You stole my heart (fini)

Chapitre 33 : La dure vérité

* Point de vue de Kelly *

Kelly : J'ai besoin de te voir...

Louis : On se rejoint devant chez toi !

Et il raccrocha. Mes larmes redoublèrent. Je me mis à courir, voulant à tout prix rentrer chez moi et parlez avec Louis...
Après dix minutes de courses, j'arrivais enfin devant chez moi, bien sur, Louis y était déjà ! Quand il me vit arriver, il se décolla du mur et vint me prendre immédiatement dans ses bras. Je laissais mes larmes coulaient, mouillant son t-shirt au passage. Louis caressait doucement mes cheveux d'une main tandis que l'autre caressait mon dos pour me réconforter.

Louis : Ne pleure pas princesse... Je suis là ! Tout va bien se passé !

Kelly : Ça ne va pas Louis... J'en ai marre, je n'en peux plus de tout ça...

Louis : Viens on rentre !

Sans me quitter, on entra dans la maison. Contrairement à ce que j'avais cru, nous allions dans ma chambre, et non dans le salon. Louis ouvrit ma porte de chambre et on s'installa sur le bord de mon lit. Il me serrait toujours dans ses bras. J'essayais de ne plus pleurer mais c'était difficile...

Louis : Raconte moi ce qui se passe ma princesse...

Mais je fus incapable de dire un mot. Rien ne voulais sortir de ma bouche. Louis me resserra un peu plus contre lui et passais ses mains dans mon dos, caressant ma colonne vertébrale.

Louis : Tu ne veux pas me dire ce qui se passe ?

Je lui fis un signe de tête négatif. Mes larmes avaient cessé de couler sur mes joues. Louis prit mon visage entre ses mains et me força à le regarder dans les yeux. Il essuya les dernières larmes avec son pouce et me fis un sourire tristement. On resta quelques minutes comme ça, à se regarder dans les yeux avant que Louis face un mouvement. Il approcha son visage du miens. Quand ses lèvres se posèrent sur les miennes, toute ma colère et ma tristesse disparurent. Je me laissais allez et lui rendis son baiser. Mes mains vinrent se posé dans son cou et j'approfondis ce baiser. Je crois que j'en avais besoin...
Sans quitter mes lèvres, Louis se leva et m'incita à m'allonger dans le lit. Mon dos s'écrasa contre le matelas et Louis se mit au dessus de moi, à quatre pattes. L'une de ses mains était posé sur ma joue, caressant ma joue tendrement. Il la retira aussi vite pour enlever mon débardeur, me retrouvant en soutien-gorge. Les mains de Louis se baladaient sur mon corps et il décolla ses lèvres des miennes pour embrasser mon cou. J'agrippais les cheveux de Louis et poussais de léger gémissement. Louis avait toujours su s'y faire... Il descendit ses lèvres sur mon épaule, dégageant ma bretelle de soutien-gorge. Je sentis un petit picotement au niveau de mon épaule ! Il est en train de me faire un suçon... Et ça, ça veut dire que je lui appartient !
Louis passa ses mains dans mon dos afin de dégrafer mon soutien-gorge et de le balancer dans ma chambre, tout comme mon débardeur. Il embrassa ma poitrine et je laissais échapper des gémissements. Qu'est-ce que j'aime quand Louis prend le contrôle !
Louis descendis ses lèvres un peu plus bas, sur mon ventre. Ses mains, qui se trouvait normalement sur mes hanches, vint déboutonner mon jeans. Il le retira violemment et le balança contre la porte. Il descendit ses lèvres encore un peu plus bas, à embrasser entre mes jambes. J'écartais un peu plus les jambes pour lui laisser plus de place. Louis dégagea le fin tissus sur ma partie intime pour y avoir accès et sans attendre, il donna un coup de langue. Je me cabrais immédiatement. Mes mains vinrent agrippé les draps. Il embrassa ma partie intime pendant plusieurs minutes tandis que je poussais des gémissements de plus en plus fort. D'un seul coup, Louis s'arrêta en pleine action. Je le regardais alors en fronçant les sourcils. Il me souris tout en enlevant son t-shirt, me laissant sans voix devant son torse musclé et parfait, et enleva son pantalon pour le balancer dans la pièce. Une bosse s'était déjà formé au niveau de son boxer noir. Cela me fis sourire. Louis posa ses lèvres sur les miennes, ses mains se baladant sur mon corps nu. Son membre caressa ma partie intime sans y entré. Louis se mit à sourire tandis que je donnais des coups de bassins, lui faisant comprendre qu'il devait entré en moi.