Jenna, une fille brune aussi yeux verts de la même promotion que moi, et que je trouvais gentille et calme.

- bonjour Clara, encore désolée du dérangement.

- bonjour, comment vas-tu ?

- bien, euh...

- oui ?

- vue que, tu es major de notre promotion, et que c'est pour bientôt la cérémonie de remise de diplôme. J'aimerais savoir si ton discours officiel, était déjà. Prêt...en fait moi et les filles ont aimerais bien 'l'écouter fin si sa ne te gêne pas.

- bien sûr que, ça ne me gêne pas. L'ennuie c'est que je ne l'aie pas encore finis . lui souris-je .

- oh alors, ça sera pour une prochaine fois, on avait tellement hâte de l'écouter. Dit-elle, un peu déçu. Je m'excusais, une dernière fois et elle s'en allèrent. Au moment où je voulus continuer mon chemin, je tombai nez à nez avec Marc et Ashley. Mes deux meilleurs amis.
Pour commencer, Marc était amoureux de moi . Et c'est même comme ça qu'on s'était rapproché. Il était venu, vers moi un jour et m'avait avoué, les sentiments qu'il éprouvait à mon égard. Et pour être franche il, ne m'intéressais pas vraiment, pas qu'il était moche mais seulement parce mes sentiments n'était pas réciproques.
Marc était, un beau blond aux bleux. Je lui avais donc proposer, d'être amis, au départ ça n'avait pas été facile pour lui. Mais avec le temps il avait finit par me voir comme une amie.

Tandis,que Ashley on se connaît depuis notre enfance. C'était, une blonde aux yeux marrons claires comme Ciara.

- hey Clara, sa fait mille ans qu'on te cherche .

- oui, je vais bien Ashley et toi je suppose aussi bien comme moi !
Fis-je, avec un soupçons de sarcasme dans la voix.

- salut ma chérie, comment vas-tu ? Me demanda Marc, sans tarder je le pris dans mes bras .

- je vais bien, mon ange.

- ok vous avez finis là ? S'impatienta Ashley.
Allez, raconte comment s'est passé ta soirée.

- hum je m'en doutais, pétite curieuse....

- tu vas parler là.

- mais arrêté de me mettre la pression. Et sans perdre de temps, je leur expliquai ce qui c'était passé, non sans oublier la dernière phrase qu'avait émit Henri .

- oui, j'ai fais le bon choix,par où est-ce qu'il voulait en venir ? Demanda Marc.

- je trouve sa un peu, étrange ton père ta parlé de quelques chose ?

- non, et c'est sa le plus troublant maintenant que j'y pense....

***

Je déscendis, de ma Range Rover grise. Et je me dirrigeai à l'intérieure de chez moi. Où devrais-je dire, à la demeure de Mr SinClair.
Des que,je mis pieds dans l'allée menant, au salon principale. Un domestique, se précipita vers moi.

- bonjour Mademoiselle.

- bonjour, que se passe-t-il ?

- votre mère a demandé de la rejoindre, sur la grande térrasse une fois rentrée.

- ok merci, j'y vais .

Qu'avait maman, à me dire qui ne pouvait pas attendre. Je me précipitai vers, la terrasse.

- bonjour maman.
Saluai-je, alors qu'elle était assise en train de prendre du thé.

- bonjour Clara, allez assied toi.

Je m'executai, sans broncher.

- je suppose, que tu dois de me parler, d'un sujet assez important.

- non , non rien de grave, c'est juste que je voulais qu'on aie une pétite causette.

Une pétite causette, depuis quand elle et moi fesions cela ? J'avoue qu'elle me paraîssait un peu étrange. Bien que ce faut sourire, que je connaîssais tant était plaqué, sur son visage je ne pouvais m'en empêcher de croire qu'elle, me cachait quelques chose.

- je t'écoute.

- eh bien, suite à notre dîner d'hier soir . ton père, et Henri ont décidé de vous mettre en contact. Toi et Anthony tu te souviens de lui ?

- le fils, de Henri . oui, je vois qui c'est . et pourquoi ?...je veux dire cette soudaine décision ?