Chapitre cinquante et un

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A peine arrivée, Clochette nous rejoins à l'entrée.

«Vous en avez mis du temps! S'étonne-t'elle.

- Elle a eue du mal à choisir sa tenue, tu connais les filles!» Glousse Kyle.

En mon fort antérieur, je le remercie mille et une fois, même là, au lieu de dire tout simplement que je m'étais absenté pour voir quelqu'un, ou autre chose de la sorte, il ment!

«Montre!» M'ordonne-t'elle.

Je lève alors le bras, afin d'exhiber ma tenue de ce soir, Clochette plaque sa main contre sa bouche.

«Elle est trop belle. Dit-elle simplement.

- Je sais.» Lui répondis-je.

Nous entrons alors dans le salon, et retrouvons Poucet et l'Âne, assis sur le canapé. Peter n'est plus là, il a dû être déplacé en haut.

«Anastasya, tu te rendras à l'arène dans deux heures, avec Clochette. Me dicte Poucet.

- Tu n'oublieras pas d'aller chercher ton épée, je donnerai l'argent à Clochette.» Me dit Kyle.

Clochette me propose d'aller me changer, alors à ses côtés, je monte les escaliers et me stop dans le long couloir.

«Où est Peter? Lui demandai-je, par peur d'entrer dans la pièce et de le voir étendu sur le canapé.

- Dans la pièce du fond, c'est une chambre à couché. Me répond-t'elle.

- Une chambre à couché? La questionnai-je.

- C'est la loi. Dans chaque maison, il doit y avoir une chambre à couché, pour les endormis.» M'explique-t'elle.

J'avoue que c'est un peu étrange comme concept. C'est à dire que dans chaque maison, il y'a cette fameuse chambre à couché réservé spécialement à un endormis! J'espère qu'il y a peu de gens endormis dans ces chambres spéciale!

Mais en attendant, dans celle là réside Peter, endormis à poing ferme, attendant 100 ans pour se réveiller.

J'eu un pincement au coeur, mais me consola en me disant qu'une fois le tournoi gagné, je le réveillerai grâce au sorcier.

«Je t'attends ici, va te changer.» Me somme Clochette.

Alors, très silencieuse pour je ne sais quelle raison, je pénètre dans la pièce éclairé par les rayons de soleil. Cette pièce où un miroir est posé, qui m'a permis de communiquer avec Belle Reine.

Je dépose ma tenue devant le miroir, et retire lentement mes vêtements avant de les plier soigneusement sur le canapé. Une fois en sous-vêtements, j'enfile tout d'abord le pantalon stretch façon cuir noir, puis boucle la ceinture. Je me vêtis du corset, et avoue avoir eu beaucoup de mal à resserrer ses lacets. Une fois ces derniers bouclés, je découvre avec stupéfaction le résultat de ma poitrine contracté, ce qui fait sur moi, je dois l'avouer, horriblement vulgaire. On pourrait croire que mettre en avant ma poitrine était l'une de mes intentions.

Tant pis, il me reste toujours la cape. Je me hâte de la mettre, et découvre avec satisfaction qu'elle recouvre assez ma poitrine pour ne pas voir les effets indésirable du corset.

J'enfila à la hâte les bottes noires, par chance, j'ai toujours les chaussettes avec lequel j'ai enfilé les mocassins à talon.

Une fois après avoir lacé mes bottes façon militaire, je me lève en faisant un petit saut et me pointe devant le miroir.

Anastasya TOME 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant